Melay est une commune de 3650 hectares située en Saône-et-Loire. Le village, limitrophe du département de la Loire compte plus de 950 habitants. Il est situé dans la vallée de la Loire et est traversé également par le canal de Roanne à Digoin.
Plusieurs lieux sont des témoins de l'histoire locale : l'église St Etienne a été reconstruite au XIXe à l'emplacement d'un édifice roman du XIIe, son clocher est de style roman comme en témoignent les chapiteaux qui se trouvent sous sa voute et dans le chœur actuel ; l'espace du pressoir abrite un pressoir monumental datant de 1683 venant des communs du château de Maulévrier, il est le témoin du passé viticole de la commune. Cet espace accueille des expositions temporaires et notamment "Melay, village des crèches". Au début du XIVe, on comptait plusieurs châteaux, aujourd'hui seul celui de Maulévrier existe encore.
Sur le chemin de halage du canal de Roanne à Digoin, au lieu-dit Bagneaux, on peut remarquer la stèle érigée en hommage à trois grands résistants qui ont atterri non loin de là dans la nuit du 19 au 20 mars 1943 : Jean Moulin, le Général Delestraint et Christian Pineau.
La commune s'anime lors de la grande fête du 15 août pour deux jours de festivités et lors des fêtes de fin d'année, les rues s'illuminent et de nombreuses crèches peuvent être admirées…
Entre les bords de Loire, le canal et la carrière de Lapillonne, les pêcheurs trouveront certainement un bon coin de pêche. Les amateurs de randonnée seront également ravis de pouvoir se promener seuls ou accompagnés d'un âne bâté sur les nombreux chemins que compte la commune.
Les hébergeurs et restaurateur seront ravis de vous accueillir dans leurs structures.
Le village de Blanot est situé dans un repli des Monts du Mâconnais, au pied du Mont Saint-Romain, au Nord-Est du canton de Cluny. Dans ce splendide village vous découvrirez le Prieuré clunisien du XIIIème siècle, lavoirs anciens, four à pain, toits de lave, maisons à galerie, murs de pierres sèches, tombes mérovingiennes des VIème et VIIème siècles.
Vous visiterez ses célèbres Grottes ! L’ensemble des grottes a été découvert en 1739. Les salles sont étagées sur plus de 80 mètres de profondeur, le tout dans un décor féerique de stalactites et stalagmites
Vous découvrirez également le Mont Saint-Romain, d’une altitude de 580 m, table d’orientation, superbe vue sur les Alpes, le Jura, puis à l’Ouest les Monts du Charolais et le Morvan.
Sur cet ancien site gallo-romain, les moines de Cluny fondèrent, au XIème siècle, un prieuré qui fut détruit à la fin du XVIIIème siècle.
Petit village du Clunisois remarquable pour son hameau de Lys et tous ses artisans d'art !
Commune du Clunisois
Semur-en-Brionnais est la capitale historique du Brionnais. Le village est labellisé «Un des plus beaux villages de France » et il est le seul en Saône-et-Loire.
Le nom de la commune provient du latin Senemurum : « vieilles murailles ».
Le village a conservé de nombreux bâtiments, témoins de l'époque médiévale : le château St Hugues, château fort qui a vu naître Hugues de Semur, grand abbé de Cluny ; la collégiale St Hilaire et son magnifique tympan ; l'église St Martin la Vallée et ses peintures murales,... Des visites guidées du village sont proposées par l'association Les Vieilles Pierres.
Plusieurs randonnées traversent le village et vous conduisent de la vallée à la forêt, ainsi vous pouvez admirer le magnifique paysage typique du Brionnais avec ses haies vives et ses prairies verdoyantes.
Si vous cherchez le gîte ou le couvert, vous devriez trouver de quoi satisfaire votre attente.
Saint-Gengoux-le-National est une charmante cité médiévale qui prit son essor à partir de 1166, date du traité de pariage entre le roi de France, Louis VII, et l'abbé de Cluny. Il permit de transformer le village d'origine en une cité fortifiée, augmentant la sécurité de la région. Dès lors, la vie économique pouvait facilement se développer grâce à l'installation de nombreux artisans et commerçants. Pendant près de 600 ans, la ville s'appela Saint-Gengoux-le-Royal. Aujourd'hui, les visiteurs qui rentrent dans le cœur de Saint-Gengoux-le-National, la cité médiévale, se retrouvent à une autre époque. En effet, il existe encore beaucoup de maisons témoins du XIIIe siècle et des siècles suivants.
