Le Domaine de Vinzelles se singularise par la présence de deux châteaux distants de quelques mètres : la maison forte du XIème siècle et la maison noble des XIIIème et XVIIème siècle ainsi que d'un vignoble de 16,30 hectares produisant du Pouilly-Vinzelles. Deux magnifiques pressoirs grand point du XVIIème siècle sont encore visibles dans le tinailler ou cuvage. Vente des vins de la propriété tous les jours sur rendez-vous.
Les chevaux nous inspirent des sentiments variés et toujours très forts : admiration, affection, peur, attirance. Un moment passé avec eux n’est jamais anodin !
A Morlay vous viendrez découvrir la vie du troupeau, tout d’abord dans leur élément de base : le pré. Par petits groupes d’adultes, de jeunes ou d’enfants accompagnés, ou encore en solo, vous apprendrez avec Corinne à vous faire apprécier de Nuage « le taquin », Upsilon « la cheffe », Fanny la « doyenne», Mouchetée « la prudente », Ondée « l’éternelle adolescente ».
Le but est de permettre à chacun de passer un moment détendu et passionnant, tout en apprenant les notions de la relation homme/cheval, à pied comme en selle (tenu en longe). Prévoir une tenue souple de saison et des chaussures fermées .
L’église Saint-Georges, dès son origine siège de la paroisse de Vinzelles, date du deuxième quart du XIIe siècle. C’est une construction typiquement romane, massive et robuste. Elle a été peu remaniée au fil des siècles et conserve ses dispositions d’origine. Elle est orientée à l’est et composée d’une nef unique suivie d’une travée soutenant le clocher et d’une abside. Au XVe siècle, une large baie est ouverte sur la face Sud de la travée sous clocher. En 1666, la nef est plafonnée, étant jusqu’alors simplement charpentée. Au cours du XIXe siècle, l’église Saint-Georges est restaurée à plusieurs reprises, sans pour autant être lourdement remaniée : par exemple, deux larges fenêtres sont percées dans la nef jusque-là très sombre (1819), et la sacristie moderne est construite (1834). Elle est inscrite partiellement à l’Inventaire des Monuments Historiques en 1929. Peinture murale du cul-de-four du Christ en Majesté de Jean-Baptiste Beuchot (1859). (wikipays)
Lavoir de Buliat, datant du 19e