Point de vue incontournable à ne pas manquer. Le Mont Saint-Cyr culmine à 771 mètres d'altitude. Il s'agit du plus haut sommet de la Bourgogne du sud.
Du haut du sommet, le panorama est aussi vaste que varié (Charolais, Brionnais et Clunisois). À ses pieds, on découvre les vallées profondes, les collines boisées, les coteaux recouverts d’une riche végétation et tout au bas, le bourg de Montmelard. Depuis les tables d’orientation vous permettant de vous repérer, vous pourrez, par temps très clair, apercevoir le sommet du Mont Blanc. Vous marcherez sur les traces romantiques d’un monastère du Xe siècle, détruit durant les guerres de religion. Une aire de pique-nique aménagée en pleine forêt permet de s’y reposer en toute tranquillité. Site ouvert toute l’année, accès libre dans le respect de l’environnement.
Citée pour la première fois en 1075, cette chapelle est aujourd’hui englobée dans une villa moderne du 19e siècle. Située au sud de l’abbaye, sur une colline, à proximité de la porte Sainte-Odile (anciennement Odilon), elle était dédiée au saint Odilon de Mercœur, cinquième abbé de l’abbaye de Cluny dont le culte s’est largement développé au milieu du 11e siècle.
Certainement construite dans la deuxième moitié du 11e siècle, elle était entourée d’un petit cimetière et a été le lieu de signature de plusieurs actes. La chapelle est une propriété privée qui ne se visite pas.
Le Musée de l'Ours est issu d'une collection privée. L'espace met en valeur plus de 800 ours en peluche de plusieurs générations aussi originaux que remarquables. La visite se complète par une représentation de l'animal à travers le monde et dans diverses thématiques (art, littérature, cinéma, publicité...).
Chaque visite est commentée par une arctophile qui aime faire partager sa passion que l'on soit petits ou grands.
Un musée unique en son genre, qui expose tous les aspects de l'histoire et de la culture des sourds, l'histoire des nombreuses écoles pour enfants sourds, le rôle des professeurs sourds, la vie sociale des enfants sourds, des productions artistiques, l'histoire de la langue des signes.
La maison de la mémoire cuisellienne retrace deux épisodes historiques majeurs de la ville de Cuiseaux. Tout d'abord, la production vigneronne, qui a progressivement disparu.. Pour être remplacée par le travail ouvrier dans les établissements de salaison Morey. Le tout dans une belle maison vigneronne traditionnelle, avec son atelier de tonnelier reconstitué.
En Bresse bourguignonne au cœur du village de Saint-Usuge, situé à 5 minutes de Louhans, la ville aux 157 arcades, prenez le temps de vous arrêter au Musée du Vélo pour une visite gratuite et faite par le propriétaire lui-même : Jean-Pierre Jouvenceau, un accro du vélo. Un homme passionné de vélo et passionnant quand il vous en parlera : Jean-Pierre est intarissable, une passion dévorante pour le vélo et le Tour de France qu’il saura vous transmettre aux travers d’anecdotes, de souvenirs ainsi que via une collection de bicyclettes, maillots de champion et portraits présents au sein du Musée ! Un Musée qui convient aussi bien aux adultes qu’aux enfants. Ce Musée vaut réellement le détour que vous soyez un féru de la petite reine ou un simple curieux !
Le Musée du Vélo est dédié à la légende du Tour de France, épreuve mythique et unique en son genre, avec ses joies, ses drames, ses exploits. Une collection compilée par son propriétaire Jean-Pierre, ancien coureur amateur, passionné de la Grande Boucle. L'exposition thématique se compose d'une collection de bicyclettes, d'équipements d'époque, de photos, de maillots de champions mais aussi de documentaires vidéo, d'images d'archives.
