La Tour des Ursulines (XIIème siècle) est élevée sur des bases gallo-romaines et intégrée au rempart. Au XIXème siècle, les Visitandines prennent possession du lieu et y installent la statue de la Vierge. La Tour appartient à un artiste japonais, Hisao Takahashi, maître dans l'art de la peinture murale, il y crée le centre culturel international de la Tour des Ursulines (pratique et enseignement de l'art de la fresque et des échanges culturels internationaux). Lieu d'expositions artistiques.
La Tour des Ursulines, anciennement Tour des Prisonniers ou encore Tour François Ier, est un donjon érigé au XIIè siècle. La tour avait pour fonction de protéger l'ancien château Rivault. C'est le principal vestige de ce château démantelé vers 1600, dont le nom dérive du latin rivus. Ce nom a également été porté par les anciens seigneurs, et s'est ensuite gardé dans l'appellation du Quartier Rivault.
Dès le XII siècle, cette construction se trouvait sous la dépendance du puissant prieuré Saint Georges. L'expression "Bajole" viendrait soit de Bayulus qui désignait, un officier de justice royale, soit de Bezola nom d'un ventier du prieuré, important collecteur d'impôts. Elle s'appela également : maison Saint-Louis, maison Sarotte, Lanot et la tour aux ventiers. Visible uniquement de l’extérieur,
Construit aux environs de 70 après Jésus Christ et situé à l’est de la ville antique, il était destiné aux représentations dramatiques. Avec ses 148 mètres de diamètre, il apparaît comme le second plus grand du monde romain, pouvant accueillir 20 000 spectateurs. S‘appuyant sur la pente naturelle du terrain, le théâtre est de style classique avec des gradins disposés sur trois rangées semi-circulaires, coupées par des escaliers. Un mur imposant fermait le théâtre derrière la scène, d’une hauteur supposée de 30 mètres. Visite libre.
De style himalayen, le temple bouddhiste Paldenshangpa de la Boulaye a été fondé en 1974 par un lama tibétain. Élevé sur trois niveaux, il accueille des statues gigantesques de Bouddhas et de nombreuses peintures éclatantes de couleurs. Parcourez son jardin orné de bannières colorées et d'un stupa, monument de culte tibétain de forme pyramidale. Toute l'année, vous pouvez visiter le parc, la galerie du temple, la boutique et assister à 9h et 18h aux rituels avec chants et musique.
En 1940, frère Roger fonda dans ce village une communauté monastique qui va très vite rayonner dans le monde entier ; elle compte aujourd’hui une centaine de frères catholiques et de diverses origines protestantes, venant de trente pays. Des rencontres internationales semaine après semaine y rassemblent chaque année des dizaines de milliers de jeunes de tous les continents.
L’église Saint Jean Baptiste est de style roman. Construite au XIIème siècle, l’église se composait d’un chœur, de chapelles latérales et d’une nef recouverte d’un vaste plancher. Les fenêtres qui éclairent la nef sont typiques du XIIème siècle, très évasées à l’intérieur et très étroites à l’extérieur. XVIème siècle : Remplacement de la porte d’entrée au sud.
XIXème siècle (1833) : Les voûtes actuelles viennent remplacer le plancher en bois qui tombait en vétusté. Il s’agit de voûtes en berceau en bois plâtré supportés par des piliers en bois recouverts de plâtre qui partagent l’église en trois nefs.
1850 : Nouvelle sacristie érigée côté sud. Ancienne sacristie côté nord ouverte et transformée en Église extérieure-chapelle.
1965-1970 : Le plâtre est retiré des murs, du chœur, des chapelles et des piliers.
1997-2001 : Mise hors d’eau de l’édifice (couverture du clocher, chœur et chapelles) – Réfection de l’intérieur (enduits, plafonds, carrelage sol, chauffage) – Ravalement de la façade – réparation de la cloche.
Petite chapelle romane, siège d'un petit prieuré fondé au XIIe siècle. Elle a été restaurée dans les années 1970. A voir à l'intérieur : dalles funéraires.
Point de vue incontournable à ne pas manquer. Le Signal de la Mère Boitier se situe à 758 mètres d'altitude.
Panorama à 360° sur les Alpes, le Jura, la Plaine de la Saône, les Monts du Mâconnais, du Charolais et du Beaujolais. Au départ du parking, partez à la découverte des "Dessous de la Mère Boitier", balade de 40 minutes, distance de 1,6 km, accès à la table d'orientation. Aire de pique-nique aménagée.
Les fouilles d'une ancienne église paroissiale désaffectée en 1973 ont mis au jour plusieurs dizaines de sarcophages et les fondations d'une église funéraire construite au VIe siècle, au temps des premiers évêques de Mâcon.
Sigy-le-Châtel, dénommé Sedriacum castrum, fief du duc de Bourgogne en 1279, est un joli village mâconnais, bâti entre deux éminences sur lesquelles se dressent les ruines du château féodal et l’ église de l’ancien prieuré Saint Nicolas. Remaniée au cours des siècles et récemment rénovée, celle-ci dégage une impression de sérénité et de luminosité.
Taizé est un petit village perché sur une colline qui domine la Grosne. Les anciennes maisons se serrent autour de son église romane du XIIe siècle, qui est mentionnée en 1156 dans le Recueil des Chartes de Cluny. Elle a été classée en 1913. Elle est ouverte, comme l’église de la Réconciliation, au culte catholique et protestant.
L'église faisait partie de l'archiprêtré du Rousset et avait pour annexe Saint-Martin de Chérizet. Dès le XIème siècle, elle était possession de Perrecy-les-Forges et consacrée à Saint-Antoine. Elle a conservé de l'époque romane sont clocher et la travée sous clocher qui forme la croisée du transept, ainsi qu'une abside semi-circulaire, percée de fenêtres agrandies à l'époque moderne. L'église a été, en effet, profondément remaniée, en 1820-1821 : reconstruction d'une partie de l'église (nef et chapelles latérales), démolition et reconstruction de la sacristie nord, agrandissement de la sacristie sud.