Sur les traces des compagnons charpentiers... !
Venez découvrir les chefs-d’œuvre des compagnons charpentiers et l'histoire de l’école de tracé de charpente fondée en 1871 à Romanèche-Thorins. Son fondateur Pierre-François Guillon, compagnon charpentier, transmettait à ses élèves un enseignement en dessin, découpe des matériaux et techniques des métiers du bois. Le tracé de charpente et le compagnonnage sont inscrits par l’UNESCO au patrimoine culturel immatériel de l’humanité.
Visitez le musée en famille avec le parcours enfants de 3 à 8 ans.
Dernière visite 1 heure avant la fermeture (de novembre à février inclus).
Situé dans l'ancien couvent des Ursulines, le musée conserve des collections diversifiées qui forment un panorama de l’histoire de l’art de l’Antiquité au 20e siècle. L'archéologie du territoire, des Celtes au Moyen Age fait l'objet d'un parcours rénové en 2022. L’histoire locale est mise en lumière par de nouveaux espaces ouverts à la visite en 2019, dédiés d’une part à l’œuvre littéraire et politique d’Alphonse de Lamartine (1790-1869), né à Mâcon, et d’autre part aux paysagistes régionaux du 19e siècle. La section beaux-arts regroupe des pièces maîtresses de l’histoire de l’art occidental du 16e siècle à la période actuelle : scènes de genre et paysages des écoles du nord du 17e siècle, portraits et figures mythologiques français des 17e et 18e siècles, paysages et œuvres symbolistes du 19e siècle, art post-cubiste et courant abstrait-géométrique du 20e siècle.
Activités culturelles sur réservation.
Le Musée est situé dans un ancien prieuré clunisien, fondé au XIIème et réaménagé au XVème siècle, témoin de cette époque, la salle d’apparat, classée Monument historique et restaurée en 2003. Le musée accueille désormais un musée complet où la faïence de Charolles (1844 à nos jours) côtoie les paysages de J. Laronze (1852-1937) et de P. L. Nigaud (1895-1937). L'ancienne chapelle du XIXème siècle abrite les œuvres de R. Davoine, sculpteur charolais (1888-1962). Chaque année, au printemps, une exposition dossier présente les collections sorties des réserves. Elle est complétée par une exposition de céramique contemporaine tous les étés.
Lieu singulier, à l’architecture habitée, le Hiéron est un des rares bâtiments en France conçu comme musée dès son origine. Achevée en 1893 et protégée depuis peu au titre des Monuments historiques, cette imposante construction surprend par sa légèreté intérieure apportée par les verrières d’où filtre la lumière. La délicate présentation, soucieuse à la fois du sens et des formes, traverse l’art, l’histoire, l’anthropologie et le fait religieux. Du portail roman d’Anzy-le-Duc (12ème siècle) classé Monument Historique, d’un ensemble remarquable de peintures italiennes des 17e et 18e siècles, à une trentaine d’artistes des 20e et 21e siècles révélés au sein d’un parcours harmonieusement équilibré entre l’art d’hier et l’art d’aujourd’hui, le musée se fait également l’écrin de l’exceptionnel Trésor National (1904) de l’orfèvre joaillier Joseph Chaumet.
Jean Cocteau, Marie Laurencin, Léonard Fujita ou encore Armand Point ont trouvé leur place au sein du nouveau parcours permanent.
Le musée se réinvente autour de deux grands axes : peinture académique et art du XXème siècle. Il offre aux visiteurs une porte d’entrée sur les grands genres dans l’art et une découverte de nombreux mouvements artistiques.
C’est un parcours pensé pour la découverte qui a été mis en place. Découvrez des espaces rénovés, un nouveau parcours de visite et des œuvres inédites afin d’apprécier les richesses de ce musée de France.
Des expositions temporaires, des conférences, des ateliers artistiques, des visites guidées pour groupe ou individuel vous sont proposées tout au long de l’année.
Chalon-sur-Saône est la ville natale de Nicéphore Niépce (1765 – 1833), inventeur de la photographie en 1816. Venez découvrir cette collection unique autour des origines de l’image photographique. Considérant l’héritage de Niépce, le musée traite des différents champs du «photographique» et vous invite à un parcours sans cesse renouvelé alliant objets, images originales et nouvelles technologies.
Un rendez-vous régulier : les expositions temporaires de photographies anciennes et contemporaines.
Dans l'église romane du XIème siècle, poteries et figurines gallo-romaines, dont plusieurs objets provenant des fouilles de Bourbon-Lancy, porcelaines et biscuits de Sèvres, peintures (Puvis de Chavanne, Laronze, Lebourg, Merlette...), dépôt lapidaire médiéval, sarcophage du pèlerin de Compostelle et sculptures des XIXème et XXème siècles (Barrias Béguine).
L'église faisait à l'origine partie d'un ensemble monastique, fondé par le seigneur et baron de Bourbon-Lancy et placé sous le patronage de l'abbaye de Cluny en 1030. Il s'agit d'un édifice du premier âge roman, composée d'une nef couverte d'un plafond en bois et d'un chevet à chapelles échelonnées, où l'on découvre quelques chapiteaux sculptées. La grande sobriété de l'ensemble dégage une impression de sérénité.
