Son environnement naturel fait la joie des promeneurs, on y découvre une forêt protégée par le réseau Natura 2000 notamment grâce à une faune et une flore particulièrement riche. Ses trois rivières, aux rives verdoyantes font le bonheur des pêcheurs.
Commune du Clunisois en Saône et Loire - Bourgogne du Sud
Charmant village très ancien de 111 habitants, traversé par une voie romaine dont il reste des vestiges.
Ozolles se situe à la jonction de trois régions naturelles: le Charolais, le Brionnais et les montagnes du Charolais. Prenez plaisir à randonner dans le bocage charolais et les sous bois pour découvrir les hameaux avec leurs maisons de pierre et leurs toits de tuiles plates, caractéristiques de la région.
Vivre à Ozenay.
Entre le doux flot de la Natouze et le bruissement des chênes en amont de la colline, les vieilles pierres du bourg d’Ozenay rayonnent d’un charme authentique. Commune de pierres et d’histoire, Ozenay a su conserver un cachet unique dans le Tournugeois. Ses sept hameaux dégagent sans exception cette même atmosphère sereine et paisible.
Ce plaisant tableau est le fruit d’une longue histoire. Les premières traces d’habitat à Ozenay datent du premier millénaire avant notre ère. Si des installations gallo-romaines sont attestées sur plusieurs sites dans la commune, les villages ne se sont pas sédentarisés avant le Moyen Age.
En plein XIIe siècle roman fut élevée l’église du bourg, dédiée aux saints Gervais et Protais, martyrs de Milan. Les paroissiens viennent tant d’Ozenay, que des villages voisins : Chavy, Corcelles, Gratay, Messey et Outry. La carte de la future commune est déjà existante dès le Moyen Age. Ozenay et ses hameaux comptent jusqu’à un millier d’habitants au XIXe siècle. C’est alors la belle époque de l’expansion viticole. La calamité du phylloxéra, anéantissant les vignobles dans toute la France, y porta un terme brutal dans les années 1870. Ozenay n’a depuis cessé de voir partir ses habitants pour d’autres horizons et les volets de ses maisons se fermer pour longtemps. Le début du XXIe siècle semble néanmoins plus prometteur pour la petite commune : un léger regain de population inespéré et la réouverture d’un commerce tant attendu sont venus redonner espoir. Aux désillusions des années 1980 succède le temps de toutes les espérances.
La commune d’Ozenay compte en 2003 près de 230 habitants. Sa superficie totale couvre plus de 1300 hectares, entre 250 et 350 mètres d’altitude environ. Un tiers est recouvert de forêts et de taillis, et près du quart est classé dans l’aire d’appellation viticole contrôlée du Mâconnais, dont 70 ha, sont actuellement plantés. La viticulture est l’activité privilégiée, c’est ce qui fait encore d’Ozenay une terre mâconnaise. Le sol calcaire de la commune permet aux cépages Chardonnay, Pinot et Gamay de produire d’excellents Bourgognes et Mâcon Villages, régulièrement récompensés lors des grands rendez-vous vineux. Longtemps terre d’élevage, Ozenay a conservé un certain nombre de troupeaux bovidés, dont un laitier de plus de cent têtes. Outre ces animaux charmants, la vie locale est animée tant par l’école publique que par les associations. C’est autour du feu de bordes que se retrouvent les habitants au mois de février, alors que fin juillet, le bal champêtre annuel a acquis une sympathique renommée dans tout le Tournugeois.
Commune de pierres et d’histoire, à l’image de sa table des hameaux inaugurée en ce début de millénaire, Ozenay n’en a pas moins une sérieuse option vers l’avenir.
Randonnées
La Commune d’Ozenay est sillonnée par de nombreux sentiers, qui desservaient autrefois les champs et cultures, aujourd’hui très appréciée pour les randonnées pédestre, cycliste ou équestre. Ils permettent d’apprécier la flore et la faune locales, particulièrement riches.
