Lové au cœur d’un vallon de Bourgogne du Sud, notre jardin naturel s’organise en cinq espaces clos gravitant autour d’une demeure bourbonnaise du XVIIIème siècle. Les ambiances s’enchainent au rythme des clins d’œil, des parterres de vivaces, des massifs de rosiers, de graminées et des bassins de nymphéas ouverts sur la campagne environnante.
Crées en 2003 sur un demi hectare, les jardins des Soussilanges se dévoilent au rythme de chacun. Le visiteur averti échangera ses impressions , le rêveur s’échappera au grés des ambiances et le poète qui sommeille en chacun y puisera peut-être l’inspiration…
Jardins et campagne ne font plus qu’un, le temps s’arrête, l’heure est à une balade intime au sein du bocage de France.
La Vitrine est un ancien magasin et maison sur trois étages, située au centre historique de Marcigny.
Elle est entièrement restaurée et adaptée pour accueillir des artistes. Elle est là, pour présenter l’art contemporain et pour faire revivre le lieu de façon participative et aussi expérimentale, toujours dans l’art contemporain.
Pour débuter la saison de l'année 2023, une vitrine illuminée et créée par Eva Ducret vous attend. Ensuite, la Vitrine se transformera en atelier-broderie pour créer une œuvre participative, guidée par Kathrin Stalder (artiste Suisse). Suivra une œuvre réalisée par 50 artistes en résonnance avec "Satellite" une exposition à la Filature de Varennes sous Dun.
Au mois d'août s'affichera une exposition personnelle de photo "Corpus", par l'artiste Serge Faudin.
Ce bâtiment du XVème siècle abrite des collections diversifiées sur trois thèmes : Minéralogie, Archéologie, Arts et Traditions. Sont au programme du calendrier d'ouverture annuelle : ateliers (enfants/ famille/ adolescents-adultes), des visites guidées et des événementiels, en plus de visite en accès libre.
L' église de Collonge, dont le chœur remonte au XIIe siècle, est sous le vocable de St. Barthélémy. Aucune église dédiée à St. Barthélémy ou à Ste. Madeleine n'est citée dans l'archiprêtré de Couches (sauf le prieuré Ste. Madeleine de Montartaux) au plus ancien pouillé complet du diocèse d'Autun, datant du XIVe siècle (de Charmasse, Cartulaire de l'Evêché d'Autun) ce qui laisse supposer que l'église, existant au XIIe siècle, était chapelle castrale. La topographie des lieux ne contredit pas cette hypothèse et il est fort possible qu'il y ait eu deux châteaux sur les terres de Collonge, celui d'Alibour, et un autre, au bourg. Les titres ne permettent pas de faire une distinction. Pour ce qui est du site d'Alibour, la motte est à 750 mètres au sud de l'église, dans un bas-fond, au confluent de deux ruisseaux dont le cours réuni se dirige à l'ouest vers le ruisseau de Digoine, affluent de la Drée.
À la fin du XIIe siècle, Couches est séparé en deux territoires distincts : Couches en Royauté et Couches en Duché. Le village, en royauté, s’est développé sous la protection du Roi de France. L’origine de cette propriété remonte au traité de 1186 accordant aux moines la protection royale. Ceux-ci dotèrent les soldats du Roi d’une construction militaire pour s’opposer au seigneur du Château de Couches. Le bâtiment actuel date du XVe siècle et la toiture en tuiles vernissées du XIXe siècle. Le parc comprend des arbres vieux de près de 500 ans. A l'entrée, deux petites tours de chaque côté de la porte. Dans la cour, une grosse tour carrée. C’est elle « La Tour Guérin». Visite extérieure uniquement.
Construit aux environs de 70 après Jésus Christ et situé à l’est de la ville antique, il était destiné aux représentations dramatiques. Avec ses 148 mètres de diamètre, il apparaît comme le second plus grand du monde romain, pouvant accueillir 20 000 spectateurs. S‘appuyant sur la pente naturelle du terrain, le théâtre est de style classique avec des gradins disposés sur trois rangées semi-circulaires, coupées par des escaliers. Un mur imposant fermait le théâtre derrière la scène, d’une hauteur supposée de 30 mètres. Visite libre.
L'artiste, diplômée de l'école des Beaux Arts de Bâle, vous propose de découvrir la peinture à la "Méthode Artbucher" au travers de cours, de stages ou de séminaire, en groupe ou individuel, dans un environnement unique en Bourgogne du Sud. Cette méthode permet à toute personne de faciliter l'utilisation des activités artistiques (peinture, dessin, croquis) comme moyen d'expression. L'objectif est le plaisir de faire de nouvelles expériences, de se ressourcer, de se retrouver, et de bénéficier d'un lieu privilégié pour l'inspiration.
Aucune ville de Gaule ou bien d’Italie n’accueille un ensemble de portes romaines aussi bien conservé qu’à Autun. Elle possède une architecture proche de la porte d'Arroux mais a subi de nombreuses restaurations notamment de Viollet-le-Duc. Visite libre.
Tout comme la porte d’Arroux, la porte Saint-André présente encore quatre passages au niveau de la chaussée, deux grandes baies centrales permettant la circulation des chariots et deux ouvertures plus petites dans l’alignement des trottoirs. Au premier étage, une galerie percée de dix arcades correspond au prolongement au niveau de la porte, du chemin de ronde situé au sommet de l’enceinte urbaine.
