Le musée a été crée en 2007 par Georges GODOT et des anciens du centre école aéronautique de Saint-Yan est installé sur le site de l'Ecole Nationale de l'Aviation Civile. Le but est de maintenir la mémoire et la sauvegarde du patrimoine du centre de formation de pilotes de ligne de Saint-Yan et de l'aérodrome.
Le château situé au cœur de ce parc est un édifice aux volumes et au style éclectiques, il a été construit par l'architecte départemental Jean-Etienne Giroud, également auteur du château de la Fourrier sur la même commune. Le château a appartenu à la famille de Chargères (également propriétaire du château du Breuil), avant de passer par alliance au marquis d'Aux de Lescout, puis à la ville de Gueugnon dans les années 1970.
D'inspiration médiévale, ce jardin suggère l'allure des jardins monastiques. C'est un clos qui se lit à plusieurs niveaux : historique, ethnobotanique et symbolique. Il se compose de plessis tressés, agrémentés de plantes odorantes dont certaines étaient déjà cultivées au Moyen Age. L'artiste mosaïste Joël Barguil a transformé la cour latérale grâce à son œuvre monumentale "Lames de pluie". Ses galeries accueillent régulièrement des manifestations culturelles : expositions, concerts, salons.
Précédé d'une allée de platanes (site inscrit au titre des monuments naturels), d'un pont de pierres franchissant la rivière le Botoret et d’un étang, le château appartient de nos jours à la commune qui le consacre en lieu dédié à l’art, à la peinture et en centre sportif. L'édifice très ancien conserve deux tours médiévales (la plus grosse d'entre elles présente même une ancienne archère-cannonière bouchée), entre lesquels se développent un corps de logis du XVIIIème siècle. L'été, visitez l’intérieur gratuitement en appréciant l’exposition. Promenade à l’extérieur jusqu’au lieu-dit l’Hermitage qui offre une vue sur la commune de Chauffailles. Profitez de l’aire de jeux et du terrain de pétanque.
Chœur, abside et base du clocher de style roman (inscrit aux Monuments historiques). Chapiteaux sculptés.
Cette chapelle est le vestige de l'ancienne église paroissiale de Saint-Yan, construite à la période romane. Le chevet, avec ses lancettes (fenêtres en arc brisé très élancées), a été remanié au XIIIème siècle (période gothique). L'intérieur de l'édifice n'est pas accessible.
L'ancienne église fut construite au XIIème siècle. Il n'en reste que le chœur et le clocher, illuminés l'été, entourés de l'ancien cimetière désaffecté. L'ensemble est classé et inscrit sur le circuit des églises romanes du Brionnais. Ce site sert d'écrin aux expositions d'artistes qui animent la saison d'été.
Petite chapelle du 17ème siècle, elle fut déplacée et reconstruite au 19ème siècle. Elle se situe en face du Musée de Carrelage Céramique d’Art Paul Charnoz et est régulièrement utilisée comme lieu d’exposition pendant la saison estivale. En dehors de ces périodes, la chapelle reste fermée.
A la Chapelle de La Colombière, on vénère les reliques de saint Claude la Colombière, le directeur spirituel de sainte Marguerite-Marie. Elle abrite les reliques du bienheureux Claude La Colombière (canonisé par le pape Jean-Paul II le 31 mai 1992), qui fut le confident et le soutien de sainte Marguerite-Marie dans sa mission. D’inspiration byzantine, la chapelle toute simple à l’extérieur s’enrichit à l’intérieur de mosaïques, de vitraux, de chapiteaux sculptés et peints ainsi que de sculptures offrant un décor foisonnant. En 2012, la chapelle a été inscrite à l’inventaire des Monuments Historiques.
Sancenay est un ancien fief seigneurial ayant appartenu à une branche des seigneurs de Semur-en-Brionnais. Sa chapelle fut entièrement redécorée après 1626 par le nouveau seigneur du lieu, le marquis de Tenay, également seigneur de Saint-Christophe. Les décors peints du plafond sont remarquables et forment un ensemble unique dans le Brionnais.
Sept baies de style ogival (arc brisé), dont trois dans le choeur sont datées du XIIème siècle par les Monuments Historiques. A l'issue de travaux menés depuis 1991, le clocheton reçoit l'ancienne cloche en 1996, les vitraux sont posés en 1997 et l'inauguration a lieu le 10 octobre 1998. Une messe y est célébrée chaque année en octobre à l'époque de la Saint-Denis et des expositions artistiques ou artisanales y sont régulièrement organisées.
Située au sommet de la montagne de Dun, cette chapelle, dont les origines remontent vraisemblablement au XIIème siècle, est l'ancienne église paroissiale de Saint-Racho. Ruinée, elle fut entièrement restaurée grâce aux dons de Philibert Lombard de Buffières (1838-1912), comte de Rambuteau.