Les chefs d’œuvre des soldats artistes racontent 1914-1918. Lorsque la guerre éclate en août 1914, les soldats français partent la fleur au fusil persuadés d'être rapidement de retour chez eux. Mais la guerre s'enlise. Au front dans les tranchées ou à l'arrière, pendant les courtes périodes de repos, les poilus commencent à fabriquer une multitude d'objets... Leur première vocation est utilitaire : le briquet indispensable pour chauffer le vin gelé, griller une gauloise, vient remplacer les allumettes trop humides, les lampes ou les bougeoirs permettent de s'éclairer, les cannes de marcher sans s'embourber. Ensuite pour tromper l'angoisse entre deux assauts, défier l'ennui, s'occuper l'esprit, les poilus se mettent à fabriquer des cadeaux qu'ils destinent à leur famille : timbales ou bracelets, cadres photos, parures de bureaux, vases... A l'occasion des commémorations du centenaire de la mobilisation d'août 1914, plus de 1000 chefs-d’œuvres de poilus sont exposés sur 420 m² : douilles sculptées, cannes, broderies, briquets, bagues, encriers, coupe papiers, lampes, avions, casques miniatures, plumiers... sans oublier les objets rapportés de captivité. Des panneaux explicatifs avec des centaines de cartes postales anciennes et documents: les front et les tranchées, les événements, la propagandes batailles... La reconstitution de scènes d'époques (un champ de bataille, abri sous terrain, fabrication d'objets dans une tranchée, l'arrière du front, la captivité en Allemagne) et des vision de vues stéréoscopiques.
Sur les traces des compagnons charpentiers... !
Venez découvrir les chefs-d’œuvre des compagnons charpentiers et l'histoire de l’école de tracé de charpente fondée en 1871 à Romanèche-Thorins. Son fondateur Pierre-François Guillon, compagnon charpentier, transmettait à ses élèves un enseignement en dessin, découpe des matériaux et techniques des métiers du bois. Le tracé de charpente et le compagnonnage sont inscrits par l’UNESCO au patrimoine culturel immatériel de l’humanité.
Visitez le musée en famille avec le parcours enfants de 3 à 8 ans.
Dernière visite 1 heure avant la fermeture (de novembre à février inclus).
Découvrez un lieu unique en France : le musée de l'imprimerie retrace toute l'histoire du journal local L'Indépendant, dans ses anciens locaux. Laissez-vous séduire par l'ambiance de ce lieu, où toutes les machines et outils sont demeurés à leur place. De plus, un espace est consacré à l'histoire de l'imprimerie.
Site labellisé Accueil vélo.
Jean Cocteau, Marie Laurencin, Léonard Fujita ou encore Armand Point ont trouvé leur place au sein du nouveau parcours permanent.
Le musée se réinvente autour de deux grands axes : peinture académique et art du XXème siècle. Il offre aux visiteurs une porte d’entrée sur les grands genres dans l’art et une découverte de nombreux mouvements artistiques.
C’est un parcours pensé pour la découverte qui a été mis en place. Découvrez des espaces rénovés, un nouveau parcours de visite et des œuvres inédites afin d’apprécier les richesses de ce musée de France.
Des expositions temporaires, des conférences, des ateliers artistiques, des visites guidées pour groupe ou individuel vous sont proposées tout au long de l’année.
L'Hôtel-Dieu de Tournus, un témoin privilégié de l'histoire hospitalière. Construit au XVIIe siècle puis agrandi jusqu'à la fin du XVIIIe, l'Hôtel-Dieu de Tournus, avec ses trois salles des malades, ne craint pas de rivaliser avec celui de Beaune.
Les salles anciennes ont été restaurées avec leur mobilier d'origine de façon à restituer l'atmosphère d'alors.
Les traditionnels lits clos en chêne sont encore alignés avec leur poêle central, les ustensiles d'époque.
Construite en 1856, l'église de Massilly sous le vocable de Saint-Denis, est citée à plusieurs reprises dans le recueil des chartes de l'Abbaye de Cluny. Elle appartenait à l'ager de Merzé, centre de peuplement situé sur la rive droite de la Grosne, et qui a presque totalement disparu. En 1675 l'église avait sa nef et son chœur bien voûtés et couverts de laves.
L'ancienne église de Massilly, très probablement romane, se composait d'une nef unique, d'une travée de chœur plus étroite, supportant un haut clocher carré que couvrait une flèche à quatre pans, et d'une abside semi-circulaire. L'acte de visite du 27 juillet 1716 mentionne dans l'église, à gauche, une chapelle de Saint Denis. Cette église fut vendue pour 38000 livres à plusieurs acheteurs le 12 Nivôse an 7.