Écuelles est un petit village situé au bord de la Saône à proximité de Verdun-sur-le-Doubs. En 1832, lui est rattaché le village de Molaise, où, au XIIème siècle, une abbaye cistercienne (depuis disparue) a été construite. C’est là aussi qu’est né l’instituteur Pierre Vaux, victime d’une tragédie qui reste dans de nombreuses mémoires.
On y trouve 1000 ha dont 83 en forêt domaniale gérée par Natura 2000 propice aux promenades agréables et reposantes. Les bords de Saône, intacts et sauvages invitent à admirer des martins-pêcheurs, hérons cendrés, râles des genêts, guêpiers, et bien d'autres oiseaux.
Verdun-sur-le-Doubs, capitale de la Pôchouse est un village niché au confluent de la Saône et du Doubs, est situé à égale distance de Beaune et de Chalon (22 km). Cette situation géographique ainsi que les axes de communication en font une petite ville conviviale.
Petit village rural d’une centaine d’habitants de la Communauté de Communes Sud Côte Chalonnaise, Bissy-sur-Fley fait partie des destinations incontournables avec le château Pontus de Tyard, labellisé Maison des Illustres. Ce Monument historique, longtemps laissé à l’oubli, renaît depuis vingt ans grâce aux actions de l’association Renaissance du Château de Pontus de Tyard forte de ses 200 adhérents, dont la majorité sont des habitants de Bissy-sur-Fley. L’église romane est également remarquable, tout comme le « petit patrimoine » du village : croix, lavoirs, cadoles… Une journée est à peine suffisante pour découvrir les trésors de Bissy !
Au nord de la Communauté de Communes Sud Côte Chalonnaise, Bissey-sous-Cruchaud, traversé par la route des Grands Vins et bordé par la Voie Verte à l’est, est un village viticole offrant un joli patchwork de parcelles coloriées et variées.
Le village, sur un site certainement déjà occupé par les Gallo-romains, a vu naître l’une des premières caves coopératives de vignerons en Bourgogne dès 1928.
L’église Saint-Jean-Baptiste, en partie romane, a souffert (en témoignent ses murs qui en portent la trace) mais présente des richesses étonnantes avec un retable sculpté et des statues en bois dorées des XVIIème et XVIIIème siècles.
Dans le bourg, ne manquez pas la maison d’Emiland Gauthey, architecte qui réalisa le canal du Centre, de nombreux ponts, l’église de Givry et le théâtre de Chalon-sur-Saône. Des cadoles dans les vignes et la fontaine du Cloux sont également à voir au détour des chemins.
A la frontière du Charollais, au pied du Mont Saint-Vincent, la commune de Collonge-en-Charollais offre de grands espaces de nature préservée et 417 hectares de forêt (70 % du territoire communal), propices aux randonnées. Le GR7 traverse la crête de la commune du nord-ouest au sud-est. Deux parcours de Balades Vertes vous permettent de découvrir Collonge-en-Charollais : « La Mer de Pierre », curiosité géologique constituée d’un amas de grès faisant penser à une mer immobile ou « le Sentier de la Résistance », circuit ayant été emprunté par les résistants qui avaient établi leur camp en Portus nommé « camp des loups » lors de la Seconde Guerre Mondiale, l’un des plus importants maquis français en 1942. Un monument commémoratif, « le monument de Maranges », édifié en 1946 en hommage aux 7 maquisards tués par l'occupant pendant la Seconde Guerre mondiale est à voir. L'église Saint-Etienne-de-Collonge mérite que l’on s’y arrête pour découvrir entre autres un vitrail et un cartouche lapidaire du XVème siècle. Vous pourrez également contempler une ancienne tour datant du XVIème siècle, le donjon de Montvoisin, le lavoir du bas de Collonge et le moulin des Anses.
Ses rives ombragées vous invitent à la flânerie et même pourquoi pas à taquiner le brochet si le cœur vous en dit, car ses rives disposent d’un milieu à la faune abondante et variée.
