Le Château de Couches dit de Marguerite de Bourgogne est inscrit au titre des Monuments historiques. Que vous souhaitiez plutôt traverser les siècles lors d'une visite historique ou vous emparer de ce lieu emblématique le temps d'une journée ou d'une nuit, le Château de Couches vous propose une rencontre entre histoire, gastronomie et oenotourisme. Vous retrouverez, au sein de cette forteresse riche d'une histoire millénaire, un restaurant gastronomique, un caveau de dégustation pour découv rir les vins du domaine, des espaces privatisables pour vos évènements privés et professionnels mais également des chambres d'hôtes pour un séjour alliant charme d'antan et confort moderne.
Le Petit Train d'Autun vous propose une visite hors du commun.
Installez-vous et laissez-vous guider dans la ville d'Autun, pour découvrir le patrimoine historique de l'ancienne citée impériale fondée par Auguste.
Différentes formules existent, de la visite de la ville au circuit Découverte & dégustation en petit train .
- Embarquez à bord du petit train d’Autun le temps d’une visite d'une heure afin de découvrir l’histoire de la ville en direct. Au programme, des arrêts aux monuments principaux de la ville.
- Découverte et dégustation avec le petit train d’Autun le temps d’une visite de deux heures accompagné d’un guide touristique qui vous contera l’histoire de la ville en direct.
Au programme, des arrêts aux monuments principaux de la ville pour déguster des vins de Bourgogne et en apprendre davantage sur la Bourgogne viticole avec un caviste issue d’une Maison qui a traversé 9 générations, de 1750 à nos jours.
Les légendes du Morvan - Uchon
Un oracle, des fées, le diable… Nombreux sont les secrets conservés au creux des rochers et des forêts d’Uchon. Mais ne soyez pas effrayé, suivez les pas de la conteuse lors d’une balade d’1h30 au cœur de la forêt. Et laissez-vous porter par les légendes du Morvan.
Le Temps des Mines - Épinac
Durant une balade d’1h30 vous partirez à la découverte des mineurs d’Épinac, de leur histoire, de leur vie… Un passé encore très présent dans le paysage avec la cité des mineurs, le puits Hottinguer, la Garenne, la maison de la soeurotte.
Alors laissez-vous guider le long des ruelles et des vestiges miniers d’Épinac et remonter au Temps des Mines, ce passé si proche et déjà si loin de nos mémoires.
La légende de la Vivre - Couches
Partez à la découverte de la Vivre, une créature terrifiante qui, autrefois, fit régner la peur sur le village de Couches. Suivez la conteuse dans les rues du village durant 1h30 pour partager cette histoire, tout en faisant halte vers ses bâtiments remarquables.
Ces balades, tout public, sont l'occasion de découvrir le territoire et son histoire tout en se laissant porter par le récit de la conteuse.
Les Balades Contées sont aussi et surtout un moment d'échange et de partage.
Départ assuré avec un minimum de 2 personnes.
Il est nécessaire de réserver au minimum 2 heures avant chaque départ. Pensez à prendre des chaussures de marche, casquette et eau.
A proximité d'Autun et des pistes VTT, du site d'Uchon et du Morvan, nous proposons la location de VTT électriques tout suspendus au sein de nos chambres d'hôtes, gîte et cabane écolodge à Broye avec départ sur place.
La Tour Marchaux aussi dite Tour de l'Horloge, située au n°30 de la petite rue Marchaux, domine aujourd'hui le quartier. Elle était à l'origine une tour d'escalier ostentatoire qui desservait les étages d'un hôtel particulier à la fin du Moyen-Âge appartenant au XVe et XVIe siècles à la famille de Clugny. En 1793, on la coiffa d'un dôme et on y plaça l'horloge qui provenait de la porte haute de l'enceinte de Marchaux, détruite quelques années plus tôt.
Le Temple dit de Janus encore en élévation a été fouillé entre 2013 et 2018. Son origine a pu être précisée. Elle remonte à l’époque gauloise et au IIIe siècle av. J.-C. l’ancienneté de ce sanctuaire pourrait être l’une des raisons ayant présidé au choix du site topographique pour y implanter la nouvelle capitale des Eduens, à l’époque augustéenne. L’hypothèse d’un culte à « Janus » est fausse. Elle semble issue d’une mauvaise interprétation du toponyme, « Genetoye », qui renvoie plutôt aux genêts. D’autre part, une offrande découverte en fouille à l’emplacement du temple mentionne la divinité indigène « Ienieco », qui pourrait être l’un des dieux du sanctuaire. Pour l’instant ce dieu n’est attesté qu’à Autun.
