Bourbon-lancy : une petite cité bourguignonne celte et médiévale de 2 000 ans d'Histoire qui ne manquera pas de vous faire passer un agréable séjour ou tout simplement vous reposer profitant de ces eaux bienfaisantes au sein de sa station thermale.
Ruelles pittoresques, maisons aux façades colorées, toits
plats couverts de tuiles rondes sont autant d’éléments qui
soulignent le caractère méditerranéen de Tournus. Rues et
monuments s’animent toute l’année au rythme des marchés,
concerts, expositions qui s’y déroulent. Au-delà d’une réputation
gastronomique internationale, avec ses grands chefs, Tournus
est devenue une halte privilégiée pour les plaisanciers qui
croisent le long de la Saône.
Il est des lieux dont le nom est immédiatement évocateur, Chardonnay est de ceux-là. Dites Chardonnay et déjà la magie opère, vos papilles frétillent. Outre un nom qui a déjà fait le tour du monde, Chardonnay est un charmant
petit village typiquement bourguignon. Niché au milieu des vignes, vivant au rythme de la terre et des saisons, il offre au regard des promeneurs une image bucolique et traditionnelle mêlant vieilles pierres et jeunes ceps.
Joli village de pierres roses venues des carrières du village, Préty est le départ idéal de randonnées entre Saône et carrières. Découvrez son lavoir en pierre rose, ses puits.
Au cœur de la route romane qui relie les abbayes de Tournus et Cluny, perché sur un éperon rocheux, Brancion vous accueille et vous emmène à la découverte d’un Moyen Âge rêvé : porte fortifiée, donjon dominant le village et l’église romane, panoramas exceptionnels et flâneries dans un site entièrement piéton. Enserré dans un écrin de verdure, le château est un lieu où le temps semble s’être arrêté. Il a la particularité d’offrir une évolution de l’architecture castrale, de l’époque carolingienne aux guerres de Religion.
* Les ruines du logis de l’An Mil, l’un des rares exemples connus en France de grande salle seigneuriale du début du XIème siècle.
* Le château seigneurial des XIIème et XIIIème siècles avec le logis de Beaufort et ses tours défensives, la tour du Trésor et le donjon haut de plus de 20 mètres qui offre un panorama exceptionnel à 360°.
* Le château ducal du XIVème siècle avec le logis de Beaujeu dont les magnifiques baies polylobées et les cheminées monumentales témoignent de la grandeur passée.
Blotti entre le château et l’église, le village offre un dédale de ruelles fleuries où il fait bon flâner. Sur la place centrale (le "plâtre commun"), se dresse la halle du XVIème siècle.
D’époque romane, l'église Saint-Pierre domine un paysage préservé, forgé par des centaines de générations de paysans. Elle abrite des peintures murales de la fin du XIIIème siècle et le gisant de Josserand de Brancion, mort à la bataille de la Mansourah en 1250 (7ème croisade).
Juste à côté se trouve le jardin de simples créé par l’association TREMPLIN Homme et Patrimoine.
Brancion : un des joyaux de la Bourgogne du Sud. Cette cité médiévale "Petite Cité de Caractère de Bourgogne-Franche-Comté" perchée à 400 mètres d’altitude offre aux visiteurs un magnifique panorama sur la Vallée de la Grosne et des sentiers de randonnée. Le site possède un château féodal dont la première mention remonte à l’an 944, une halle du XVe siècle ainsi qu’une église romane, chef d’oeuvre du roman tardif avec ses peintures murales datant de la fin du XIIIe siècle. Depuis le donjon du château, la vue sur ce pittoresque village vaut le détour.
Le saviez-vous ? Gisant de Josserand III, seigneur des lieux, est mort en croisade à la bataille de Manzourah alors qu’il bataillait aux côté de Saint-Louis. Son fils, ruiné, a vendu 8 ans plus tard, la forteresse au duc de Bourgogne Hugues IV (1259). Après la mort de Charles Le Téméraire en 1477, Brancion a réintégré le domaine royal. Le Château tombe pour la première fois de son histoire en 1594 lors des guerres de religion. Il a été vendu comme bien national en 1793.
A découvrir :
- le marché biologique ( les 1er et 3ème dimanche matin du mois)
- Les artisans d’art de la commune
- les animations organisées par l’association "La Mémoire Médiévale" et "Les Murgers Fleuris" que vous pouvez retrouver sur le blog de la commune ou sur la page de Brancion
Le bourg de Royer est accroché au versant Sud de la Crâ, longue colline de pelouse calcaire et lieu privilégié des randonneurs, des enfants, des amateurs d’Orchis, œillets... et autres fleurs spécifiques.