Cette partie centrale percée d’ouvertures est édifiée à partir de grands blocs de calcaire quadrangulaires provenant de la région chalonnaise. Elle était initialement flanquée de deux tours au plan en forme de fer à cheval, l’arrondi étant dirigé côté campagne et édifiées à partir de petits moellons rectangulaires en grès. Elle permettait de quitter Augustodunum et de se rendre vers l’est en direction de Langres et de Besançon, les capitales respectives des peuples voisins des Lingons et des Séquanes.
Une église placée sous le vocable de Saint André (un vocable qui a donné son nom au monument) a été installée au cours du Moyen-Age dans la tour de flanquement septentrionale. Cette réoccupation médiévale a permis la conservation de l’infrastructure, qui accueille désormais un temple protestant.
Les chercheurs s’accordent généralement à penser que la porte Saint-André a été édifiée dans le courant du Ier siècle de notre ère, quelques décennies après la porte d’Arroux. Des restructurations de la galerie supérieure au moyen de blocs de grès pourraient quant à elles dater de la fin de l’Antiquité et de la période des invasions.
L’édifice a été restauré en 1844 par Eugène Viollet-le-Duc, puis classé en 1846 au titre des monuments historiques.
Cette porte datée du début du 1er siècle après Jésus Christ, ouvrait au nord, à l'extrémité du cardo maximus (voie traversant du nord au sud). Elle présente deux grandes arcades pour le passage des véhicules et deux petites pour les piétons. Visite libre.
Aucune ville de Gaule ou bien d’Italie n’accueille un ensemble de portes romaines aussi bien conservé qu’à Autun. Trois des quatre portes monumentales y sont en effet encore partiellement visibles.
Tout comme la porte Saint-André, la porte d’Arroux présente encore quatre passages au niveau de la chaussée, deux grandes baies centrales permettant la circulation des chariots et deux ouvertures plus petites dans l’alignement des trottoirs. Au premier étage, une galerie percée de dix arcades correspond au prolongement au niveau de la porte, du chemin de ronde situé au sommet de l’enceinte urbaine. Une rainure pratiquée dans la voûte des baies centrales permettait le passage d’une herse dont le mécanisme se situait à l’intérieur de la galerie à arcades. Des recherches archéologiques récentes ont démontré l’existence d’une cour intérieure et d’une seconde façade côté ville, comme cela est attesté sur des portes de Gaule (Nîmes, Toulouse) ou d’Italie (Turin, Aoste). Aujourd’hui il ne reste rien de ce dispositif semblable à un sas, qui permettait de contrôler le flux des personnes et des marchandises et de percevoir des taxes. Certains chercheurs envisagent à titre d’hypothèse que ce dispositif ait pu être présent sur les autres portes, sans preuve toutefois.
La partie centrale percée d’ouvertures est édifiée à partir de grands blocs de calcaire quadrangulaires provenant de la région chalonnaise, excepté les bases des assises en arkose grise du plateau d’Antully. On remarquera la finesse et l’excellent état de conservation des éléments sculptés au niveau des chapiteaux, des pilastres cannelés et des corniches à modillons. Les baies étaient initialement flanquées de deux tours au plan en forme de fer à cheval, l’arrondi étant dirigé côté campagne, et édifiées à partir de petit moellons rectangulaires en grès. Contrairement à la porte Saint-André, il ne reste rien de ces tours de flanquement.
Cette porte a été édifiée sous le règne d’Auguste et constitue l’une des premières constructions réalisées au moment de la fondation d’Augustodunum qui porte le nom de l’empereur. Elle se situe à l’aboutissement de la rue principale appelée « cardo maximus », qui marque le passage dans l’espace urbain de la grande voie romaine dite de l’Océan reliant Lyon à Boulogne-sur-Mer (Pas-de-Calais). En passant sous la porte d’Arroux, on quitte ainsi la ville en direction de Sens, la capitale du peuple voisin des Sénons.
La porte est classée monument historique depuis 1846.
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TOULON-SUR-ARROUX
A pied ou à vélo, sortez des sentiers battus et partagez une expérience de connexion avec la nature !
Collecter des éléments naturels pour redonner vie à la Salamandre du Val d'Arroux. Une activité Land Art qui incite à (re)découvrir la nature et à exprimer votre créativité.
Laissez-vous surprendre par l'envol de la huppe faciée et imitez son chant. Observez l'infiniment petit en marchant pieds-nus, dégustez du sirop de sureau...
Location de vélos possible sur place.
Église Saint-Gervais et Saint Prothais de Saint-Gervais-sur-Couches (XIIIe siècle, classée au titre des Monuments historiques le 2 juin 1911) : retable du XVe et statues du XVe également classés aux MH. Très ancienne, elle est remarquable par son architecture, mélange intime des procédés gothiques et romans qui s'y rencontrent.
Elle est située sur une place, ombragée au nord par des tilleuls entourant une croix de commémoration, et au sud, présente un petit jardin des simples et les vestiges de l'ancien cimetière (croix et tombes) , ainsi qu'un lavoir et un arbre de paix (tilleul). C'est un endroit paisible, invitant au recueillement.
Horaires d'ouverture annuels de 9h à 19h, mais le plus souvent pendant les beaux jours de printemps ou d'été, l'église reste ouverte jusqu'à 21h.
Montez dans ce drôle de quadricycle 3 places et partez en famille avec toutes les générations, les tout petits (de 18 mois à 5 ans) sur les 2 sièges à l'avant et toute la famille pédale dans la bonne humeur à la découverte de Paray-le-Monial.