Rétrospective sur l'histoire de l'usine Puzenat de 1882 à 1956, qui a révolutionné le matériel agricole, en France et à l'étranger, au début du XXème siècle. Exposition de plusieurs machines Puzenat et présentation du travail du bois à travers une collection d'outillage, dont plus de 400 rabots.
Musée ouvert en 2010 qui réunit les collections archéologiques de M. Sabatier (1883 - 1947), ancien pharmacien de Saint-Bonnet-de-Joux, qui en a fait don à la commune. Ses fouilles ont eu lieu sur 3 sites principalement : Suin, Ballore et Sainte-Colombe. Les collections sont complétées par du matériel proto-historique (clés, balances, serrures, etc.). Deux vitrines sont consacrées à la minéralogie et l'histoire géologique du village. Plusieurs albums de cartes postales anciennes du canton peuvent être aussi consultés sur place.
Dans l'église romane du XIème siècle, poteries et figurines gallo-romaines, dont plusieurs objets provenant des fouilles de Bourbon-Lancy, porcelaines et biscuits de Sèvres, peintures (Puvis de Chavanne, Laronze, Lebourg, Merlette...), dépôt lapidaire médiéval, sarcophage du pèlerin de Compostelle et sculptures des XIXème et XXème siècles (Barrias Béguine).
L'église faisait à l'origine partie d'un ensemble monastique, fondé par le seigneur et baron de Bourbon-Lancy et placé sous le patronage de l'abbaye de Cluny en 1030. Il s'agit d'un édifice du premier âge roman, composée d'une nef couverte d'un plafond en bois et d'un chevet à chapelles échelonnées, où l'on découvre quelques chapiteaux sculptées. La grande sobriété de l'ensemble dégage une impression de sérénité.
Actuellement en cours de rénovation intérieure.
Dans le parc des Chapelains, 18 tableaux (créés par le sculpteur Serraz), mis en scène sous la forme d'un son et lumière, évoquent la vie de Sainte-Marguerite-Marie, les apparitions du Christ et l'histoire du sanctuaire de Paray-le-Monial. Reconstitution de la cellule de sainte Marguerite-Marie. Visite enregistrée.
Revivez pas à pas les événements marquants de la vie de Bernard Thévenet, de son enfance à la découverte de sa passion pour le vélo, sa carrière en tant que cycliste amateur puis cycliste professionnel.
Situé dans une hostellerie de 1742, tout près du pont-canal sur la Loire, le Musée de la Céramique de Digoin rassemble quelques 8 000 pièces dans 14 salles. La visite guidée redonne vie à une histoire qui dépasse le cadre régional. Le panorama est aussi vaste que varié : d'un four gallo-romain du IIème siècle, à la mémoire de la production digoinaise depuis 1770, en passant par les techniques de fabrication et de décoration, cette visite est aussi un vrai bain de céramique familiale. Chaque visiteur retrouve, à côté de pièces rares, les vaisselles qui ont marqué sa vie, celle de ses parents et celle de ses grands-parents.
Reconstitution d'une salle de classe fin XIXème et XXème siècle. Dans l'ancienne école Bartoli, mis à disposition par la mairie, l’association fait découvrir ou redécouvrir, au public et aux écoles de la commune, tout un univers de l’école d’autrefois : le tableau noir, les vieux bancs en bois, l'odeur de la craie et de l'encre violette, le bonnet d'âne, ... Nos bénévoles racontent l'histoire locale de l'écolier d'autrefois.
9 salles d'exposition : reconstitution d'un intérieur Brionnais au XIXème siècle, présentation du patrimoine (architecture, habitation, matériel agricole et viticole), reconstitution d'une salle de classe du début du XXème siècle, jouets anciens, diaporama, salle consacrée aux guerres.
Espace d'exposition aménagé dans une ancienne scierie artisanale et tourné vers la présentation du patrimoine artisanal et culturel local. Pressoir à grand point de 1683. Exposition de crèches de Noël en décembre et janvier.
Le musée a été crée en 2007 par Georges GODOT et des anciens du centre école aéronautique de Saint-Yan est installé sur le site de l'Ecole Nationale de l'Aviation Civile. Le but est de maintenir la mémoire et la sauvegarde du patrimoine du centre de formation de pilotes de ligne de Saint-Yan et de l'aérodrome.
Le château situé au cœur de ce parc est un édifice aux volumes et au style éclectiques, il a été construit par l'architecte départemental Jean-Etienne Giroud, également auteur du château de la Fourrier sur la même commune. Le château a appartenu à la famille de Chargères (également propriétaire du château du Breuil), avant de passer par alliance au marquis d'Aux de Lescout, puis à la ville de Gueugnon dans les années 1970.
Créé dans le pigeonnier du parc de la mairie, cet espace culturel et historique retrace l'histoire de Mme d'Artagnan, de la commune et du château. Ce dernier fut la propriété de la famille Boyer de Champlecy, notamment d'Anne-Charlotte de Champlecy, épouse de 1659 à 1671 de Charles-Batz Castlemore, comte d'Artagnan, qui inspira à Alexandre Dumas, son célèbre héros des "Trois Mousquetaires". La commune est une étape de la Route européenne d'Artagnan, première route équestre européenne.