Le théâtre et les thermes du sanctuaire ont été en partie dégagés. L’édifice de spectacle de la Genetoye mesure 116 m de diamètre, il est plus petit que le théâtre urbain mais ses dimensions restent tout de même suffisamment considérables pour en faire l’un des plus grands théâtres de Gaule.
Enfin, le quartier artisanal a bénéficié de 8 années de fouilles. Les productions sont tout d’abord tournées vers la métallurgie puis s’orientent vers la confection de vaisselle céramique au IIe siècle. Plus d’une centaine de fours de potiers sont recensés. Des ateliers de figurines ont été également découverts liés au célèbre coroplaste Pistillus. Ces productions sont destinées pour certaines à l’export, pour d’autres à la consommation au sein même du sanctuaire.
À la fin du XIIe siècle, Couches est séparé en deux territoires distincts : Couches en Royauté et Couches en Duché. Le village, en royauté, s’est développé sous la protection du Roi de France. L’origine de cette propriété remonte au traité de 1186 accordant aux moines la protection royale. Ceux-ci dotèrent les soldats du Roi d’une construction militaire pour s’opposer au seigneur du Château de Couches. Le bâtiment actuel date du XVe siècle et la toiture en tuiles vernissées du XIXe siècle. Le parc comprend des arbres vieux de près de 500 ans. A l'entrée, deux petites tours de chaque côté de la porte. Dans la cour, une grosse tour carrée. C’est elle « La Tour Guérin». Visite extérieure uniquement.
Construit aux environs de 70 après Jésus Christ et situé à l’est de la ville antique, il était destiné aux représentations dramatiques. Avec ses 148 mètres de diamètre, il apparaît comme le second plus grand du monde romain, pouvant accueillir 20 000 spectateurs. S‘appuyant sur la pente naturelle du terrain, le théâtre est de style classique avec des gradins disposés sur trois rangées semi-circulaires, coupées par des escaliers. Un mur imposant fermait le théâtre derrière la scène, d’une hauteur supposée de 30 mètres. Visite libre.
Idéalement situé au pied du centre historique de la ville d’Autun, le golf municipal offre un panorama magnifique tout au long du parcours. Vous pourrez profiter de la vue sur le Parc naturel régional du Morvan et des bâtiments aux architectures variées tel que le théâtre romain, la cathédrale St Lazare et le lycée militaire. Vallonné et technique, vous prendrez plaisir à découvrir ou redécouvrir ce parcours atypique, avec une formule d’accès journalière et peu coûteuse. Club convivial et sportif, vous pourrez allier entraînement et détente grâce notamment à son très beau practice, son restaurant panoramique, et son accès à la journée à volonté vous permettant d’aller et venir sans contrainte pratiquer votre sport favori. Deux voiturettes sont disponibles à la location (sur réservation). Deux tracés 18 trous homologués FFG (par 68) permettent de rendre moins monotone les 11 trous du golf.
En 1847 le département décide de construire une nouvelle prison, celle du palais de justice étant devenue obsolète.
On fait alors le choix original de construire une prison circulaire et panoptique, dans le respect des droits des prisonniers. C'est aussi une stratégie intéressante sur le plan économique, puisque cette disposition permet de limiter drastiquement le nombre de gardiens. La forme, un cylindre de trois étages, atteint treize mètres de hauteur pour vingt-trois mètres de diamètre. Les cellules sont assez spacieuses, les prisonniers disposent également de lumière naturelle et de chauffage ce qui est très confortable pour l'époque. Les cours de promenade sont situées au troisième niveau, sous le toit-terrasse. Cette prison est désaffectée après la seconde guerre mondiale.
Aperçu de l'extérieur uniquement. Le musée Rolin actuellement en travaux avec la prison afin de former un Grand Musée en utilisant la vue à 360 degré de ce bâtiment circulaire. Le projet devrait voir le jour d'ici 2027.
Aucune ville de Gaule ou bien d’Italie n’accueille un ensemble de portes romaines aussi bien conservé qu’à Autun. Elle possède une architecture proche de la porte d'Arroux mais a subi de nombreuses restaurations notamment de Viollet-le-Duc. Visite libre.
