Le papier peint, imprimé à la planche de bois, entre dans la décoration des appartements au XVIIIeme siècle et connaît un essor fulgurant après la Révolution grâce aux perfectionnements de la technique et à la qualité des dessinateurs. Dans la première moitié du XIXeme siècle, la fabrication de revêtements muraux couvrant la totalité des murs d’une pièce, les panoramiques, ouvre un genre décoratif typiquement français qui eut un énorme succès, tant en France qu’à l’étranger. Joseph Dufour, enfant de la Bourgogne du Sud, est l’un des plus illustres représentants de cet art, qui connaît aujourd’hui un regain de faveur. Il naît à Tramayes en 1754 dans une famille modeste. Intelligent, entreprenant, inventif, il apprend son métier à Lyon et installe une manufacture à Mâcon en 1797. Propulsé par le succès du panoramique “Les Sauvages de la mer Pacifique” (dont on peut voir un exemplaire au Musée des Ursulines à Mâcon), il s’établit à Paris en 1808. Dès lors, sa notoriété se répand dans le monde entier. Le centre de documentation recense et met à la disposition du public des informations et documents d'archives qui concernent Joseph Dufour et son œuvre. Visites sur rendez-vous.
Le club, affilié à la FFLV (Fédération Française de Vol Libre) et à la FFPLUM (Fédération Française d'ULM), regroupe une diversité de sports aériens : parapente, delta, ULM.
Vols découverte de 15 minutes en ULM.
Sur réservation, selon météo.
Ce lavoir (dénommé lavoir fontaine) date du 19° siècle, décrit comme édifice de plan rectangulaire, ouvert sur deux côtés.
Le bassin rectangulaire en pierre de taille est couvert sur la totalité. Le gros œuvre est en pierre de taille.
Il a été versé à l’inventaire général du patrimoine culturel le 17 novembre 2005.
Dans cette ancienne carrière est aménagé un espace de loisirs avec tables de pique-nique, terrain pour jouer aux boules et étang pour la pêche.
Avec « de l’imagination et du carton », Magali Lagarde fabrique non seulement des meubles, pour professionnels ou particuliers (consoles, bureaux, étagères, chevets, chambres d’enfants, mobilier professionnel…) mais aussi des objets/cadeaux pratiques et décoratifs (miroirs, boîtes à bijoux, cadres, mallettes, lampes…)
Ses créations, réalisées en carton de récupération, sont écologiques, originales, uniques, avec des finitions très soignées. Que vous soyez particulier ou professionnel, elle peut fabriquer le meuble exactement adapté à vos besoins (déco de vitrine, présentoir, comptoir…), à votre goût et aux dimensions voulues.
Cette cartonniste professionnelle propose également des stages afin de partager son savoir, et de faire découvrir une pratique artistique originale. Dans la joie et la bonne humeur, vous pourrez apprendre à réaliser vous-même un meuble en carton.
La lumière est encore plus belle quand elle se diffuse à travers les abat-jours d'une artisane située dans le beau village de Buxy en Sud Côte Chalonnaise : Mademoiselle Rachel. Pas de boutique, mais un compte Instagram et une page Facebook pour suivre les créations d'une artisane créative et passionnée ! Cette autodidacte façonne des lampes et abat-jours en variant les tissus et les textures. Réalisation de lampes entières en matériaux de récupération, chinés et reéfection de vos abat-jours.
Le site de Laizy occupe l’emplacement d’une villa gallo-romaine possédée dès le 6e siècle par l’évêque d’Autun et donnée à la cathédrale au début du 7e siècle. Selon la légende, l’église aurait été construite sur le lieu où saint Julien de Brioude, accompagné par saint Léger, jetait son marteau. Une première église existait au 10e siècle. L’église dépendait du chapitre de la cathédrale d’Autun, dont elle est contemporaine, depuis les années 1120. C’est possible que l’église fût également construite sous l’impulsion de l’évêque Etienne de Bagé. Au 15e ou 16e siècle, une chapelle seigneuriale fut ajoutée. Un incendie vers 1640 entraîna la chute des voûtes de la nef. L’église a été remaniée au 17e siècle et d’énormes contreforts ont été ajoutés en 1687 pour stabiliser l’édifice. Les chapiteaux ont été inscrits aux Monuments Historiques en 1950 et l’église restaurée à la fin du 20e siècle.
