Bâti au XIIIe siècle, cet Evêché fut à la tête d’un domaine appartenant à l’Evêché d’Autun.
Il fut profondément remanié au XVe siècle par Jean Rolin, évêque puis cardinal d’Autun, qui lui conféra entre autres ouvrages la façade gothique actuelle.
Pour une visite qui révèle les particularités du bâti ancien (lecture architecturale, typologie, matériaux, mise en œuvre, propriétés, pathologies, restauration), appelez le 06 14 67 27 61, le propriétaire galopera du Moyen Age afin de partager avec joie un moment d’échange constructif.
Musée-Maison de l'invention de la photographie et du moteur à explosion/combustion interne par Nicéphore Niépce :
- reconnue "Maison des Illustres" par le Ministère de la Culture en 2013, avec le parrainage de l’Académie des Sciences et de l’Académie des Beaux-Arts,
- entièrement financée par Spéos, l'Ecole photo internationale - Paris & Londres.
En Bourgogne-Franche-Comté (71), à deux pas du Morvan, 1h de Dijon et de Chalon sur Saône, VIVEZ AU CŒUR DE LA NATURE, un grand moment d'ouverture des sens et de découvertes assurées, au sein de notre éco-centre en permaculture, agro-biologie et biodynamie.
Découvrez le domaine d'Alôsnys, parc de 3.5 ha avec son jardin mandala en auto-cueillette, ses parcs d'animaux, son espace formation, ses airs de jeux, sensoriels et de loisirs, sa grande collection d'aromatiques, ses plantes médicinales, la pépinière, le petit magasin et la graineterie. Découvrez son grand chemin pieds-nus en forme d'escargot. Petite dégustation ouverte à tous les visiteurs.
La transmission de nos savoirs s'effectue lors d'ateliers et formations en permaculture , agroécologie et base de biodynamie (détail sur www.alosnys.com). Les visites du domaine offrent un premier contact avec ces techniques et la découverte d'un très bel espace.
La Tour Marchaux aussi dite Tour de l'Horloge, située au n°30 de la petite rue Marchaux, domine aujourd'hui le quartier. Elle était à l'origine une tour d'escalier ostentatoire qui desservait les étages d'un hôtel particulier à la fin du Moyen-Âge appartenant au XVe et XVIe siècles à la famille de Clugny. En 1793, on la coiffa d'un dôme et on y plaça l'horloge qui provenait de la porte haute de l'enceinte de Marchaux, détruite quelques années plus tôt.
L' église de Collonge, dont le chœur remonte au XIIe siècle, est sous le vocable de St. Barthélémy. Aucune église dédiée à St. Barthélémy ou à Ste. Madeleine n'est citée dans l'archiprêtré de Couches (sauf le prieuré Ste. Madeleine de Montartaux) au plus ancien pouillé complet du diocèse d'Autun, datant du XIVe siècle (de Charmasse, Cartulaire de l'Evêché d'Autun) ce qui laisse supposer que l'église, existant au XIIe siècle, était chapelle castrale. La topographie des lieux ne contredit pas cette hypothèse et il est fort possible qu'il y ait eu deux châteaux sur les terres de Collonge, celui d'Alibour, et un autre, au bourg. Les titres ne permettent pas de faire une distinction. Pour ce qui est du site d'Alibour, la motte est à 750 mètres au sud de l'église, dans un bas-fond, au confluent de deux ruisseaux dont le cours réuni se dirige à l'ouest vers le ruisseau de Digoine, affluent de la Drée.
À la fin du XIIe siècle, Couches est séparé en deux territoires distincts : Couches en Royauté et Couches en Duché. Le village, en royauté, s’est développé sous la protection du Roi de France. L’origine de cette propriété remonte au traité de 1186 accordant aux moines la protection royale. Ceux-ci dotèrent les soldats du Roi d’une construction militaire pour s’opposer au seigneur du Château de Couches. Le bâtiment actuel date du XVe siècle et la toiture en tuiles vernissées du XIXe siècle. Le parc comprend des arbres vieux de près de 500 ans. A l'entrée, deux petites tours de chaque côté de la porte. Dans la cour, une grosse tour carrée. C’est elle « La Tour Guérin». Visite extérieure uniquement.
La Tour des Ursulines (XIIème siècle) est élevée sur des bases gallo-romaines et intégrée au rempart. Au XIXème siècle, les Visitandines prennent possession du lieu et y installent la statue de la Vierge. La Tour appartient à un artiste japonais, Hisao Takahashi, maître dans l'art de la peinture murale, il y crée le centre culturel international de la Tour des Ursulines (pratique et enseignement de l'art de la fresque et des échanges culturels internationaux). Lieu d'expositions artistiques.
