Lové au cœur d’un vallon de Bourgogne du Sud, notre jardin naturel s’organise en cinq espaces clos gravitant autour d’une demeure bourbonnaise du XVIIIème siècle. Les ambiances s’enchainent au rythme des clins d’œil, des parterres de vivaces, des massifs de rosiers, de graminées et des bassins de nymphéas ouverts sur la campagne environnante.
Crées en 2003 sur un demi hectare, les jardins des Soussilanges se dévoilent au rythme de chacun. Le visiteur averti échangera ses impressions , le rêveur s’échappera au grés des ambiances et le poète qui sommeille en chacun y puisera peut-être l’inspiration…
Jardins et campagne ne font plus qu’un, le temps s’arrête, l’heure est à une balade intime au sein du bocage de France.
Jardin aménagé sur l'ancien château comtal offrant un joli panorama sur la Ville. Charolles était jusqu'à la Révolution la capitale du comté de Charolais. Construit sur un escarpement rocheux, son château, attesté dès le Xème siècle, a été fortement remanié au XVème siècle par les ducs de Bourgogne, qui étaient comtes de Charolais. La tour circulaire, construite sous Charles le Téméraire (XVème siècle) et baptisée du nom du duc, est un des rares éléments du château encore existant.
A quelques pas du pont-canal, avec vue imprenable sur la Loire, pour une pause ou un moment de détente dans un décor fleuri et bucolique.
Parc de 10 ha, réhabilité depuis peu dans l'esprit du 18ème siècle avec terrasses, statuaire, bassins, parterres de broderies et une vaste roseraie de plus de 40 variétés.
Théâtre de verdure avec une vue imprenable sur le majestueux pont-canal et la Loire. Idéal pour un moment de détente et d'observation.
Entre Bourbince et Canal du Centre, ce parc paysager, créé à l'occasion de la venue du Pape Jean-Paul II en 1986, s'étend sur une quinzaine d'hectares. L'allée d'un kilomètre qui le parcourt permet de découvrir un choix remarquable de 850 arbres et conifères venus du monde entier. Parcours de santé, jeux pour enfants. Accès libre et gratuit.
L’une des plus grandes écuries privées d'Ancien Régime en France. Le domaine est dans la même famille depuis six siècles. Les écuries ont été bâties entre 1648 et 1652 par Henriette de La Guiche, filleule d’Henri IV, pour la garde princière de son époux, Louis Emmanuel de Valois, petit-fils du roi Charles IX, colonel général de la cavalerie légère. François Blondel, architecte de Louis XIV, revendique en être l’auteur.
Les façades richement ornées de ce palais équestre, rythmées par deux escaliers monumentaux, ont été préservées à la Révolution. L’architecture et l’agencement intérieurs, inspirés d’un ingénieux projet de Léonard de Vinci, en font les plus italiennes des écuries de France.
Le Parc se visite seulement avec la découverte des Ecuries.
D'inspiration médiévale, ce jardin suggère l'allure des jardins monastiques. C'est un clos qui se lit à plusieurs niveaux : historique, ethnobotanique et symbolique. Il se compose de plessis tressés, agrémentés de plantes odorantes dont certaines étaient déjà cultivées au Moyen Age. L'artiste mosaïste Joël Barguil a transformé la cour latérale grâce à son œuvre monumentale "Lames de pluie". Ses galeries accueillent régulièrement des manifestations culturelles : expositions, concerts, salons.
Monument meublé XVIIIe, le château de Digoine, situé au cœur d'un vaste domaine de 35 hectares, est un témoin de notre patrimoine passé mais également présent, que nous prenons plaisir à vous faire découvrir au quotidien. Les jardins classés "Jardin Remarquable" sont à découvrir en visite libre.