Tout comme la porte d’Arroux, la porte Saint-André présente encore quatre passages au niveau de la chaussée, deux grandes baies centrales permettant la circulation des chariots et deux ouvertures plus petites dans l’alignement des trottoirs. Au premier étage, une galerie percée de dix arcades correspond au prolongement au niveau de la porte, du chemin de ronde situé au sommet de l’enceinte urbaine.
Cette partie centrale percée d’ouvertures est édifiée à partir de grands blocs de calcaire quadrangulaires provenant de la région chalonnaise. Elle était initialement flanquée de deux tours au plan en forme de fer à cheval, l’arrondi étant dirigé côté campagne et édifiées à partir de petits moellons rectangulaires en grès. Elle permettait de quitter Augustodunum et de se rendre vers l’est en direction de Langres et de Besançon, les capitales respectives des peuples voisins des Lingons et des Séquanes.
Une église placée sous le vocable de Saint André (un vocable qui a donné son nom au monument) a été installée au cours du Moyen-Age dans la tour de flanquement septentrionale. Cette réoccupation médiévale a permis la conservation de l’infrastructure, qui accueille désormais un temple protestant.
Les chercheurs s’accordent généralement à penser que la porte Saint-André a été édifiée dans le courant du Ier siècle de notre ère, quelques décennies après la porte d’Arroux. Des restructurations de la galerie supérieure au moyen de blocs de grès pourraient quant à elles dater de la fin de l’Antiquité et de la période des invasions.
L’édifice a été restauré en 1844 par Eugène Viollet-le-Duc, puis classé en 1846 au titre des monuments historiques.
Cette porte datée du début du 1er siècle après Jésus Christ, ouvrait au nord, à l'extrémité du cardo maximus (voie traversant du nord au sud). Elle présente deux grandes arcades pour le passage des véhicules et deux petites pour les piétons. Visite libre.
Aucune ville de Gaule ou bien d’Italie n’accueille un ensemble de portes romaines aussi bien conservé qu’à Autun. Trois des quatre portes monumentales y sont en effet encore partiellement visibles.
Tout comme la porte Saint-André, la porte d’Arroux présente encore quatre passages au niveau de la chaussée, deux grandes baies centrales permettant la circulation des chariots et deux ouvertures plus petites dans l’alignement des trottoirs. Au premier étage, une galerie percée de dix arcades correspond au prolongement au niveau de la porte, du chemin de ronde situé au sommet de l’enceinte urbaine. Une rainure pratiquée dans la voûte des baies centrales permettait le passage d’une herse dont le mécanisme se situait à l’intérieur de la galerie à arcades. Des recherches archéologiques récentes ont démontré l’existence d’une cour intérieure et d’une seconde façade côté ville, comme cela est attesté sur des portes de Gaule (Nîmes, Toulouse) ou d’Italie (Turin, Aoste). Aujourd’hui il ne reste rien de ce dispositif semblable à un sas, qui permettait de contrôler le flux des personnes et des marchandises et de percevoir des taxes. Certains chercheurs envisagent à titre d’hypothèse que ce dispositif ait pu être présent sur les autres portes, sans preuve toutefois.
La partie centrale percée d’ouvertures est édifiée à partir de grands blocs de calcaire quadrangulaires provenant de la région chalonnaise, excepté les bases des assises en arkose grise du plateau d’Antully. On remarquera la finesse et l’excellent état de conservation des éléments sculptés au niveau des chapiteaux, des pilastres cannelés et des corniches à modillons. Les baies étaient initialement flanquées de deux tours au plan en forme de fer à cheval, l’arrondi étant dirigé côté campagne, et édifiées à partir de petit moellons rectangulaires en grès. Contrairement à la porte Saint-André, il ne reste rien de ces tours de flanquement.
Cette porte a été édifiée sous le règne d’Auguste et constitue l’une des premières constructions réalisées au moment de la fondation d’Augustodunum qui porte le nom de l’empereur. Elle se situe à l’aboutissement de la rue principale appelée « cardo maximus », qui marque le passage dans l’espace urbain de la grande voie romaine dite de l’Océan reliant Lyon à Boulogne-sur-Mer (Pas-de-Calais). En passant sous la porte d’Arroux, on quitte ainsi la ville en direction de Sens, la capitale du peuple voisin des Sénons.
La porte est classée monument historique depuis 1846.