Maxime Descombin est né au Puley en 1909. Ce sculpteur autodidacte a commencé sa carrière comme tailleur de pierre.
La sculpture sérielle "Les Portes", présentée dans son village natal grâce aux instances locales, a été conçue par le sculpteur en 1961 avant d'être réalisée en 2023 afin de lui rendre hommage. En contemplant cette œuvre, admirez également le matériau dans lequel elle a été sculptée. Il s'agit de la pierre du Puley, devenu rare de nos jours.
Duramen travaille le bois massif en tranches entières ainsi que le métal. Tables, de repas, table basse, bureaux, consoles mais aussi escaliers, rambardes et meubles de salle de bain. La forme naturelle du bois constitue souvent l'origine du processus créatif. Les œuvres sont complétés en encadrant ses formes avec du métal patiné pour les sublimer et les mettre en valeur. L'objectif est de concilier le créatif avec le durable en réalisant des pièces intemporelles.
Piscine intérieure, Sauna, Hammam et Salle de Sport.
Notre territoire est composé de nombreuses prairies alluviales, notamment entre la commune de Damerey et de Verdun-sur-le-Doubs. Ces espaces se caractérisent par des zones inondables. La présence plus ou moins saisonnière d’eau permet l’expression d’une flore et d’une faune riche qui font du site une zone Natura 2000.
À l’entrée de la Vallée des Vaux, Saint-Martin-sous-Montaigu, est un village viticole de 380 habitants étalé au pied d’un coteau que dominent La Croix du Teu et les ruines du château de Montaigu (pas toujours visibles dans
la végétation). On y produit des vins classés Bourgogne, Mercurey ou Mercurey 1er cru.
L’église, identifiable tout à l’entour grâce à son clocher très particulier, avec sa flèche de pierre entourée de 4 petits clochetons, est située au centre du bourg dans une sorte d’enclos (vestige de l’ancien cimetière) et tourne le dos à la mairie.
Elle est dédiée à St Martin. Courtépée, l’illustre historien bourguignon du XVIIIe siècle, rapporte que la tradition place sa fondation en 1015, mais elle a subi de
nombreuses modifications, en particulier au XVIe siècle.
Elle est orientée selon la tradition, chœur à l’est. On y pénètre par la porte latérale sud.
L’église de Saint-Mard-de-Vaux a pour patron Saint Médard, évêque de Noyon. La contraction du nom de Saint Médard en Saint Mard se trouve dans un procès-verbal de la visite pastorale de l’église, en 1744, par Monseigneur François Madot, évêque de Chalon-sur-Saône (1711-1753).
L’église a été reconstruite en 1766, en style roman tardif, dans l’esprit du clocher d’origine. Elle est consacrée en 1769.
Devant l’église, calvaire de 1630, inscrit aux Monuments Historiques en 1950, provenant du cimetière. Ce calvaire porte, d’un côté, le Christ crucifié, de l’autre, la Vierge à l’Enfant. Saint Médard, saint patron de l’église et des agriculteurs, invoqué pour le beau temps ou la pluie, est représenté en évêque, sur le fût. Il porte la mitre et la crosse épiscopales. Sur le dé, au-dessus du socle circulaire, est gravée la date de 1630.
L'église de Saint-Jean-de-Vaux a un plan compliqué, dû à divers ajouts ou reconstructions : plusieurs chapelles dont deux formant transept, un large collatéral, une sacristie, un auvent. On trouve des parties des 11e-12e siècles, 15e et 18e siècles. Le clocher date du 11e siècle.
Elle est placée sous le vocable de saint Jean-Baptiste.
L'église de Russilly est dédiée à saint Martin (attesté en 1892), tout comme les églises de Cortiambles et de Poncey. Mais un hommage particulier y est rendu à saint Louis (jusqu’à récemment, une messe y était célébrée le 25 août pour la fête de saint Louis).
