Le bâtiment actuel, ''Gîte de la Chapelle'', fait partie des restants d'une ancienne Chapelle du XIVème siècle. Un panneau fournissant de plus amples renseignements ainsi qu'un lien (QR Code) vers un document historique très complet, est implanté à l'origine de la Rue de la Chapelle.
La chapelle date de la fin du XIème siècle, elle eut la fonction d'église paroissiale jusqu'au milieu du XIXème siècle, époque à laquelle on construisit la nouvelle église de Chassigny dans un lieu plus central.
Cet édifice, de style néo-gothique, a été inauguré en 1879, bâti sur les plans de l'architecte mâconnais Jean Giroud. L'église est placée sous le vocable de l'Assomption de la Vierge.
L'église Saint-Martin a été édifiée au XVe siècle, début du XVIe, elle est le seul édifice religieux de la Bresse bourguignonne qui ait conservé ses pans de bois.
L'Hôtel-Dieu de Tournus, un témoin privilégié de l'histoire hospitalière. Construit au XVIIe siècle puis agrandi jusqu'à la fin du XVIIIe, l'Hôtel-Dieu de Tournus, avec ses trois salles des malades, ne craint pas de rivaliser avec celui de Beaune.
Les salles anciennes ont été restaurées avec leur mobilier d'origine de façon à restituer l'atmosphère d'alors.
Les traditionnels lits clos en chêne sont encore alignés avec leur poêle central, les ustensiles d'époque.
Le général De Gaulle créait le 16 novembre 1940 l’Ordre de Libération afin de saluer l’engagement de ces Héros souvent anonymes.
Le Mémorial, situé à Buxy au centre de la Saône et Loire, a été érigé en hommage aux 12 compagnons de la libération nés en Saône-et-Loire.
Quelle fierté pour notre village de compter parmi les 1038 compagnons de la libération, Monsieur Paul Grenier né le 21 novembre 1914 à Buxy et décédé en service commandé le 4 mai 1945. Ce Mémorial animera le souvenir collectif.
Eglise presqu'entièrement romane à l'exception des parties hautes du clocher et du portail sud ; la nef a été revoûtée et ses ouvertures agrandies. A voir : la façade et l'abside à bandes lombardes ; à l'intérieur : chapiteaux décorés, peinture murale du XVe siècle (saint Martin).
Le clocher roman est inscrit aux Monuments Historiques depuis le 29 octobre 1926. La campagne principale de construction date du XIIème siècle. Le chœur, démoli en 1967 puis reconstruit, a été rayé de l'inventaire des Monuments Historiques.
Construite à l’articulation des esthétiques romanes et gothiques, la “Maison des Dragons” est d’un intérêt de tout premier ordre. Sa très belle claire-voie est classée “Monument Historique”. A l’intérieur, d’importants aménagements et équipements témoignent de la vie domestique médiévale et suscitent aujourd’hui la curiosité des visiteurs.
Durant toute la durée des études et de sa restauration, cette maison qui est l’une des rares demeures romano-gothiques du territoire français aujourd’hui accessibles au public, s’offrira à la visite, pour une découverte d’une très grande richesse historique
Construite en 1610 sur des fondations plus anciennes, elle a dû abriter un gros propriétaire foncier ou un riche marchand. Après la révocation de l'Edit de Nantes en 1685, sous Louis XIV, les protestants vinrent clandestinement y pratiquer leur culte, d'où l'origine du nom. Visite du bâtiment sur réservation.
Classé monument historique, il enjambe la rivière Saône et relie le département de l'Ain. Construit en pierre, il fut l’un des rares ponts de la région à ne pas être détruit pendant la deuxième guerre mondiale. Depuis cette période, il n’a pas changé d’aspect, il compte douze arches et l'on peut apercevoir sur l'une d'entre elles une statue de Saint-Nicolas, patron des mariniers.
Antoine Bourdelle, élève de Rodin, réalisa ce monument en mémoire des victimes de la Première Guerre mondiale. Après être venu visiter la ville et descendu dans les mines, l'artiste choisit de donner à son œuvre la forme d'une lampe de mineur, élément indispensable au travail et à la survie des mineurs, leur rendant ainsi hommage. Le monument fut inauguré en 1930, un an après la mort de Bourdelle.