Son église date des XVe et XVIe siècles. La partie la plus ancienne, le chœur, aurait été construit en 1468 à la demande du prêtre Pierre Vérot qui prit à sa charge la moitié des frais. L’édifice est dédié à saint Grégoire et possède un clocher franc-comtois.
Le village possède deux calvaires du XVe dont un classé monument historique situé sur la place de l'église.
Au nord de Buxy, le petit village rural de Rosey est naturellement traversé par la route des Grands Vins et la Voie verte.
L’habitat ancien au centre du village recense de belles maisons vigneronnes et des maisons bourgeoises du XIXème siècle, reliées entre elles par des murs de pierre. Le village s’enorgueillit de deux châteaux : le Mauny, qui porte encore les marques de ses fortifications de la fin du Moyen-Âge. Celui du Mélouasé, de style italien, a été construit à la veille de la Révolution sur le lieu d’un château plus ancien. Ce dernier est classé aux monuments historiques ainsi que l’église d’origine romane, agrandie au XVIIème siècle.
La Balade Verte intitulée "Les 4 lavoirs " (au départ de l'aire de pique-nique de Rosey) vous permet de découvrir le lavoir de Nourice. Datant de 1829, en forme de haricot (semi-circulaire) unique en Bourgogne, à la toiture recouverte de laves, il pouvait abriter jusqu'à 18 lavandières.
Bragny-sur-Saône est un charmant village construit sur un plateau dominant deux rivières, la Saône et la Dheune et attirent les pêcheurs, promeneurs et vacanciers toute l'année.
Village viticole situé à proximité de Chagny, et à environ 15-20 kilomètres de Beaune et 25 kilomètres de Chalon-sur-Saône.
Autour de ce village, rivières et forêts s’offrent aux promeneurs et pêcheurs. Sur le plan archéologique nous pouvons mentionner les mottes féodales de Cercy et Champseuil, tandis qu’une fontaine à dévotion et un oratoire consacré à Saint Gervais témoignent d’un passé rural riche. L’église des XVIe et XVIIe siècles possède un témoin historique infiniment rare et précieux avec la châsse de St Gervais, osthothèque en pierre du haut Moyen Age.
Bey est un charmant village bénéficiant d'un cadre naturel riche et varié, qui se niche entre la Saône et la forêt. Ce village est propice aux ballades, en bordure de la rivière comme au travers de son vaste domaine boisé, traversé de sentiers de randonnées. Le patrimoine bâti architectural est riche : lavoir en pierre, église et de magnifiques bâtisses anciennes parfaitement conservées.
Au cœur de la Bourgogne, dans le département de Saône-et-Loire, Saint-Loup-de-Varennes fait partie du canton de Chalon-sur-Saône SUD et de la Communauté d'Agglomération du Grand Chalon. Le village s'étend de part et d'autre de la RD 906 (ex RN6), bordé par les grands axes de circulation que sont l'autoroute A6, la voie ferrée Paris-Lyon-Marseille et la Saône. Il se situe à 182 mètres d'altitude sur une superficie de 8,3 km2. La population compte 1 155 habitants (appelés Saint-Lupéens et Saint-Lupéennes), soit une densité de 139 hab/km2. Les communes limitrophes sont Sevrey, Lux et Varennes-le-Grand.
La commune, bénéficiant d'une situation privilégiée et attractive, évolue régulièrement tant en terme de démographie qu'en terme d'activités artisanales nouvelles. Un tissu associatif dense et actif assure une animation riche et de qualité tout au long de l'année.
Saint-Loup-de-Varennes est le berceau de la photographie, Nicéphore Niépce y vécut dans la propriété familiale où, au travers de multiples recherches, il inventa la photographie. Mort à Saint-Loup-de-Varennes en 1833, il repose près de son épouse dans le cimetière du village.