L'église de Bergesserin n’a conservé de l’époque romane du XIe siècle et XIIe siècle que le chœur, l’abside, la travée sous clocher et le clocher qui sont classés par les Monuments Historiques, par un arrêté du 12 janvier 1945. La nef et le transept sont modernes. Elle est dédiée à Saint Loup.
Le chœur est tourné vers l'est, symbole de la Résurrection.
La visite des carrières de la Lie retrace 2000 ans d'histoire d'extraction de la pierre, de sarcophages mérovingiens et gallo-romains. Reconstitution d'une tuilerie et d'un four gallo-romain.
Le sentier botanique nous permet de découvrir divers milieux : pelouses calcaires, forêt, mare.
Groupe restreint de moins de 10 personnes, port du masque obligatoire pour la fin de la visite en milieu fermé.
Point de vue incontournable à ne pas manquer. Le Mont Saint-Cyr culmine à 771 mètres d'altitude. Il s'agit du plus haut sommet de la Bourgogne du sud.
Du haut du sommet, le panorama est aussi vaste que varié (Charolais, Brionnais et Clunisois). À ses pieds, on découvre les vallées profondes, les collines boisées, les coteaux recouverts d’une riche végétation et tout au bas, le bourg de Montmelard. Depuis les tables d’orientation vous permettant de vous repérer, vous pourrez, par temps très clair, apercevoir le sommet du Mont Blanc. Vous marcherez sur les traces romantiques d’un monastère du Xe siècle, détruit durant les guerres de religion. Une aire de pique-nique aménagée en pleine forêt permet de s’y reposer en toute tranquillité. Site ouvert toute l’année, accès libre dans le respect de l’environnement.
Citée pour la première fois en 1075, cette chapelle est aujourd’hui englobée dans une villa moderne du 19e siècle. Située au sud de l’abbaye, sur une colline, à proximité de la porte Sainte-Odile (anciennement Odilon), elle était dédiée au saint Odilon de Mercœur, cinquième abbé de l’abbaye de Cluny dont le culte s’est largement développé au milieu du 11e siècle.
Certainement construite dans la deuxième moitié du 11e siècle, elle était entourée d’un petit cimetière et a été le lieu de signature de plusieurs actes. La chapelle est une propriété privée qui ne se visite pas.
Artisan - Créateur de maroquinerie western et amérindienne.
Maroquinier depuis plus de 25 ans. Hugo Dupasquier vous propose un artisanat de qualité et des stages "découverte du cuir".
Céramiste au coeur de Cluny, vous pourrez découvrir mon univers artistique à travers mes sculptures figuratives animalières et imaginaires mais également ma production utilitaire en faïence engobée et enfin les "poupettes de Cluny", personnages propre à ma créativité!
Décoratrice-Coloriste. Artiste Artisane Créatrice de couleurs et matières écologiques depuis 1999. Spécialiste de peintures et enduits de chaux et pigments naturels et autres échappées... Formatrice, stages, sensibilisation aux matériaux écologiques. Restauration du Patrimoine Vivant et harmonisation et conseils en habitat. Peintures Pigmen'Terre.
Les chefs d’œuvre des soldats artistes racontent 1914-1918. Lorsque la guerre éclate en août 1914, les soldats français partent la fleur au fusil persuadés d'être rapidement de retour chez eux. Mais la guerre s'enlise. Au front dans les tranchées ou à l'arrière, pendant les courtes périodes de repos, les poilus commencent à fabriquer une multitude d'objets... Leur première vocation est utilitaire : le briquet indispensable pour chauffer le vin gelé, griller une gauloise, vient remplacer les allumettes trop humides, les lampes ou les bougeoirs permettent de s'éclairer, les cannes de marcher sans s'embourber. Ensuite pour tromper l'angoisse entre deux assauts, défier l'ennui, s'occuper l'esprit, les poilus se mettent à fabriquer des cadeaux qu'ils destinent à leur famille : timbales ou bracelets, cadres photos, parures de bureaux, vases... A l'occasion des commémorations du centenaire de la mobilisation d'août 1914, plus de 1000 chefs-d’œuvres de poilus sont exposés sur 420 m² : douilles sculptées, cannes, broderies, briquets, bagues, encriers, coupe papiers, lampes, avions, casques miniatures, plumiers... sans oublier les objets rapportés de captivité. Des panneaux explicatifs avec des centaines de cartes postales anciennes et documents: les front et les tranchées, les événements, la propagandes batailles... La reconstitution de scènes d'époques (un champ de bataille, abri sous terrain, fabrication d'objets dans une tranchée, l'arrière du front, la captivité en Allemagne) et des vision de vues stéréoscopiques.
Sur les traces des compagnons charpentiers... !
Venez découvrir les chefs-d’œuvre des compagnons charpentiers et l'histoire de l’école de tracé de charpente fondée en 1871 à Romanèche-Thorins. Son fondateur Pierre-François Guillon, compagnon charpentier, transmettait à ses élèves un enseignement en dessin, découpe des matériaux et techniques des métiers du bois. Le tracé de charpente et le compagnonnage sont inscrits par l’UNESCO au patrimoine culturel immatériel de l’humanité.
Visitez le musée en famille avec le parcours enfants de 3 à 8 ans.
Dernière visite 1 heure avant la fermeture (de novembre à février inclus).
L'Hôtel-Dieu de Tournus, un témoin privilégié de l'histoire hospitalière. Construit au XVIIe siècle puis agrandi jusqu'à la fin du XVIIIe, l'Hôtel-Dieu de Tournus, avec ses trois salles des malades, ne craint pas de rivaliser avec celui de Beaune.
Les salles anciennes ont été restaurées avec leur mobilier d'origine de façon à restituer l'atmosphère d'alors.
Les traditionnels lits clos en chêne sont encore alignés avec leur poêle central, les ustensiles d'époque.
Construite en 1856, l'église de Massilly sous le vocable de Saint-Denis, est citée à plusieurs reprises dans le recueil des chartes de l'Abbaye de Cluny. Elle appartenait à l'ager de Merzé, centre de peuplement situé sur la rive droite de la Grosne, et qui a presque totalement disparu. En 1675 l'église avait sa nef et son chœur bien voûtés et couverts de laves.
L'ancienne église de Massilly, très probablement romane, se composait d'une nef unique, d'une travée de chœur plus étroite, supportant un haut clocher carré que couvrait une flèche à quatre pans, et d'une abside semi-circulaire. L'acte de visite du 27 juillet 1716 mentionne dans l'église, à gauche, une chapelle de Saint Denis. Cette église fut vendue pour 38000 livres à plusieurs acheteurs le 12 Nivôse an 7.
Création de mandalas au pastel.