Le Petit Train d'Autun vous propose une visite hors du commun.
Installez-vous et laissez-vous guider dans la ville d'Autun, pour découvrir le patrimoine historique de l'ancienne citée impériale fondée par Auguste.
Différentes formules existent, de la visite de la ville au circuit Découverte & dégustation en petit train .
- Embarquez à bord du petit train d’Autun le temps d’une visite d'une heure afin de découvrir l’histoire de la ville en direct. Au programme, des arrêts aux monuments principaux de la ville.
- Découverte et dégustation avec le petit train d’Autun le temps d’une visite de deux heures accompagné d’un guide touristique qui vous contera l’histoire de la ville en direct.
Au programme, des arrêts aux monuments principaux de la ville pour déguster des vins de Bourgogne et en apprendre davantage sur la Bourgogne viticole avec un caviste issue d’une Maison qui a traversé 9 générations, de 1750 à nos jours.
Centre de bien-être et de relaxation situé en bord de Seille, à Cuisery, proche de Tournus, Saône et Loire. Spa en accès exclusivement privatif avec sauna, hammam et bain à remous, salon de massage, formules associant spa et massages
Les époques gallo-romaine et médiévale ont façonné le visage d’Autun et lui donnent aujourd’hui tout son charme. La première partie de la visite se fera en autocar. Votre guide vous conduira sur les sites gallo-romains : Théâtre Antique, Portes d’Arroux et de Saint-André, Temple de Janus, Remparts. Ensuite, vous poursuivrez à pied pour une visite de la majestueuse Cathédrale Saint-Lazare, chef d’œuvre de l’art roman.
Fondée par la seule volonté de l’empereur Auguste, à qui elle doit son nom, Autun est construite à la fin du 1er siècle avant JC, pour accueillir le peuple des Eduens de Bibracte. « Sœur et émule de Rome », telle est la devise d’Autun. Le qualificatif n’a rien d’exagéré, Augustodunum fut un des fleurons de la vie culturelle et commerciale gallo-romaine.
Votre guide réveillera pour vous le prestige de cette ville antique au fur et à mesure de la visite des monuments gallo-romains : Théâtre antique, Porte Saint-André, porte d’Arroux, Temple de Janus et Remparts. Puis, vous emmènera découvrir l'incroyable collection du Muséum d'Histoire Naturelle.
Fondée par la seule volonté de l’empereur Auguste, Autun est construite à la fin du 1er siècle avant J.-C. pour accueillir le peuple des Eduens de Bibracte. « Sœur et émule de Rome », telle est la devise d’Autun. Augustodunum fut un des fleurons de la vie culturelle et commerciale gallo-romaine.
A bord de votre autocar, votre guide vous dévoilera le prestige de cette ville au fur et à mesure de la visite des monuments gallo-romains : Théâtre Antique, Porte Saint-André, Porte d’Arroux, Temple de Janus et Remparts.
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La Tour Marchaux aussi dite Tour de l'Horloge, située au n°30 de la petite rue Marchaux, domine aujourd'hui le quartier. Elle était à l'origine une tour d'escalier ostentatoire qui desservait les étages d'un hôtel particulier à la fin du Moyen-Âge appartenant au XVe et XVIe siècles à la famille de Clugny. En 1793, on la coiffa d'un dôme et on y plaça l'horloge qui provenait de la porte haute de l'enceinte de Marchaux, détruite quelques années plus tôt.
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L' église de Collonge, dont le chœur remonte au XIIe siècle, est sous le vocable de St. Barthélémy. Aucune église dédiée à St. Barthélémy ou à Ste. Madeleine n'est citée dans l'archiprêtré de Couches (sauf le prieuré Ste. Madeleine de Montartaux) au plus ancien pouillé complet du diocèse d'Autun, datant du XIVe siècle (de Charmasse, Cartulaire de l'Evêché d'Autun) ce qui laisse supposer que l'église, existant au XIIe siècle, était chapelle castrale. La topographie des lieux ne contredit pas cette hypothèse et il est fort possible qu'il y ait eu deux châteaux sur les terres de Collonge, celui d'Alibour, et un autre, au bourg. Les titres ne permettent pas de faire une distinction. Pour ce qui est du site d'Alibour, la motte est à 750 mètres au sud de l'église, dans un bas-fond, au confluent de deux ruisseaux dont le cours réuni se dirige à l'ouest vers le ruisseau de Digoine, affluent de la Drée.
À la fin du XIIe siècle, Couches est séparé en deux territoires distincts : Couches en Royauté et Couches en Duché. Le village, en royauté, s’est développé sous la protection du Roi de France. L’origine de cette propriété remonte au traité de 1186 accordant aux moines la protection royale. Ceux-ci dotèrent les soldats du Roi d’une construction militaire pour s’opposer au seigneur du Château de Couches. Le bâtiment actuel date du XVe siècle et la toiture en tuiles vernissées du XIXe siècle. Le parc comprend des arbres vieux de près de 500 ans. A l'entrée, deux petites tours de chaque côté de la porte. Dans la cour, une grosse tour carrée. C’est elle « La Tour Guérin». Visite extérieure uniquement.
Construit aux environs de 70 après Jésus Christ et situé à l’est de la ville antique, il était destiné aux représentations dramatiques. Avec ses 148 mètres de diamètre, il apparaît comme le second plus grand du monde romain, pouvant accueillir 20 000 spectateurs. S‘appuyant sur la pente naturelle du terrain, le théâtre est de style classique avec des gradins disposés sur trois rangées semi-circulaires, coupées par des escaliers. Un mur imposant fermait le théâtre derrière la scène, d’une hauteur supposée de 30 mètres. Visite libre.
Aucune ville de Gaule ou bien d’Italie n’accueille un ensemble de portes romaines aussi bien conservé qu’à Autun. Elle possède une architecture proche de la porte d'Arroux mais a subi de nombreuses restaurations notamment de Viollet-le-Duc. Visite libre.
Tout comme la porte d’Arroux, la porte Saint-André présente encore quatre passages au niveau de la chaussée, deux grandes baies centrales permettant la circulation des chariots et deux ouvertures plus petites dans l’alignement des trottoirs. Au premier étage, une galerie percée de dix arcades correspond au prolongement au niveau de la porte, du chemin de ronde situé au sommet de l’enceinte urbaine.
Cette partie centrale percée d’ouvertures est édifiée à partir de grands blocs de calcaire quadrangulaires provenant de la région chalonnaise. Elle était initialement flanquée de deux tours au plan en forme de fer à cheval, l’arrondi étant dirigé côté campagne et édifiées à partir de petits moellons rectangulaires en grès. Elle permettait de quitter Augustodunum et de se rendre vers l’est en direction de Langres et de Besançon, les capitales respectives des peuples voisins des Lingons et des Séquanes.
Une église placée sous le vocable de Saint André (un vocable qui a donné son nom au monument) a été installée au cours du Moyen-Age dans la tour de flanquement septentrionale. Cette réoccupation médiévale a permis la conservation de l’infrastructure, qui accueille désormais un temple protestant.
Les chercheurs s’accordent généralement à penser que la porte Saint-André a été édifiée dans le courant du Ier siècle de notre ère, quelques décennies après la porte d’Arroux. Des restructurations de la galerie supérieure au moyen de blocs de grès pourraient quant à elles dater de la fin de l’Antiquité et de la période des invasions.
L’édifice a été restauré en 1844 par Eugène Viollet-le-Duc, puis classé en 1846 au titre des monuments historiques.