Un univers magique formé de tesselles : la mosaïque…
Bienvenue à l’Atelier mosaïque !
C'est en Bourgogne, dans son atelier situé à Paray-le-Monial, proche de la Basilique et du canal du Centre, qu’Elisabeth Ragon vous invite à découvrir des pièces uniques de sa création.
Elisabeth Ragon vous propose aussi ponctuellement des stages et des cours de mosaïque.
Couleurs, matières, savoir-faire : cet art contemporain se nourrit d’une technique antique et s’ouvre à d’autres horizons plus libres, aux rythmes variées.
Une idée devient un projet, puis un dessin. Vient ensuite le choix d’une gamme de couleurs, parmi des matériaux aussi variés que le marbre, la pâte de verre, l’ardoise, les pierres naturelles, et bien d’autres encore.
Chaque tesselle est découpée à la main pour former une mosaïque qui nous raconte une histoire et nous transmets une émotion.
Le mosaïste d’art transforme la matière en œuvre unique.
Derrière une impression de spontanéité et de simplicité se cachent des longues heures de recherche et de travail pour donner vie à tous ces fragments appelées tesselles.
Pour la visite de l'atelier, n'hésitez pas à appeler le jour même !
Atelier de conservation et restauration de tableaux.
D'inspiration médiévale, ce jardin suggère l'allure des jardins monastiques. C'est un clos qui se lit à plusieurs niveaux : historique, ethnobotanique et symbolique. Il se compose de plessis tressés, agrémentés de plantes odorantes dont certaines étaient déjà cultivées au Moyen Age. L'artiste mosaïste Joël Barguil a transformé la cour latérale grâce à son œuvre monumentale "Lames de pluie". Ses galeries accueillent régulièrement des manifestations culturelles : expositions, concerts, salons.
Ce bâtiment construit dès 1709 par Jean-Baptiste Caristie pour accueillir les Jésuites est composé d'une chapelle dont la façade s'inspire de l'église du Gesù à Rome.
À l'intérieur, elle est ornée au premier niveau, de colonnes doriques ainsi que de larges baies ouvertes qui éclairent le sanctuaire. Vous pouvez y observer les statues en pierre de la Vierge et de sainte Anne, ainsi que celles en bois de saint Crépin et saint Crépinien, datées du XVe siècle.
Après le départ des Jésuites en 1763, cette chapelle revient au culte catholique en 1803, sous le vocable de Notre-Dame. Le collège devient lycée en 1960. Il porte le nom de Bonaparte. Si Joseph, Napoléon et Lucien y furent élèves, c'est Joseph qui laisse son nom à l'établissement.
La grille en fer forgé date de 1772. Elle est ornée de grecques, guirlandes, sphères et Lyres ainsi que des armes de la ville sur le fronton central.
Création de pièces uniques en grès et porcelaine, objets d'environnement décoratif et d'usage, sculptures, coffres, tableaux, barques, montagnes, flacons "Ambroisines", boîtes, vases, bijoux porcelaine. Les Formes, le dessin des signes de la nature et le feu sont nos principales sources d'inspiration. Sensible aux phénomènes de la fusion des roches, des minéraux, nous élaborons nos émaux. Les pièces sont modelées, enrichies de calligraphies, d'empreintes, de gravure. Visite de 2 salles d'exposition et atelier.
Bijoux en bois (bracelets, boucles d'oreille, bagues, colliers, broches, barrettes). Bâtons de marche. Décorations : branches de lierre.
D’après les écrits (dont le livre très documenté d’Anatole de Charmasse du 19ème siècle), voilà ce que l’on peut retenir de l’histoire du Prieuré :
Après le passage de Saint Martin, qui évangélisa la région, ce lieu a été le premier sanctuaire chrétien de la contrée. On ignore l’époque exacte de la fondation du Prieuré. La première mention du Prieuré remonte à 843 dans un diplôme par lequel Charles Le Chauve confirma l’autorité de l’église d’Autun sur cet établissement. En fait, son origine est antérieure à cette date et confondue avec celle de l’église d’Autun. En 994, L’évêque d’Autun céda le Prieuré à l’abbé de Cluny Odilon.Parmi les nombreux Prieurs de Mesvres, Hugues de Beaufort devint Abbé de Cluny et Pierre de Beaufort devint pape sous le nom de Grégoire XI, dernier pape en Avignon qu’il quitta pour Rome en 1377.
Les droits seigneuriaux dont bénéficiait le prieur étaient nombreux : haute, moyenne et basse justice, droit de guet et de garde pour tous les habitants de Mesvres et des environs, droit de banalité (four et moulin) pour ne citer que les principaux.
Le Prieuré resta sous l’autorité de l’abbaye de Cluny jusqu’à la révolution. Après la révolution, les bâtiments du Prieuré furent transformés en exploitation agricole.
A son apogée, les bâtiments du Prieuré étaient ordonnés autour du cloître. L’église du Prieuré était composée d’une seule nef, à laquelle l’adjonction de deux chapelles donnait la forme d’une croix. Une belle tour carrée, haute de 49m, prônait au centre du monastère. Il ne reste aujourd’hui des bâtiments primitifs que la grande bâtisse en L qui abritait les appartements du Prieur et des moines et une des deux chapelles latérales de l’église prieurale. Les autres corps de bâtiment ont disparu, le cloître a été détruit, la tour s’est écroulée en 1836 et la nef a été remplacée par une grange. Le moulin des moines au bord du bief alimenté par le Mesvrin, existe toujours, il a été remanié et sert aujourd’hui d’habitation.
Hôtel particulier du début XVIIIe siècle, construit par l'intendant du Dauphiné, Jean-Etienne Bouchu
Le Centre d’Art Contemporain Frank Popper est un lieu de rencontre, d'expositions, d'accueil et de recherche. Disposant d'un important fond bibliographique légué par le Professeur Frank Popper, il s'est constitué en lieu-ressource pour les chercheurs. Des lieux d'accueil pour artistes en résidence ont été créés. Expositions régulières d'art contemporain.