L’une des plus grandes écuries privées d'Ancien Régime en France. Le domaine est dans la même famille depuis six siècles. Les écuries ont été bâties entre 1648 et 1652 par Henriette de La Guiche, filleule d’Henri IV, pour la garde princière de son époux, Louis Emmanuel de Valois, petit-fils du roi Charles IX, colonel général de la cavalerie légère. François Blondel, architecte de Louis XIV, revendique en être l’auteur.
Les façades richement ornées de ce palais équestre, rythmées par deux escaliers monumentaux, ont été préservées à la Révolution. L’architecture et l’agencement intérieurs, inspirés d’un ingénieux projet de Léonard de Vinci, en font les plus italiennes des écuries de France.
Le Parc se visite seulement avec la découverte des Ecuries.
9 salles d'exposition : reconstitution d'un intérieur Brionnais au XIXème siècle, présentation du patrimoine (architecture, habitation, matériel agricole et viticole), reconstitution d'une salle de classe du début du XXème siècle, jouets anciens, diaporama, salle consacrée aux guerres.
Espace d'exposition aménagé dans une ancienne scierie artisanale et tourné vers la présentation du patrimoine artisanal et culturel local. Pressoir à grand point de 1683. Exposition de crèches de Noël en décembre et janvier.
Le musée a été crée en 2007 par Georges GODOT et des anciens du centre école aéronautique de Saint-Yan est installé sur le site de l'Ecole Nationale de l'Aviation Civile. Le but est de maintenir la mémoire et la sauvegarde du patrimoine du centre de formation de pilotes de ligne de Saint-Yan et de l'aérodrome.
Le château situé au cœur de ce parc est un édifice aux volumes et au style éclectiques, il a été construit par l'architecte départemental Jean-Etienne Giroud, également auteur du château de la Fourrier sur la même commune. Le château a appartenu à la famille de Chargères (également propriétaire du château du Breuil), avant de passer par alliance au marquis d'Aux de Lescout, puis à la ville de Gueugnon dans les années 1970.
D'inspiration médiévale, ce jardin suggère l'allure des jardins monastiques. C'est un clos qui se lit à plusieurs niveaux : historique, ethnobotanique et symbolique. Il se compose de plessis tressés, agrémentés de plantes odorantes dont certaines étaient déjà cultivées au Moyen Age. L'artiste mosaïste Joël Barguil a transformé la cour latérale grâce à son œuvre monumentale "Lames de pluie". Ses galeries accueillent régulièrement des manifestations culturelles : expositions, concerts, salons.
A la Chapelle de La Colombière, on vénère les reliques de saint Claude la Colombière, le directeur spirituel de sainte Marguerite-Marie. Elle abrite les reliques du bienheureux Claude La Colombière (canonisé par le pape Jean-Paul II le 31 mai 1992), qui fut le confident et le soutien de sainte Marguerite-Marie dans sa mission. D’inspiration byzantine, la chapelle toute simple à l’extérieur s’enrichit à l’intérieur de mosaïques, de vitraux, de chapiteaux sculptés et peints ainsi que de sculptures offrant un décor foisonnant. En 2012, la chapelle a été inscrite à l’inventaire des Monuments Historiques.
Située au sommet de la montagne de Dun, cette chapelle, dont les origines remontent vraisemblablement au XIIème siècle, est l'ancienne église paroissiale de Saint-Racho. Ruinée, elle fut entièrement restaurée grâce aux dons de Philibert Lombard de Buffières (1838-1912), comte de Rambuteau.
Créé dans le pigeonnier du parc de la mairie, cet espace culturel et historique retrace l'histoire de Mme d'Artagnan, de la commune et du château. Ce dernier fut la propriété de la famille Boyer de Champlecy, notamment d'Anne-Charlotte de Champlecy, épouse de 1659 à 1671 de Charles-Batz Castlemore, comte d'Artagnan, qui inspira à Alexandre Dumas, son célèbre héros des "Trois Mousquetaires". La commune est une étape de la Route européenne d'Artagnan, première route équestre européenne.
Faïencerie de Charolles (FDC)
Patrimoine industriel, artisanal, rural, agricole et technique
CHAROLLES
La faïencerie de Charolles est une grande maison séculaire et à l'esprit singulier, qui , tout en conservant sa production traditionnelle locale, a su imposer sa touche audacieuse dans le monde de la faïencerie contemporaine et du design. La boutique est ouverte aux individuels. Possibilité de visites de groupe à partir de 20 personnes sur réservation.
Moulin de Lugny
Patrimoine industriel, artisanal, rural, agricole et technique
Dès
4
€
LUGNY-LES-CHAROLLES
Le moulin est un édifice datant du XIe siècle, abandonné à la fin de 1969 par son dernier meunier en activité, mais qui fait l'objet depuis 20 ans, à partir de 2001, d'une réhabilitation progressive. En 2011, une roue impressionnante, de 6m de diamètre et d'un poids de près de 7t, a été mise en place, ainsi que les engrenages et les meules. En 2013, une génératrice électrique est installée en vue d'une production d'électricité. Le site du moulin offre un joli point de vue sur le bief de la rivière Arconce ainsi qu'une aire de pique nique.
Au XVe s., un certain Botier serait tombé et décédé à l’emplacement de l’actuelle chapelle. Ses proches, notables de La Clayette, auraient alors érigé une croix en sa mémoire et, plus tard, une chapelle.
Au fil du temps, la chapelle a acquis une importance de plus en plus grande, et a dépassé son statut de simple chapelle commémorative.
Le 19 janvier 1794, la chapelle a été fermée par ordre du Conseil de surveillance de la Révolution, parce qu’elle servait de retraite à des fanatiques. Après la Révolution, la famille De Noblet a décidé de racheter la chapelle, afin de la rendre au culte. Le Marquis Louis-Marie-Abel De Noblet a réalisé de gros travaux afin de rendre à l’édifice son lustre d’antan, et en remerciement des grâces accordées par le Seigneur à sa famille durant la Première Guerre Mondiale.
?Malgré les travaux et l’enthousiasme de la population vis-à-vis de sa nouvelle chapelle, l’engouement a pourtant été de courte durée et l’entretien de l’édifice abandonné. En 2015, la famille De Noblet a décidé de céder la chapelle à la municipalité de Varennes-sous-Dun pour un euro symbolique.
Suite à cet achat, l’association des Amis de la Chapelle de la Croix-Bouthier (ACCB) a été créée pour faire revivre l’édifice. Depuis lors, de nombreux travaux et rénovations ont été réalisés.