Vue depuis la place sur un fond d’arbres, derrière une haie de lauriers palmes, le clocher et le haut du bâtiment donnent l’image attrayante d’une jolie petite église rurale, qui a malheureusement perdu sa couverture en laves typiquement bourguignonnes, remplacées en 1964 par des tuiles plates.
On y distingue nettement trois parties : au centre, le massif dominé par le clocher, entre deux bâtiments rectangulaires (nef et chœur plus étroit, à contreforts). On y pénètre par la porte latérale, en face de l’entrée du cimetière.
L’église de Lux fut démolie à la Révolution, en 1793. Lux, devenue une commune sans église, fut réunie à celle de Sevrey, puis rétablie en 1867 en commune avec le hameau de Droux. L’église, dédiée à saint Odilon, fut reconstruite par souscription entre 1874 et 1880 selon les plans de l’architecte parisien Albert Martin, en plusieurs phases de travaux.
L'église de Farges-lès-Chalon, consacrée à Marie-Madeleine, a été agrandie au XIXe siècle et désorientée. Sa restauration est attestée par les noms et la date de juillet 1890 gravés sur les consoles qui supportent les colonnettes et les
retombées des arcs doubleaux de la nef, en particulier Gonnot, maire et Philibert, curé.
Placée sous le vocable de Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus, l’église a été fondée le 10 juin 1933 par Monseigneur CHASSAGNON alors évêque d’Autun, Chalon et Mâcon, avec l’accord des curés de Saint-Cosme, Saint-Rémy et Châtenoy-le- Royal. Le quartier chalonnais de la Cité-jardin des Charreaux venait de se construire avec 276 habitations, mais sans église.
Bénie le 8 octobre 1933, la cloche a pour marraine Mme Jeanne BALLAND, épouse de M. Jean BALLAND dont la générosité avait permis l’acquisition du terrain et l’édification de l’église. Un autre bienfaiteur, M. André BAPTAULT est le parrain.
La chapelle fut, quant à elle, bénie le 26 novembre 1933.
Un narthex fut ajouté et consacré par le nouvel évêque, Monseigneur LEBRUN, le 5 octobre 1941. Une statue de Sainte Thérèse, offerte par la famille CHAUMONT est placée au-dessus de la porte d’entrée.
Suite à l’explosion d’un train le 25 août 1944, une réfection de l’église a été entreprise : pose, transformation et surélévation du choeur notamment. Une nouvelle réfection de l’intérieur de l’église a été entreprise en 1966, puis en 1980. Les extérieurs sont remis en état en1982.
L’église saint-Pierre a été construite de 1698 à 1713 par deux entrepreneurs italiens, Pierre Vercelli et Pierre Drogue originaires de Novare, dans le Milanais. Elle a été consacrée en 1713 par l'évêque de Chalon François de Madot. Elle relève de l’art baroque, style en vogue à l'époque de la Régence. En 1790, les bénédictins sont chassés de l’église. Pendant la Révolution, l'église devint, successivement, temple des fêtes et temple décadaire (22 nivôse an VII, 11 janvier 1799) puis magasin à fourrage (6 frimaire an IX, 27 novembre 1800), avant d'être finalement rendue au culte le 29 germinal de l'an X (19 avril 1802) et de devenir église paroissiale. Le pape Pie VII y célébra Pâques en 1805 et donna sa bénédiction urbi et orbi. Le transept gauche est agrandi en 1898 et sa façade est refaite en 1900, dans le style italien. L'église est inscrite au titre des Monuments Historiques en 1948.
Cette église est originale par son importante statuaire (Docteurs de l'Église, fondateurs d'ordre religieux, Vierge de l'Apocalypse). Certaines statues datent du XVIIe siècle. L'architecture baroque reste assez dépouillée (pilastres, chapiteaux à base de feuillages, corniche très saillante, clé de voûte du chœur à têtes d'angelots). Elle est dotée d'un bel orgue de choeur et de vitraux de maître-verrier chalonnais Besnard. On notera la présence d'une coupole octogonale à la croisée du transept.