La Tour des Ursulines, anciennement Tour des Prisonniers ou encore Tour François Ier, est un donjon érigé au XIIè siècle. La tour avait pour fonction de protéger l'ancien château Rivault. C'est le principal vestige de ce château démantelé vers 1600, dont le nom dérive du latin rivus. Ce nom a également été porté par les anciens seigneurs, et s'est ensuite gardé dans l'appellation du Quartier Rivault.
Dès le XII siècle, cette construction se trouvait sous la dépendance du puissant prieuré Saint Georges. L'expression "Bajole" viendrait soit de Bayulus qui désignait, un officier de justice royale, soit de Bezola nom d'un ventier du prieuré, important collecteur d'impôts. Elle s'appela également : maison Saint-Louis, maison Sarotte, Lanot et la tour aux ventiers. Visible uniquement de l’extérieur,
Construit aux environs de 70 après Jésus Christ et situé à l’est de la ville antique, il était destiné aux représentations dramatiques. Avec ses 148 mètres de diamètre, il apparaît comme le second plus grand du monde romain, pouvant accueillir 20 000 spectateurs. S‘appuyant sur la pente naturelle du terrain, le théâtre est de style classique avec des gradins disposés sur trois rangées semi-circulaires, coupées par des escaliers. Un mur imposant fermait le théâtre derrière la scène, d’une hauteur supposée de 30 mètres. Visite libre.
De style himalayen, le temple bouddhiste Paldenshangpa de la Boulaye a été fondé en 1974 par un lama tibétain. Élevé sur trois niveaux, il accueille des statues gigantesques de Bouddhas et de nombreuses peintures éclatantes de couleurs. Parcourez son jardin orné de bannières colorées et d'un stupa, monument de culte tibétain de forme pyramidale. Toute l'année, vous pouvez visiter le parc, la galerie du temple, la boutique et assister à 9h et 18h aux rituels avec chants et musique.
Une salle de projection permet le visionnage d’un film retraçant l’épopée des SAS (DVD en vente à l’office de tourisme)
Visite en autonomie traduite en anglais, allemand et néerlandais
Un jeu de piste est proposé pour les enfants
Ouverture : aux horaires de l’office de tourisme pour récupérer les clés
Le muséum d’Histoire naturelle Jacques de La Comble rassemble plus de 800 000 échantillons représentant des spécimens de tous les domaines des sciences de la nature. Il conserve la première collection mondiale de nodules fossilifères du Carbonifère continental (160 000 pièces). Le muséum d’histoire naturelle d’Autun trouve son origine au début du 19e siècle. Les collections alors constituées par la Société d’histoire naturelle et actuellement propriété de la Ville d’Autun, sont d’une exceptionnelle qualité. Les expositions temporaires sont chaque année l’occasion d’une mise en lumière particulière d’une des thématiques présentes dans les collections permanentes. Le muséum d’Autun conserve dans ses réserves des spécimens naturalisés dont une collection d’oiseaux, d’œufs et de nids représentant plus de 10 000 spécimens, ainsi que des insectes (plus de 100 000) , Des herbiers (plus de 300 000 planches) contenant des plantes provenant de toute l’Europe et même provenant de l’Afrique du Nord, collectées dès le 19e siècle. De très nombreux minéraux qui retracent l’histoire géologique de la région.
Des dizaines de milliers fossiles représentant les animaux et les végétaux ayant vécu dans notre région entre 300 et 275 Ma. Le bassin d’Autun est une référence mondiale dans l’histoire de la Terre pour une période de l’ère primaire. On parle de stratotype. Les fossiles conservés dans les collections du musée en sont le témoignage. Vous trouverez également, un échantillon des collections qui sont en réserve, sur la préhistoire dans le bassin d’Autun au Moustérien (90 000-35 000 ans) et au Néolithique (5 000 ans). Les animaux fossiles du Carbonifère de Blanzy-Montceau les Mines-Le Creusot (300 millions d’années) La flore et la faune fossiles du bassin d’Autun (295 à 275 millions d’années)
Les routes de l’énergie, histoire d’une filière industrielle : celle-ci est organisée autour des schistes bitumineux permettant la production d’huiles de schistes, équivalent au pétrole naturel, du charbon et de l’autunite, premier minéral d’uranium français. Les traces des premiers dinosaures morvandiaux Les minéralisations caractéristiques des mines et carrières du Morvan, exploitées pour fournir en fluorine les industries de fabrication de l’acier et de l’aluminium.
Les animaux du grand Nord (élan, renne, tigre de Sibérie, renard argenté, renard blanc, renard bleu, glouton…)
La salle d’ornithologie avec l’exposition « L’Art d’être un oiseau »