Ce chemin vous permettra de découvrir les cinq lavoirs de FONTAINES ainsi que les pierres à laver au bord des ruisseaux, onze calvaires et bien d’autres aspects du village.
1- Lavoir du Moulin : Bâti en 1924, son aspect décoratif en fait l’originalité.
2- Lavoir St Nicolas : De forme octogonale, il date de 1832. Devant, un bassin en forme de chapeau chinois renversé servait d’abreuvoir.
3- Lavoir des Fontaines. Il est de 1877. Sa particularité tient à sa toiture en impluvium.
4- Lavoir Chamilly. Édifié en 1849, une dérivation du ruisseau l’alimente. Une goulotte d’évacuation en pierre en fait le tour.
5- Lavoir du Quart Canot. Bâti en 1866, il a été restauré en 1994. Son bassin ovale est alimenté par une large goulotte en pierre.
Les rues affichent la couleur médiévale par des noms pittoresques : rue Pavé d'Andouilles, du Moulin à Cheval, place du Pilori. Nichée dans un vallon, la vieille ville est construite en pente. L'ambiance méridionale du joli site de la fontaine des Manants et de sa promenade, le charmant lavoir et les vieilles demeures se dévoilent au fil de la flânerie. Du clocher roman de l'église, la vue plonge sur la cité et sa mer de toits pentus.
Cette curiosité géologique est à découvrir via la Balade verte au départ du bourg de Collonge-en-Charollais. Munissez-vous de vos chaussures de marche et préparez votre appareil photo pour admirer la mer de pierres.
Le Mont Saint-Roch est situé sur les communes de Saint-Gengoux-le-National et Burnand. La Madone se trouve en haut du Mont. Une fois en haut, vous trouverez un superbe point de vue qui domine la Cité Médiévale de Saint-Gengoux-le-national. Une table de pique-nique est installée sur le site, un cadre idéal pour une faire une pause pique-nique !
L'église de Rosey dédiée à Saint Pierre, est située à l'écart du village, à proximité d'une grosse bâtisse, nommée encore « le Prieuré » qui a abrité des moines jusqu'à la fin du XVIIe siècle. L'église fut à la fois église paroissiale et conventuelle. Le prieuré devint presbytère jusqu'à la Révolution. Les moines bénédictins de Saint Pierre de Chalon ont quitté Rosey à la fin du XVIIe siècle. La paroisse fut rattachée à Saint-Désert dès la Révolution. L'église paroissiale de Rosey a conservé sa nef romane. Les peintures murales du XVIIIe siècle, découvertes au début des années 1990, ont été restaurées par de jeunes bénévoles dans le cadre de chantiers internationaux.
Culles-les-Roches possède un site préhistorique et des vestiges de la période gauloise, gallo-romaine et mérovingienne. Au Moyen Age, le village dépendait de la Châtellenie de Saint-Gengoux-le-Royal. C’est sous l’influence de Cluny que fut construite l’église de Culles-les-Roches, au XIème siècle, sous le vocable de Saint-Germain. Ce saint naquit près d’Autun (v.496-v.576) et fut évêque de Paris.
Construite au XIIe siècle, cette église romane fut église paroissiale de Poncey et Cortiambles jusqu’en 1869 avant d’être remplacée au XIXe siècle par l’actuelle église de Poncey située au milieu des vignes.
L'église de Collonge-en-Charollais a des origines inconnues, peut-être carolingiennes. Ses fondations datent de la période romane, sans doute du XIème siècle. Elle était sous l’Ancien Régime rattachée à l’archiprêtré du Rousset et à la nomination de l’évêque de Mâcon. Elle est sous le vocable de Saint-Etienne, diacre de la primitive église, premier martyr chrétien, lapidé pour sa foi. L’église paroissiale Saint-Etienne de Collonge date de la fin du XVème siècle pour le chevet et la travée.
Aujourd’hui, le cloître de la cathédrale Saint-Vincent est le seul cloître canonial (de chanoines) conservé de Bourgogne et de Franche-Comté. Ses murs périphériques ont pu être datés des environs de l’an mil, ce qui le rend encore plus exceptionnel. Trois ailes avec baies à arcatures trilobées datent du XIVe siècle et ont été voûtées d’ogives au XVe siècle. L’aile nord est une restitution contemporaine d’une galerie disparue au XIXe siècle.
Joli lavoir rénové en 2010. Sa charpente daterait du dernier tiers du XIXe siècle.
L’église Saint-Pierre et Saint-Paul de Cheilly-lès-Maranges fut construite au XIXe siècle, en 1877, dans un style néogothique, sur les plans de l’architecte Gallier, complétés par l’architecte Giroud. Elle remplaçait l’ancienne église du XIIIe siècle jugée trop vétuste pour être réparée. L’entrée de l’église néogothique présente quatre grandes colonnes surmontées d'un tympan en forme d'ogive, ornée au centre d’une croix sculptée. Au-dessus, le clocher, qui date de 1896, est décoré de trois grands vitraux, séparés par des colonnes. L'ensemble est en forme d'ogive.
Situé au bord de la Guye, affluent de la Grosne qui prend sa source à Sainte-Hélène, ce lavoir est de plan rectangulaire et fermé. Sa toiture est à longs pans et couverte en tuiles plates. Le bassin est également de forme rectangulaire. Il est inscrit à l'Inventaire général du Patrimoine Culturel.
Le lavoir a été construit en 1856 et c'est 5 ans plus tard qu'il a été décidé de le couvrir.