En Bourgogne-Franche-Comté (71), à deux pas du Morvan, 1h de Dijon et de Chalon sur Saône, VIVEZ AU CŒUR DE LA NATURE, un grand moment d'ouverture des sens et de découvertes assurées, au sein de notre éco-centre en permaculture, agro-biologie et biodynamie.
Découvrez le domaine d'Alôsnys, parc de 3.5 ha avec son jardin mandala en auto-cueillette, ses parcs d'animaux, son espace formation, ses airs de jeux, sensoriels et de loisirs, sa grande collection d'aromatiques, ses plantes médicinales, la pépinière, le petit magasin et la graineterie. Découvrez son grand chemin pieds-nus en forme d'escargot. Petite dégustation ouverte à tous les visiteurs.
La transmission de nos savoirs s'effectue lors d'ateliers et formations en permaculture , agroécologie et base de biodynamie (détail sur www.alosnys.com). Les visites du domaine offrent un premier contact avec ces techniques et la découverte d'un très bel espace.
Lové au cœur d’un vallon de Bourgogne du Sud, notre jardin naturel s’organise en cinq espaces clos gravitant autour d’une demeure bourbonnaise du XVIIIème siècle. Les ambiances s’enchainent au rythme des clins d’œil, des parterres de vivaces, des massifs de rosiers, de graminées et des bassins de nymphéas ouverts sur la campagne environnante.
Crées en 2003 sur un demi hectare, les jardins des Soussilanges se dévoilent au rythme de chacun. Le visiteur averti échangera ses impressions , le rêveur s’échappera au grés des ambiances et le poète qui sommeille en chacun y puisera peut-être l’inspiration…
Jardins et campagne ne font plus qu’un, le temps s’arrête, l’heure est à une balade intime au sein du bocage de France.
Jardin aménagé sur l'ancien château comtal offrant un joli panorama sur la Ville. Charolles était jusqu'à la Révolution la capitale du comté de Charolais. Construit sur un escarpement rocheux, son château, attesté dès le Xème siècle, a été fortement remanié au XVème siècle par les ducs de Bourgogne, qui étaient comtes de Charolais. La tour circulaire, construite sous Charles le Téméraire (XVème siècle) et baptisée du nom du duc, est un des rares éléments du château encore existant.
A quelques pas du pont-canal, avec vue imprenable sur la Loire, pour une pause ou un moment de détente dans un décor fleuri et bucolique.
Parc de 10 ha, réhabilité depuis peu dans l'esprit du 18ème siècle avec terrasses, statuaire, bassins, parterres de broderies et une vaste roseraie de plus de 40 variétés.
Théâtre de verdure avec une vue imprenable sur le majestueux pont-canal et la Loire. Idéal pour un moment de détente et d'observation.
Créé en 1999 au Champ Rosé, ce parc est situé autour de la mairie. Un jardin de 6 000 m² comprenant un millier de rosiers, des vivaces, arbres et arbustes divers et un labyrinthe de verdure. Les rosiers ont été offerts par des communes, un rosiériste du Maine et Loire et des particuliers.
Le site est en accès libre et gratuit toute l'année. Une fête de la Roseraie, des plantes et de l'artisanat a lieu chaque année le dernier week-end de mai.
Entre Bourbince et Canal du Centre, ce parc paysager, créé à l'occasion de la venue du Pape Jean-Paul II en 1986, s'étend sur une quinzaine d'hectares. L'allée d'un kilomètre qui le parcourt permet de découvrir un choix remarquable de 850 arbres et conifères venus du monde entier. Parcours de santé, jeux pour enfants. Accès libre et gratuit.
L’une des plus grandes écuries privées d'Ancien Régime en France. Le domaine est dans la même famille depuis six siècles. Les écuries ont été bâties entre 1648 et 1652 par Henriette de La Guiche, filleule d’Henri IV, pour la garde princière de son époux, Louis Emmanuel de Valois, petit-fils du roi Charles IX, colonel général de la cavalerie légère. François Blondel, architecte de Louis XIV, revendique en être l’auteur.
Les façades richement ornées de ce palais équestre, rythmées par deux escaliers monumentaux, ont été préservées à la Révolution. L’architecture et l’agencement intérieurs, inspirés d’un ingénieux projet de Léonard de Vinci, en font les plus italiennes des écuries de France.
Le Parc se visite seulement avec la découverte des Ecuries.
D'inspiration médiévale, ce jardin suggère l'allure des jardins monastiques. C'est un clos qui se lit à plusieurs niveaux : historique, ethnobotanique et symbolique. Il se compose de plessis tressés, agrémentés de plantes odorantes dont certaines étaient déjà cultivées au Moyen Age. L'artiste mosaïste Joël Barguil a transformé la cour latérale grâce à son œuvre monumentale "Lames de pluie". Ses galeries accueillent régulièrement des manifestations culturelles : expositions, concerts, salons.
Le Ternin est une petite rivière venue des montagnes boisées du Morvan (né du lac de Chamboux et du Ruisseau de Conforgien, à la limite des communes de Saint-Martin de la Mer et d'Alligny en Morvan, donc à la limite des départements de la Côte d'Or et de la Nièvre, à une altitude de 480 m), et son bassin, comme son cours, s'étend dans les départements de la Côte-d'Or, de la Nièvre et de Saône-et-Loire. Il coule généralement en direction du sud et reçoit les eaux de multiples ruisseaux fort abondants, avant d'arriver en plaine. Il se jette dans l'Arroux après un périple de 48 kilomètres, à Autun.
Le Ternin (dénommé "Torondam" au Moyen-Age, Tavernay en 1659, cette rivière fut aussi appelée la Tarenne, la Terrene, La Taraine. Lai Taraigne en Bourguignon-morvandiau.) est le tributaire le plus considérable de l'Arroux (d'une longueur de 120 kilomètres et affluent de la Loire, le plus long fleuve français) , dans lequel il se perd. Gamins, c'est ici qu'on allait se baigner l'été dans ce que l'on appelait sans vergogne "la piscine".
Monument meublé XVIIIe, le château de Digoine, situé au cœur d'un vaste domaine de 35 hectares, est un témoin de notre patrimoine passé mais également présent, que nous prenons plaisir à vous faire découvrir au quotidien. Les jardins classés "Jardin Remarquable" sont à découvrir en visite libre.