L'usine Aillot de Montceau-les-Mines date du XIXe siècle. On y fabriquait des rouleaux compresseurs (cylindres à vapeur) pour les entreprises de travaux publics.
Le site est aujourd'hui progressivement restauré et mis en valeur pour accueillir présente un ensemble de véhicules de collection, poids lourds des années 1941 à 1986. Une vingtaine de camions de la collection est exposée dont des pièces remarquables telles que le Berliet GBC 8 6x6 Sahara conduit par Lino Ventura dans le film «Cent mille dollars au soleil».
C'est l'occasion de vous mettre au volant de camions mythiques, de découvrir des aventures humaines de la route, dans un authentique bus Greyhound, de parcourir nos expositions comme "Camion et Cinéma" et de partager un moment de convivialité à la buvette Baraillot. T
oute la saison, nous organisons des manifestations, concerts, spectacles, conférences à voir sur le site de l'Usine Aillot.
Espace muséographique ludique et interactif, situé au cœur du berceau de cette race d'exception, expliquant comment la charolaise transforme l'herbe en viande de qualité. Les trois niveaux thématiques détaillent successivement tout ce qui fait la tendreté et la justosité de cette viande d'exception, la passion des éleveurs et le paysage de bocage modelé par l'élevage des bovins. Cette visite, également adaptée aux enfants, s'achève sur le belvédère pour profiter d'un panorama sur le bocage.
Le musée est situé dans la salle du donjon de l'ancien prieuré de Saint-Sernin. Vestiges du néolithique, de l'époque gallo-romaine, fossiles, documents, photos... Tableaux de Raymond Rochette (peintures des usines du Creusot, paysages).
Collection de petits objets anciens liés au monde rural et au patrimoine.
Un musée unique en son genre, qui expose tous les aspects de l'histoire et de la culture des sourds, l'histoire des nombreuses écoles pour enfants sourds, le rôle des professeurs sourds, la vie sociale des enfants sourds, des productions artistiques, l'histoire de la langue des signes.
Il abrite les éléments lapidaires (quinze chapiteaux et corniches de marbre blanc richement sculptés) et des mosaïques antiques et médiévales. Ces témoins de la monumentalité des édifices éduens sont présentés dans une chapelle romane de filiation clunisienne, comme en attestent le portail sculpté et l’abside peinte d’une fresque du XIIe siècle (Christ Pantocrator). Autour d’un jardin romantique, court une galerie où se trouvent présentés cent quinze stèles gallo-romaines, des sarcophages, fûts de colonnes et de pilastres, inscriptions, chapiteaux… Le Musée Lapidaire, créé en 1861, est situé dans l’ancienne chapelle de l’hôpital Saint-Nicolas-et-Saint-Eloi-en-Marchaux. Il bénéficie depuis le 1er février 2003 du label Musée de France.
Reconstitution d'une salle de classe traditionnelle. Matériel pédagogique depuis les années 1900. Découverte du pays Brionnais à travers l'histoire de l'enseignement. Complément idéal de la visite du marché aux bovins. Visites-conférences et animations.
Les chefs d’œuvre des soldats artistes racontent 1914-1918. Lorsque la guerre éclate en août 1914, les soldats français partent la fleur au fusil persuadés d'être rapidement de retour chez eux. Mais la guerre s'enlise. Au front dans les tranchées ou à l'arrière, pendant les courtes périodes de repos, les poilus commencent à fabriquer une multitude d'objets... Leur première vocation est utilitaire : le briquet indispensable pour chauffer le vin gelé, griller une gauloise, vient remplacer les allumettes trop humides, les lampes ou les bougeoirs permettent de s'éclairer, les cannes de marcher sans s'embourber. Ensuite pour tromper l'angoisse entre deux assauts, défier l'ennui, s'occuper l'esprit, les poilus se mettent à fabriquer des cadeaux qu'ils destinent à leur famille : timbales ou bracelets, cadres photos, parures de bureaux, vases... A l'occasion des commémorations du centenaire de la mobilisation d'août 1914, plus de 1000 chefs-d’œuvres de poilus sont exposés sur 420 m² : douilles sculptées, cannes, broderies, briquets, bagues, encriers, coupe papiers, lampes, avions, casques miniatures, plumiers... sans oublier les objets rapportés de captivité. Des panneaux explicatifs avec des centaines de cartes postales anciennes et documents: les front et les tranchées, les événements, la propagandes batailles... La reconstitution de scènes d'époques (un champ de bataille, abri sous terrain, fabrication d'objets dans une tranchée, l'arrière du front, la captivité en Allemagne) et des vision de vues stéréoscopiques.
Présentation dans une atmosphère "Belle Époque" de pièces de collection du XIXème siècle : berline ayant appartenu à la Comtesse de Ségur, calèche ayant transporté le Tsar Nicolas II de Russie, attelages russes, américains, d'Europe de l'Est, d'Angleterre, de France et du Charolais Brionnais...
Présentation du travail du tissage, du fil à l'étoffe, du travail manuel au travail sur les métiers mécaniques. Fonctionnement des machines à pédales, à moteur. Visite commentée et animée.
Musée du site gallo-romain : moules, figurines en terre blanche, objets des fouilles de 1984-1986. Visite ponctuelle, information auprès de la mairie.
Palinges fait partie de la Vallée de la Céramique.
Au XIX° siècle, Palinges comptait 6 industries céramiques à la Melchère (Bernard et Contant), la Motte (Diossin), la Pépinière (Dessertaine-Chotet), les Sauges (Simon-Musson), le Montet (Laujorrois- Ruaut-Pajot-Paissaud-Deyrieux-Bordelais) et le Fourneau (Chèze). Vint s'ajouter une 7ème industrie au début du XX° siècle avec le site des Badeaux (Ducrot).
Le musée renferme une très belle collection de céramiques datant de 1811 à aujourd'hui avec les Terres Cuites de Bourgogne.