Le muséum d’Histoire naturelle Jacques de La Comble rassemble plus de 800 000 échantillons représentant des spécimens de tous les domaines des sciences de la nature. Il conserve la première collection mondiale de nodules fossilifères du Carbonifère continental (160 000 pièces). Le muséum d’histoire naturelle d’Autun trouve son origine au début du 19e siècle. Les collections alors constituées par la Société d’histoire naturelle et actuellement propriété de la Ville d’Autun, sont d’une exceptionnelle qualité. Les expositions temporaires sont chaque année l’occasion d’une mise en lumière particulière d’une des thématiques présentes dans les collections permanentes. Le muséum d’Autun conserve dans ses réserves des spécimens naturalisés dont une collection d’oiseaux, d’œufs et de nids représentant plus de 10 000 spécimens, ainsi que des insectes (plus de 100 000) , Des herbiers (plus de 300 000 planches) contenant des plantes provenant de toute l’Europe et même provenant de l’Afrique du Nord, collectées dès le 19e siècle. De très nombreux minéraux qui retracent l’histoire géologique de la région.
Des dizaines de milliers fossiles représentant les animaux et les végétaux ayant vécu dans notre région entre 300 et 275 Ma. Le bassin d’Autun est une référence mondiale dans l’histoire de la Terre pour une période de l’ère primaire. On parle de stratotype. Les fossiles conservés dans les collections du musée en sont le témoignage. Vous trouverez également, un échantillon des collections qui sont en réserve, sur la préhistoire dans le bassin d’Autun au Moustérien (90 000-35 000 ans) et au Néolithique (5 000 ans). Les animaux fossiles du Carbonifère de Blanzy-Montceau les Mines-Le Creusot (300 millions d’années) La flore et la faune fossiles du bassin d’Autun (295 à 275 millions d’années)
Les routes de l’énergie, histoire d’une filière industrielle : celle-ci est organisée autour des schistes bitumineux permettant la production d’huiles de schistes, équivalent au pétrole naturel, du charbon et de l’autunite, premier minéral d’uranium français. Les traces des premiers dinosaures morvandiaux Les minéralisations caractéristiques des mines et carrières du Morvan, exploitées pour fournir en fluorine les industries de fabrication de l’acier et de l’aluminium.
Les animaux du grand Nord (élan, renne, tigre de Sibérie, renard argenté, renard blanc, renard bleu, glouton…)
La salle d’ornithologie avec l’exposition « L’Art d’être un oiseau »
Le domaine du Champ bressan, construit au début du XVIIIème siècle, est constitué d’un remarquable ensemble architectural composé de plusieurs corps de bâtiments organisés autour d’une cour et de son puits central. A la ferme du champ bressan, Romenay renoue avec son passé et vous invite à venir découvrir le destin des Romenayous mis en lumière à l’occasion de l’Exposition Internationale de Paris en 1937. Remontez le temps jusqu’au 23 août 1937 et laissez-vous plonger dans le quotidien des habitants de la ferme. Mais où sont passés ces Romenayous ? Ils sont à l'exposition universelle de Paris ! Profitez de leur absence pour découvrir leur quotidien. Visioguide inclus dans le billet d'entrée.
Construit au 17ème siècle par Jean Fyot de la Marche, seigneur de Montjay, le moulin du même nom reconstruit au début du 20ème siècle se livre à vous tel qu’il était en 1950. Tout est resté dans son jus : meules, turbine, convertisseur, monte-sac, plansichter, petit atelier de menuiserie… Les anciens magasins à céréales du moulin accueillent la maison de l’eau, entièrement renouvelée en 2023, où tous les usages de cette ressource omniprésente en Bresse sont évoqués : activités domestiques, traditions de pêche mais aussi richesses écologiques, protection du biotope… Ateliers famille, visites guidées durant les vacances estivales.
Il abrite les éléments lapidaires (quinze chapiteaux et corniches de marbre blanc richement sculptés) et des mosaïques antiques et médiévales. Ces témoins de la monumentalité des édifices éduens sont présentés dans une chapelle romane de filiation clunisienne, comme en attestent le portail sculpté et l’abside peinte d’une fresque du XIIe siècle (Christ Pantocrator). Autour d’un jardin romantique, court une galerie où se trouvent présentés cent quinze stèles gallo-romaines, des sarcophages, fûts de colonnes et de pilastres, inscriptions, chapiteaux… Le Musée Lapidaire, créé en 1861, est situé dans l’ancienne chapelle de l’hôpital Saint-Nicolas-et-Saint-Eloi-en-Marchaux. Il bénéficie depuis le 1er février 2003 du label Musée de France.
Musée fermé pour travaux pendant 5 ans depuis le 01/10/2022 jusqu'au 31/12/2027.
Le futur musée fera la part belle à la riche histoire d’Autun, déployant ses collections de l’Antiquité jusqu’au XIXe siècle et mettant en avant les périodes clés de cette ville de 2000 ans. Il s’enrichira aussi de nombreux dispositifs d’interprétation, d’espaces documentaires, d’ateliers ludiques. Un étage panoramique, situé au sommet de la prison, permettra d’en découvrir le paysage et de mieux le comprendre. La prison elle-même, unique exemple de prison de plan circulaire en France, sera elle aussi mise en valeur et expliquée aux visiteurs. Enfin, ce futur musée sera aussi l’occasion de redécouvrir les collections de peinture des XIXe et XXe siècles, que ce soient les grandes peintures romantiques et historiques, la collection nabis centrée autour des œuvres de Maurice Denis, les grands artistes de la donation Frénaud comme Dubuffet, Estève, Miró ou Raoul Ubac.
La prison circulaire, passionnante en elle-même, accueillera aussi un centre d’interprétation de la ville et offrira un spectaculaire panorama accompagné de dispositifs multimédia sur son étage sommital. Enfin, un espace spécifique sera dédié aux expositions temporaires, un salon de thé, une nouvelle boutique et un centre de documentation accueilleront les visiteurs et les Autunois. Le projet comprend quatre phases de réalisation de travaux, dont une tranche ferme comprenant la rénovation et l'aménagement de la prison circulaire, sa surélévation et la réalisation du niveau semi-enterré.