Les nombreux chemins de randonnées permettent la découverte du village.
Village viticole du Mâconnais, Clessé - « Classiacus », ce village d’origine gallo-romaine compte deux églises. Santa Maria Ecclesia au clocher roman du XIe siècle et l’église de Quintaine bâtie au XVIIe siècle sur l’emplacement d’une vieille chapelle dite de Saint-Trivier. De nombreuses maisons vigneronnes, un château (XVIIIe privé), quelques porches à toit de laves, des puits et lavoirs, jalonneront votre promenade.
Commune du Clunisois en Saône et Loire - Bourgogne du Sud
Vivre à Ozenay.
Entre le doux flot de la Natouze et le bruissement des chênes en amont de la colline, les vieilles pierres du bourg d’Ozenay rayonnent d’un charme authentique. Commune de pierres et d’histoire, Ozenay a su conserver un cachet unique dans le Tournugeois. Ses sept hameaux dégagent sans exception cette même atmosphère sereine et paisible.
Ce plaisant tableau est le fruit d’une longue histoire. Les premières traces d’habitat à Ozenay datent du premier millénaire avant notre ère. Si des installations gallo-romaines sont attestées sur plusieurs sites dans la commune, les villages ne se sont pas sédentarisés avant le Moyen Age.
En plein XIIe siècle roman fut élevée l’église du bourg, dédiée aux saints Gervais et Protais, martyrs de Milan. Les paroissiens viennent tant d’Ozenay, que des villages voisins : Chavy, Corcelles, Gratay, Messey et Outry. La carte de la future commune est déjà existante dès le Moyen Age. Ozenay et ses hameaux comptent jusqu’à un millier d’habitants au XIXe siècle. C’est alors la belle époque de l’expansion viticole. La calamité du phylloxéra, anéantissant les vignobles dans toute la France, y porta un terme brutal dans les années 1870. Ozenay n’a depuis cessé de voir partir ses habitants pour d’autres horizons et les volets de ses maisons se fermer pour longtemps. Le début du XXIe siècle semble néanmoins plus prometteur pour la petite commune : un léger regain de population inespéré et la réouverture d’un commerce tant attendu sont venus redonner espoir. Aux désillusions des années 1980 succède le temps de toutes les espérances.
La commune d’Ozenay compte en 2003 près de 230 habitants. Sa superficie totale couvre plus de 1300 hectares, entre 250 et 350 mètres d’altitude environ. Un tiers est recouvert de forêts et de taillis, et près du quart est classé dans l’aire d’appellation viticole contrôlée du Mâconnais, dont 70 ha, sont actuellement plantés. La viticulture est l’activité privilégiée, c’est ce qui fait encore d’Ozenay une terre mâconnaise. Le sol calcaire de la commune permet aux cépages Chardonnay, Pinot et Gamay de produire d’excellents Bourgognes et Mâcon Villages, régulièrement récompensés lors des grands rendez-vous vineux. Longtemps terre d’élevage, Ozenay a conservé un certain nombre de troupeaux bovidés, dont un laitier de plus de cent têtes. Outre ces animaux charmants, la vie locale est animée tant par l’école publique que par les associations. C’est autour du feu de bordes que se retrouvent les habitants au mois de février, alors que fin juillet, le bal champêtre annuel a acquis une sympathique renommée dans tout le Tournugeois.
Commune de pierres et d’histoire, à l’image de sa table des hameaux inaugurée en ce début de millénaire, Ozenay n’en a pas moins une sérieuse option vers l’avenir.
Randonnées
La Commune d’Ozenay est sillonnée par de nombreux sentiers, qui desservaient autrefois les champs et cultures, aujourd’hui très appréciée pour les randonnées pédestre, cycliste ou équestre. Ils permettent d’apprécier la flore et la faune locales, particulièrement riches.
Isolée dans le vallon, l'église Saint-Blaise fut fondée par Cluny sur un site gallo-romain au XIe siècle.
En contrehaut, les bâtiments du carmel de la Paix sont dus à l'architecte J.L Sert, disciple de Le Corbusier. La rusticité du béton brut et les lignes sobres des bâtiments étagés à flanc de colline s'intègrent parfaitement à la quiétude de l'environnement. L'ensemble a été construit en 1971 lors du transfert de la communauté fondée à Chalon-sur-Saône en 1610. On peut assister aux offices et partager la vie, travaux et prières, de la communauté.
Au bourg de Mazille jadis fortifié, belles maisons rurales et ancien château des moines de Cluny dont la chapelle voûtée domine la vallée de Cluny. C'est aujourd'hui une exploitation agricole.