Nochize, bourg du Charolais situé à quelques kilomètres de Paray-le-Monial est un excellent point de départ pour découvrir le Grand Charolais. Son église du XIIème siècle a été rénovée en salle communale au cœur du bourg. Vous découvrirez, au grè de vos randonnées, le bocage charolais, le Vallo de l’Arconce, l’étang Charron et le patrimoine architectural dont le manoir de Pancemont (privé, maison d’hôtes), une ferme-manoir brionnaise ; le château de Chevenizet (privé) du XIIIème siècle dominant la vallée de l’Arconce ; le moulin de Vaux, ancien moulin du XIXème siècle au bord de l’Arconce.
Situé au confluent du Doubs et de la Guyotte, Navilly fait le bonheur des pêcheurs. On peut y admirer deux ponts édifiés au XVIIIe siècle par Emiland Gauthey. L’un de ces ponts, situé sur le Doubs, est classé monument historique. L’église date du XIXe et est placée sous le vocable de l’Assomption de la Vierge. Le village compte aussi un château du XVIIIe (privé) et une chapelle du XIe siècle, la chapelle Saint Léger qui fut restaurée en 1975.
Mornay, au cœur du Charolais, est recouverte en grande partie par la forêt d'Avaize et le bois de Chaumont. La rivière L'Arconce à l’Ouest et ses affluents, notamment la Recordaine au Nord, ainsi que les prairies verdoyantes du bocage complètent les paysages de la commune
Montcoy est une petite commune agréable ceinturée de bois, idéal pour profiter de balades dans la nature. Dans les bois, nous pouvons notamment admirer la statue, au piédestal si particulier, de "La Vierge de l'Immaculée Conception" réalisée par Joseph Baudrand en 1873.
La commune est située entre le Doubs et la Saône. La partie la plus ancienne du village de Mont-lès-Seurre se trouve sur une hauteur non loin du Doubs, et l’origine de son nom vient de cette situation dans une région de plaine inondable. L’habitat est concentré dans le village de Mont-lès-Seurre, situé au sud de la commune, dans son hameau principal Chazelle, en bordure de Saône au nord, et dans le petit hameau de Méchin, au nord-est.
L'église de Mont-lès-Seurre, dédiée à saint Martin, remonte au XVe siècle. Elle est le dernier édifice à avoir conservé des murs à pans de bois et torchis, unique en Bresse bourguignonne.
La maison du pâtre communal qui, jusqu'entre les 2 guerres, conduisait les troupeaux de tous les propriétaires dans les vaines pâtures, a été conservée et transformée en abri de bus. La commune dispose d’une mise à l’eau à Chazelles.
Isolée dans le vallon, l'église Saint-Blaise fut fondée par Cluny sur un site gallo-romain au XIe siècle.
En contrehaut, les bâtiments du carmel de la Paix sont dus à l'architecte J.L Sert, disciple de Le Corbusier. La rusticité du béton brut et les lignes sobres des bâtiments étagés à flanc de colline s'intègrent parfaitement à la quiétude de l'environnement. L'ensemble a été construit en 1971 lors du transfert de la communauté fondée à Chalon-sur-Saône en 1610. On peut assister aux offices et partager la vie, travaux et prières, de la communauté.
Au bourg de Mazille jadis fortifié, belles maisons rurales et ancien château des moines de Cluny dont la chapelle voûtée domine la vallée de Cluny. C'est aujourd'hui une exploitation agricole.
Commune de Saône-et-Loire, Martigny-le-Comte est une petite ville dynamique avec ses associations, producteurs et hébergements touristiques. Ses paysages typiques du Charolais, les ruines du château de Commune (privé, en cours de restauration) ou bien encore le grand-moulin sont à découvrir au gré des balades vertes. Au cœur du village, son église Sainte-Euphémie dont le clocher, datant du XIIème siècle, est classé au Monument Historique, et son château (privé non visitable), surplombant le bourg, sont à admirer. Le château de Martigny a été restauré dans le style néo-gothique au XIXème siècle. L’ancienne forge du bourg devient un lieu de rassemblement avec les Amis de la forge.