On peut aussi admirer l'église, dont le clocher roman octogonal à 3 étages date de 1120. Une passerelle (appelée pontet) relie le clocher à la "Tour de l'Horloge", sorte de beffroi édifié en 1566 pour sonner l’heure. Le donjon, seul vestige du vieux château, est lui aussi toujours présent. L'image "médiévale" est attractive, mais ce n'est pas le seul atout, car la vigne et le vin tiennent ici une place importante depuis longtemps. Les visiteurs seront aimablement reçus à la cave coopérative pour déguster et acheter d'excellents bourgognes, y compris le Mâcon Saint-Gengoux.
La ville dispose de tous les commerces et facilités pour un agréable séjour.
Commune du Clunisois en Saône et Loire - Bourgogne du Sud
Le site de Bray témoigne des statuts différents des moines de Cluny, dans la société médiévale. Celui de seigneurs ecclésiastiques, déjà… En effet, lorsqu’il rachète le château de Boutavent en 1237, l’abbé de Cluny dispose du droit de justice et de dime sur les terres de Bray, qui en dépendent. De plus, Cluny y bâtit la chapelle Saint-Jean-du-Bois, qui devient, pendant un temps, un ermitage. Bien que la règle clunisienne prescrive aux religieux la vie en communauté, certains se retirent parfois et s’isolent de Cluny.
Mais les moines sont pleinement ancrés dans la société. Ils administrent des terres agricoles et viticoles : le domaine de la Malaise, que crée Cluny, nous rappelle aujourd’hui cette activité essentielle. Ils desservent aussi le culte, au centre du bourg, dans l’église Saint-Quentin, datant des 11e-12e siècles. Le plan de l’église est original pour la région mais, une fois entrés, prenez attention aux sculptures des chapiteaux qui pourraient remonter au 11e siècle.
Le village de Château, en Clunisois, est niché dans la vallée du Repentir, à l'ouest de Cluny.
De ses nombreux hameaux démarrent chemins et sentiers qui vous feront découvrir un paysage bocagé, où subsiste quelques traces du passé viticole du vallon.
Parmi le patrimoine architectural du village, son église se dresse dans l'ancien emplacement de la forteresse médiévale et surplombe de son plateau, le bourg principal, offrant ainsi un point de vue panoramique vers le sud, avec le doyenné Clunisien de Mazille là où le Repentir rejoint la vallée de la Grosne.
Façonnés au fils des siècles par l’activité agricole, découvrez l’histoire de ses habitants, découvrez le dynamisme de ses associations, le patrimoine naturel, architectural et culturel.
Petit village de Saône-et-Loire , Ballore se trouve à 3 km au nord-est de Martigny-le-Comte. Située à 331 mètres d'altitude, la Rivière l'Arconce est le principal cours d'eau qui traverse la commune. Son église romane, son château (demeure privée), reconstruit dans un style plus moderne en 1581 après avoir été détruit en 1576, et ses paysages typiques du charolais sont à découvrir au cours de randonnées.
Baron, charmante commune de 320 habitants au sud de la Bourgogne. Un village au cœur d'une région d'élevage, aux reliefs doucement vallonnés offrant un panorama sur les Monts du Charolaise au lieu-dit du Clou. Baron est doté d'un patrimoine architectural remarquable avec, notamment, son église romane du XIIème siècle surplombant le bourg. De nombreux bâtiments anciens, à l'architecture préservée, subsistent dans les nombreux hameaux du village.
Beaubery, petit village dynamique du Charolais, vous dévoile ses paysages vallonnés et son histoire riche au gré de ses ruelles et de ses balades vertes. Partez à la découverte du Mont Botey, point culminant de la commune avec ses 561 mètres d’altitude ou bien encore du Mont Chatelard et de son Mémorial de la Résistance, inauguré le 8 juin 1947 et érigé par des anciens maquisards du Maquis de Beaubery et du Bataillon du Charolais. Au Nord de la commune, au détour d’un sentier, vous rencontrerez la Corne d’Artus, ruines de l’ancien château fort, siège d’une des châtellenies appartenant aux comtes de Charolais. En grande partie détruit au XVIème siècle lors des guerres de Religion, il ne reste aujourd’hui qu’un pan en moellons de granit rose qui laisse libre cours à notre imagination. Le château de Corcheval (demeure privée), que l’on peut apercevoir du sommet d’Artus, a été reconstruit au XVIIème siècle après les ravages des guerres. Corcheval est connu car Marguerite Marie Alacoque, Visitandine de Paray-le-Monial et canonisée en 1920, s’y rendait souvent, chez sa marraine.