Le Comptoir des Créateurs est géré par Corinne H, créatrice de bijoux en verre et céramique. Faire un bijou original pour une femme unique. Autour de ses créations, elle expose également 40 créateurs dans un joli emplacement de 120 m² au charme certain avec ses murs de pierre et plafonds voutés au cœur du centre-ville de Mâcon. Son objectif est de promouvoir les métiers d’art liés à la création, de fédérer les créateurs et artistes, de valoriser leur travail et les rendre visibles.
Vous trouverez des créations exceptionnelles, sensationnelles, atypiques, renouvelées tous les 6 mois et françaises, fabriquées par des artisans d’art : poteries, accessoires de mode dans différents textiles (gants, étoles, foulards, chapeaux, vêtements…), cuir (sacs, ceintures…), mais également des objets décoratifs, du mobilier, des peintures et des sculptures…
L’église néo-romane Saint-Pierre de Mâcon, construite entre 1859 et 1865 et bénie par Mgr de Marguerye, a été conçue d'après les plans de l'architecte départemental André Berthier (1811-1873), élève d’Henri Labrouste et contemporain d’Eugène Viollet-le-Duc (1814-1879). L'édifice est un modèle de l’historicisme ou éclectisme du XIXe siècle. L’église présente une façade néo-romane à trois étages. Trois portails en plein cintre aux tympans ornés de bas-reliefs structurent la façade.
Franchissant ce porche, on pénètre dans une nef d’inspiration gothique de six travées sur croisées d’ogives. Les arcs des travées sont surmontés d’un triforium (galerie supérieure). La sculpture des chapiteaux est l’œuvre du sculpteur Mathieu Gautheron. Les bas-côtés, ouvrant de chaque côté sur six chapelles, et les cinq chapelles rayonnantes du chœur, ont été décorés par les grands artistes du temps comme les peintres-décorateurs Jean-Baptiste Beuchot, Édouard Krug, Victor Bussière, et par le maître-verrier parisien Édouard Didron (1836-1902).
L'intérieur de l'église renferme de belles œuvres des XVIIe et XVIIIe siècles en particulier le tableau de style baroque de Jean-François de Troy (1732), Vincent de Paul prêchant devant Pierre-Emmanuel de Gondi, général des galères du roi. Le chœur est orné par un orgue au buffet néo-gothique, classé aux Monuments historiques, réalisé par le célèbre facteur parisien Aristide Cavaillé-Coll en 1866 et par le mobilier liturgique contemporain du sculpteur d’art sacré Philippe Kaeppelin (1987).
L’église romane Saint Jean l’Evangéliste de Loché fut construite au XIIe siècle. Elle apparaît au XVe siècle comme église annexe de Vinzelles. Ce rattachement cesse en 1751, mais reprend en 1802. L’édifice présente un plan simple : nef unique, travée sous clocher et abside. L’élément le plus remarquable est le haut clocher octogonal dont les deux niveaux supérieurs sont percés de baies géminées. En addition à l’édifice d’origine, un porche est venu allonger l’église sur la façade ouest à la fin du XVe siècle, époque où est sculpté le tympan du portail. D’importants travaux de restauration ont lieu en 1873 : reconstruction de la voûte de la nef et réfection de la flèche du clocher. L’église est inscrite au titre des Monuments Historiques depuis 1926. A l’intérieur, la peinture murale du XVe siècle du Christ en Majesté orne la voûte de l’abside.
L’église romane de Sancé a appartenu au domaine de l’abbaye lyonnaise de Saint-Martin d’Ainay. Elle renferme une chapelle gothique et son retable dédié à Notre-Dame de Lorette, véritable trésor de l’art religieux du XVIe siècle. On le doit à Jacques Mareschal, seigneur de Sancé, qui fit édifier la chapelle afin d’y installer sa sépulture. Celui-ci aurait fait partie de l’ordre des chevaliers de Notre-Dame de Lorette, en charge de la protection du sanctuaire de Lorette, terre d’accueil de la maison de la Vierge Marie. Restauré à l’identique, il y a quelques décennies, par Patrick Pinard et Bertrand Lotteau, le chef-d’œuvre de bois et d’or trône depuis sur le mur nord de l’église.
La nouvelle cathédrale néo-classique Saint-Vincent de Mâcon (1806-1816) est érigée après le Concordat de 1801, et le passage de Napoléon Ier et de Joséphine à Mâcon en 1805. L’empereur accorde, par décret, 240 000 francs à la ville pour établir un nouveau lieu de culte. On pense dédier celui-ci à Saint Napoléon, saint corse, dont la fête tombe le 15 août ! L’architecte Guy de GISORS, un des architectes officiels de l’Empire, est désigné pour établir les plans. Par décret impérial, il est précisé que l’église doit être érigée dans un style néo-classique sur le terrain de l’ancienne collégiale Saint-Pierre, vis-à-vis de la place Napoléon (square de la Paix). Mais les devis sont dépassés, il faut attendre le 24 août 1816 pour l’inauguration officielle : l’église est dédiée à saint Vincent, diacre et martyr, et à Saint Louis, roi de France.
Un attrait de la cathédrale de Mâcon est son programme iconographique complet de vitraux du XIXe siècle du maître-verrier Jean-Baptiste Barrelon, qui rythment la nef. L’un d’eux attire l’attention : le vitrail de saint Vincent et Saint Louis, saints patrons, présentant les deux cathédrales Saint-Vincent de Mâcon, l’ancienne (le Vieux Saint-Vincent, dont il ne reste à ce jour que les vestiges) et la nouvelle, consacrée en 1816.
Spécialisé dans le tourisme rural : balades commentées (à pied, à vélo, en VTT, en calèche, en roulotte, avec des ânes bâtés) accompagnées de guides de pays. Conception de circuits, d'itinéraires thématiques en milieu rural. Spécialisé dans les animations et rencontres thématiques : rencontres nature autour des paysages, des fleurs, la forêt ; contes en balades et stage conte ; ateliers d'arts plastiques en plein air ou en gîte, animations calligraphie, gravure, vannerie, composition florale…
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