L’église date du deuxième quart du 12e siècle, on estime que le chœur fut commencé dans les années 1120 et que la nef fut complétée vers 1140. Le plan présente une nef de trois travées avec bas-côtés, un transept légèrement saillant et une abside semi-circulaire précédée d’une travée de chœur. Une chapelle gothique se greffe au sud du chœur et une sacristie se trouve au nord. L’extérieur a été entièrement remanié et n’est guère d’apparence romane. Le clocher, sur la croisée du transept, est ouvert par des baies simples. Les grands contreforts contrebutant la façade, la nef et le transept sont du 17e siècle. La façade et le portail sont d’apparence moderne. Seule l’abside est typiquement romane pour son appareil et ses baies. On y remarque quelques modillons aux volutes simples.
L’intérieur est encore roman. La nef compte trois travées avec des collatéraux. Les voûtes romanes n’existent plus, elles ont été remplacées par des plafonds plats. On peut supposer que la nef était voûtée en berceau brisé sur doubleaux à l’origine et que des arêtes couvraient les bas-côtés. Les piliers carrés, flanqués de pilastres avec impostes et chapiteaux, sont encore debout. Ils supportent les grandes arcades en plein cintre marquant le seul étage en élévation. Les bas-côtés, également plafonnés, ont des murs avec des baies et des pilastres avec chapiteaux sans décor. Le transept s’élève sur quatre piliers cruciformes cantonnés de pilastres dont ceux à l’est sont de profil cannelé. Des arcs brisés à double rouleau supportent la coupole sur trompes qui a été refaite. Les croisillons, voûtés en berceau brisé, s’ouvrent vers les bas-côtés par des arcs brisés avec impostes. Le chœur en granit rose est la partie la plus ornée de l’église. La travée droite, également voûtée en berceau brisé, conserve deux arcatures avec pilastres cannelés du côté nord. L’abside en cul-de-four possède deux baies et sept arcatures en plein cintre sur colonnettes de granit avec chapiteaux. L’arc triomphal, de profil brisé, retombe sur deux pilastres cannelés avec chapiteaux. Au sud se trouve la chapelle seigneuriale Saint-Hubert, de style gothique, avec une voûte en ogive et la châsse du saint.
L’atelier de filature, est fondé en 1879 par Charles Plassard, le long de la rivière du Sornin. L’entreprise familiale se spécialise dans la création de fils à tricoter. Les laines Plassard ont su cultiver leur différence en proposant des laines de qualité exceptionnelle. Elles sont aujourd’hui reconnues sur le marché du fil à tricoter, avec des modèles originaux, cultivant ainsi une image chic et tendance.
Le Rousset-Marizy, commune de Saône-et-Loire, est étendue sur le territoire du Grand Charolais. Ses paysages de bocage, son lac, magnifique plan d'eau pour les passionnés de pêche et de nature, et son patrimoine sont à découvrir lors de vos randonnées entre amis ou en famille. L’une d’elle vous mènera à la motte féodale du Brouillat ainsi qu’à la Pierre d’Orgeval, bloc de grès portant une inscription gravée au burin.
Le moulin du Rousset (demeure privée) est alimenté par un bief de 400 mètres dont l’eau provient du lac du Rousset, de 55 hectares. Dans le hameau de Saint Quentin, la chapelle romane du XIIème siècle est inscrite aux Monuments Historiques.
Le Rousset Marizy étant une des rares communes de Bourgogne-Franche-Comté à accueillir la Cistude d’Europe, le site Natura 2000 “Etangs à Cistude d’Europe du Charolais” y a été désigné en 1998, pour protéger cette espèce menacée et protégée de petites tortues d’eau douce.
Plan d'eau ouvert à la pêche (carte fédérale), aire de jeux pour enfants, terrain de volley, aire de pique-nique. Idéal pour une sortie en famille ou entre amis!
Le Lac des Prés-Saint-Jean vous propose un cheminement de 3.1 kilomètres, des jeux pour enfants et un City Stade. Une carte de pêche est nécessaire. Elles sont disponibles chez plusieurs dépositaires. Informations complémentaires sur le site de la Gaule Chalonnaise http://www.gaule-chalonnaise.com. Contact également auprès de l'association au 06 98 66 22 61.
Structure culturelle du Département de Saône-et-Loire, le Lab71 de Dompierre-les-Ormes vous embarque pour vivre une aventure passionnante autour des sciences, de l'innovation et de la culture. Les expositions annuelles, animations et ateliers laissent une grande place à la manipulation et à la participation de tous les curieux !
Astronomie, biodiversité, alimentation, énergies, eau, paysage, optique, robotique, enquête policière… au Lab71, on manipule, on observe et on expérimente ! Des ateliers sont proposés pendant les vacances scolaires à chaque saison. Le Lab71 met également à l’épreuve votre logique dans son escape game #9 mêlant sciences décalées et investigation !