Les ateliers du vin : la dégustation au cœur de l'apprentissage œnologique.
Nos ateliers vous donnent des outils simples pour mieux comprendre l'univers du vin, de la vigne à la bouteille. Que vous soyez novice, initié ou même expert, ces ateliers sont avant tout des moments d'échange, de partage et d'expérimentation.
C'est aussi l'occasion de découvrir et de savourer des vins d'artisans-vignerons dans un cadre privilégié.
En ce moment, deux ateliers vous sont proposés :
Le B.A.ba du vin : découvrez les bases du vin et apprenez à mettre des mots sur vos sensations en le dégustant. Le but ? Mieux comprendre vos goûts pour mieux choisir vos vins !
B comme Bourgogne : A travers une initiation à la dégustation des vins de Bourgogne, découvrez les clés pour comprendre ce qui se cache derrière leurs étiquettes !
Dans le parc naturel régional du Morvan, la ville d’Autun abrite des trésors de toutes les époques : théâtre gallo-romain, Cardo maximus, Cathédrale Saint-Lazare, Tour de l’horloge, Musée Rolin, Lycée militaire, théâtre de la ville, Passage Balthus…
Identifier un monument remarquable.
Notre technologie de recherche visuelle vous permet d’identifier de façon ludique les édifices qui sortent de l’ordinaire, les trésors de la ville et ses recoins secrets. Obtenir une réponse immédiate sans chercher. Un(e) guide à la demande répond instantanément à la question : quel est ce monument ? Et vous choisissez un commentaire en fonction de vos envies. Des guides professionnels vous racontent, à la demande, les petites et la grande Histoire des monuments, de la ville… Des anecdotes à partager ! Votre « carnet de voyage » archive toutes vos conquêtes culturelles et vos coups de cœur. Avec Whatizis, gardez un œil sur vos découvertes et vos voyages.
Profitez des audioguides sur les monuments gallo-romains d'Autun, sur la partie médiévale et un sur le ruisseau de la toison d'or. Vous découvrirez également le patrimoine médiéval de Couches, le village d'Anost la cité minière d'Epinac, le charmant village de Lucenay-l'Evêque....en toute autonomie.
Les audioguides sont gratuits et disponibles 7/7j et 24h/24h. Une fois téléchargé, vous n'aurez plus besoin de réseau.
Fabrication artisanale de parapluies haut-de-gamme.
Au XVIIe siècle, il est donné aux propriétaires des espaces attenants au rempart, la possibilité d'abaisser ce dernier. De nombreux hôtels particuliers voient alors le jour dont celui de Millery qui réunit plusieurs anciennes maisons canoniales. Ce corps de bâtiment met en évidence l'escalier en fer à cheval. L’organisation du bâtiment permet de dégager la vue sur la campagne avoisinante, par-delà le rempart. Vous pouvez lire sur la grille, la devise de la famille en lettre de bronze "Vaincre ou mourir".
Le Ternin est une petite rivière venue des montagnes boisées du Morvan (né du lac de Chamboux et du Ruisseau de Conforgien, à la limite des communes de Saint-Martin de la Mer et d'Alligny en Morvan, donc à la limite des départements de la Côte d'Or et de la Nièvre, à une altitude de 480 m), et son bassin, comme son cours, s'étend dans les départements de la Côte-d'Or, de la Nièvre et de Saône-et-Loire. Il coule généralement en direction du sud et reçoit les eaux de multiples ruisseaux fort abondants, avant d'arriver en plaine. Il se jette dans l'Arroux après un périple de 48 kilomètres, à Autun.
Le Ternin (dénommé "Torondam" au Moyen-Age, Tavernay en 1659, cette rivière fut aussi appelée la Tarenne, la Terrene, La Taraine. Lai Taraigne en Bourguignon-morvandiau.) est le tributaire le plus considérable de l'Arroux (d'une longueur de 120 kilomètres et affluent de la Loire, le plus long fleuve français) , dans lequel il se perd. Gamins, c'est ici qu'on allait se baigner l'été dans ce que l'on appelait sans vergogne "la piscine".
Au Moyen-Âge, l'évêque exerçait, dans la rue des Bancs, ses droits seigneuriaux sur la boucherie. Les bouchers y vendaient leur marchandise sur des bancs d'étal qu'ils installaient sur la voie publique. C'est donc en relation avec son activité commerciale que la rue est nommée rue des Bancs au XIVe siècle. La porte des Bancs, était l'une des deux tours rondes qui encadraient la porte principale de la "ville haute".
Elle était à l'origine composée de deux tours rondes encadrant l'entrée, surmontée d'un poste de garde et fermée par un pont-levis. De cette ancienne porte qui fermait la ville haute, il ne reste plus qu'une tour à gauche. On peut encore apercevoir la gorge où s'appuyait l'axe de rotation et la rainure où se dressait la poutre du système de pont-levis.
C'était, jusqu'au XVIIIe siècle, le seul accès à la ville haute depuis le nord de la ville.
Des toilettes sont disponibles pas loin, du côté du musée Rolin. Des animations temporaires ont parfois lieux dans les Hauts-Quartiers y compris la rue des Bancs, comme des braderies.
Saint-Jean-le-Grand était une abbaye de femmes fondée à l'époque mérovingienne. Les bâtiments romans ont disparu. Les façades et les toitures des bâtiments conventuels subsistant, construits entre la fin du XVIIe siècle et le 1er quart du XVIIIe, sont protégés au titre des monuments historiques.
L'église date du XIe siècle, à l'emplacement d'une petite basilique ou monastère paleo-chrétien attesté en 843 comme Saint-Pierre, à proximité de l'église Saint-Étienne d'alors. Le site comporte également un cimetière qui a été utilisé avant la christianisation, puis du IIIe au Ve siècle. À 50 m de l'église, la première inscription mentionnant le Christ en Gaule romaine, datant de la même époque : l'inscription grecque de Pectarios.
Au milieu du XVIIIe siècle, une partie de l'église Saint-Étienne et des mausolées funéraires du Bas-Empire sont encore visibles. Un rapport de 1750 décrit l'église Saint-Pierre comme « fort laide et irrégulière » mais l'église a alors toujours son clocher et sa sacristie, qu'un témoignage donne détruits en 1836, époque où l'église sert de grange. Une campagne de fouille, qui porte de juin à août 2020 sur le cimetière paleo-chrétien attenant, permet de dégager 150 sépultures, dont certaines comportent des sarcophages en grès, des coffrages en tuiles, des cercueils de bois ou de plomb… Un des cercueils de plomb est resté fermé depuis l'origine et devrait livrer ses secrets à la fin de la fouille. En outre divers objets de valeur dont un vase diatrète en verre — le premier découvert en France.
Le portail de cet hôtel du XVIIe s. est protégé au titre des monuments historiques.
Hôtel Arbelet, de style néo-Renaissance (dernier quart du XIXe siècle).