Ce lavoir se situe au lieu dit de Collonge, à la source de la Goutteuse. La rivière fait office de bassin. Vous pouvez profiter de cet endroit paisible pour pique-niquer.
Situé proche de la D981, ce lavoir est entièrement à ciel ouvert dans un endroit paisible et entouré du vignoble.
Cet édifice a pris la suite d'une très ancienne chapelle construite en 1120 devenue église paroissiale en 1271. L'architecture générale de l'église rappelle ces édifices construits selon le style roman, en Bourgogne, jusqu'à la fin du XIIIe siècle.
La tourelle et les fenêtres à meneaux de cette maison d'angle, où habitaient peut-être les prêtres qui desservaient l'église, ont été classées au titre des Monuments Historiques en 1921. La maison a bénéficié d'une restauration vers 1930.
Les concurés, en vertu d'une bulle du Pape en 1482, vivaient en "communauté" au sein d'une association dite du "Mépart". Ils devaient être natifs du village et faire des études. Ensuite, l'évêque de Chalon les ordonnait prêtres, devenant ainsi concurés.
L'angle de la rue du Commerce et de la rue de l'Espérance est flanqué d'une échauguette mise en place ultérieurement, pour un motif purement décoratif.
Simplicité, rusticité, sont bien les caractéristiques de cette église flanquée de ses deux chapelles latérales qui repose dans un petit cimetière paroissial.
Une salle de projection permet le visionnage d’un film retraçant l’épopée des SAS (DVD en vente à l’office de tourisme)
Visite en autonomie traduite en anglais, allemand et néerlandais
Un jeu de piste est proposé pour les enfants
Ouverture : aux horaires de l’office de tourisme pour récupérer les clés
Une fois devant cette façade à arcatures, imposante et majestueuse, osez vous approcher et pousser la porte de l’ancienne église priorale du XIIe siècle. Les vestiges de l’église vous ébahiront et vous feront faire un bon dans le temps. Prenez du recul, levez les yeux et détaillez les pierres du monument, certaines vous révèleront des petites merveilles !
Cet ancien prieuré de moniales bénédictines a été rattaché au monastère de Lancharre (sur la commune de Chapaize) dès 1615. L’histoire du Puley se confond avec celle de Lancharre : l’archiprieure de Lancharre, Marie du Blé d’Uxelles, qui réforma son abbaye, obtint de l’évêque de Chalon, Cyrus de Thiard, de réunir les deux communautés.
Dans la deuxième partie du XIXe siècle, l’église était en ruine et a vu son clocher tombé en 1877, paroxysme de son déclin. Au XXe siècle, une association se consacre à sa restauration (chantiers bénévoles) afin de, sans la reconstruire entièrement, sauvegarder son état de conservation et animer le site.
L’église, classée Monument Historique en 1973, est presque entièrement à ciel ouvert. Le bas-côté nord est seul couvert, les abside et absidioles sont intactes. Pour en savoir plus, des panneaux à l’intérieur de l’église expliquent les chantiers de restauration.
Le village de Bissy-sur-Fley est situé sur un coteau à pente douce, exposé au sud-ouest, à 400m d'altitude. les vieilles maisons bourguignonnes se groupent autour de l'église romane du XIe - XIIe siècles et du château-fort où vécut le grand humaniste Pontus de Tyard. La vue s'étend sur les vignobles de la Côte Chalonnaise et sur les prairies charolaises.
L’église paroissiale de Bissy-sur-Fley est placée sous le vocable de la Nativité de la Vierge et inscrite à l’inventaire des Monuments Historiques. Elle comprend une nef du XIème siècle, une chapelle seigneuriale du XVème, un chœur et un clocher de l’époque moderne.
Il s'agit d'un édifice composite auquel des décrochements et des niveaux différents donnent un charme particulier et une originalité certaine.
Situé à l'entrée de Saules en arrivant de Culles-les-Roches, ce lavoir se compose d'un bassin rectangulaire en pierre de taille et à ciel ouvert. Vous avez une très jolie vue du vignoble.
Ce lavoir circulaire à ciel ouvert offre une superbe vue sur le vignoble de Saules.
Le village de Saules occupe l’emplacement d’un ancien fief féodal dont les seigneurs étaient alliés à la puissante maison de Brancion. L’église romane, dont le clocher date du XIIe siècle, a été refaite au XVIIIe, sans doute à la suite d’un incendie. Elle est sous le vocable de Saint Hilaire, qui a été évêque de Poitiers en 347 et Père de l’Eglise. Il combattit l’hérésie d’un prêtre d’Alexandrie, Arius, qui niait que les trois personnes de la Trinité soient de même substance, et qui refusait par là la divinité du Christ. Cette doctrine, dite « arianisme », fut condamnée en 325 par le Concile de Nicée. Notre Credo s’appelle ainsi le Symbole de Nicée. En 356, Hilaire fut exilé en Asie Mineure par l’Empereur Constance. Il composa le « De Trinitate » ; il retourna en Gaule en 360 et mourut en 367. L’église est donc toute consacrée à la Trinité.
A la Révolution, Saules perdit son titre de paroisse et fut rattachée d’abord à Saint-Boil, puis, en 1802, à Culles. L’église datée de 1744 au-dessus de la porte sud, est un édifice homogène qui a conservé le clocher roman préexistant.