Espace muséographique ludique et interactif, situé au cœur du berceau de cette race d'exception, expliquant comment la charolaise transforme l'herbe en viande de qualité. Les trois niveaux thématiques détaillent successivement tout ce qui fait la tendreté et la justosité de cette viande d'exception, la passion des éleveurs et le paysage de bocage modelé par l'élevage des bovins. Cette visite, également adaptée aux enfants, s'achève sur le belvédère pour profiter d'un panorama sur le bocage.
Le Musée est situé dans un ancien prieuré clunisien, fondé au XIIème et réaménagé au XVème siècle, témoin de cette époque, la salle d’apparat, classée Monument historique et restaurée en 2003. Le musée accueille désormais un musée complet où la faïence de Charolles (1844 à nos jours) côtoie les paysages de J. Laronze (1852-1937) et de P. L. Nigaud (1895-1937). L'ancienne chapelle du XIXème siècle abrite les œuvres de R. Davoine, sculpteur charolais (1888-1962). Chaque année, au printemps, une exposition dossier présente les collections sorties des réserves. Elle est complétée par une exposition de céramique contemporaine tous les étés.
Les chefs d’œuvre des soldats artistes racontent 1914-1918. Lorsque la guerre éclate en août 1914, les soldats français partent la fleur au fusil persuadés d'être rapidement de retour chez eux. Mais la guerre s'enlise. Au front dans les tranchées ou à l'arrière, pendant les courtes périodes de repos, les poilus commencent à fabriquer une multitude d'objets... Leur première vocation est utilitaire : le briquet indispensable pour chauffer le vin gelé, griller une gauloise, vient remplacer les allumettes trop humides, les lampes ou les bougeoirs permettent de s'éclairer, les cannes de marcher sans s'embourber. Ensuite pour tromper l'angoisse entre deux assauts, défier l'ennui, s'occuper l'esprit, les poilus se mettent à fabriquer des cadeaux qu'ils destinent à leur famille : timbales ou bracelets, cadres photos, parures de bureaux, vases... A l'occasion des commémorations du centenaire de la mobilisation d'août 1914, plus de 1000 chefs-d’œuvres de poilus sont exposés sur 420 m² : douilles sculptées, cannes, broderies, briquets, bagues, encriers, coupe papiers, lampes, avions, casques miniatures, plumiers... sans oublier les objets rapportés de captivité. Des panneaux explicatifs avec des centaines de cartes postales anciennes et documents: les front et les tranchées, les événements, la propagandes batailles... La reconstitution de scènes d'époques (un champ de bataille, abri sous terrain, fabrication d'objets dans une tranchée, l'arrière du front, la captivité en Allemagne) et des vision de vues stéréoscopiques.
Revivez pas à pas les événements marquants de la vie de Bernard Thévenet, de son enfance à la découverte de sa passion pour le vélo, sa carrière en tant que cycliste amateur puis cycliste professionnel.