L'église paroissiale romane Saint-Donat a été classée Monument Historique en 1948. Elle était aussi la chapelle du château. Construite à la fin du XIe siècle, elle a été complétée au siècle suivant par un clocher dans le style de ceux du Brionnais. L'église a été le siège d'une obédience de Cluny. Son portail gothique avait été financé par Alphonse de Lamartine dont le tombeau construit en 1829 jouxte le mur du château. Une restauration est actuellement en cours en lien avec les Monuments Historiques et la Fondation du Patrimoine. Vous pouvez y participer en faisant un don et en participant à la collecte sur https://www.fondation-patrimoine.org/
Eglise romane des XIème et XIIIème siècles avec un clocher hexagonal.
Eglise Romane XIIe siècle constituée d’une nef unique rectangulaire, d’une travée sous un clocher carré, et d’une abside.
Son architecture laisse percevoir différentes phases de construction.
Le précepteur et ami d'Alphonse de Lamartine, l’abbé Dumont, est enterré au pied de l’église.
Le Doyenné des Moines de Mazille est une ancienne dépendance des Bénédictins de l’Abbaye de Cluny. Perchés sur un éperon rocheux, ses bâtiments majestueux dominent le bourg, notamment la chapelle datant du 13ème siècle. Comme les autres doyennés clunisiens, le Doyenné des Moines de Mazille était plurifonctionnel. Non seulement il fournissait l’Abbaye de Cluny en subsistances, notamment vin, bois, avoine, blé, seigle, mais il était également un lieu de passation d’actes et de tenue de plaids de justice.
Église romane du XIIe siècle, distinguée au concours "les Rubans du Patrimoine 2009". Clocher octogonal à trois étages, fresque du peintre E. Krug (1873). Dans l'asbside, fresque de 1873. Panneaux d'informations sur la restauration des peintures.
Dans un hameau nommé "Dracé les Ollières" (déjà cité en 961 et dont le suffixe rappelle l'industrie de la poterie). Se dresse sur la place de ce hameau la chapelle érigée en 1680 par Claude JANIN, seigneur de Thoiriat. A l'intérieur un seul autel en bois est visible.
La Chapelle, de style néo-gothique, fut dédiée à Saint Roch, patron du bétail et de la volaille, et dont la fête était jour férié pour le animaux : personne ne devait "lier" les bêtes ce jour là.
Elle possède un clocher pyramidal .
Pour accéder à la chapelle, il faut quitter le bourg de Saint Martin la Patrouille et emprunter un chemin creux et sinueux, goudronné. Elle domine la campagne environnante. On peut aussi apercevoir son beau chevet qui se profile à l’ horizon en s’ arrêtant en contrebas (la route étroite est à sens unique). Elle reste ouverte au passant et invite au recueillement. On est frappé par la lumière du vitrail blanc du chevet, visible au-delà du porche, qui baigne de son halo une statue de la Vierge à l’Enfant.
Le tunnel du Bois Clair est un ancien tunnel ferroviaire, c'est le plus long tunnel de France désormais ouvert à une Voie Verte (1,6 km). 4 à 6 minutes sont nécessaires pour le franchir à vélo, prévoir 6 à 10 minutes en roller et à pied ce sont 15 à 20 minutes, le passage des cavaliers est interdit.
La température avoisine les 11° C.
Un système d'éclairage est présent mais l'idéal est de prévoir un éclairage supplémentaire sur votre vélo...
Ce tunnel a la particularité d'abriter des espèces protégées de chauves-souris, il est donc fermé pendant la période d'hibernation (d'octobre à avril).
Un itinéraire de contournement du tunnel est alors proposé en empruntant la boucle n°14 (4km niveau : expert)
Une aire de pique-nique se trouve en amont du tunnel lorsque vous arriver par Cluny.
Unique en France, les 157 arcades et façades des maisons du XVème siècle bordent la Grande Rue longue de 400 mètres. Chaque lundi, la rue s'anime avec le marché non alimentaire qui a pour décor cet ensemble architectural très pittoresque.
L'hôpital de Louhans-Châteaurenaud présente un ensemble mobilier et architectural d'une rare homogénéité et d'une qualité exceptionnelle. Une cour d'honneur permet d'accéder aux salles des malades dont le mobilier a été conservé. Ce lieu a fonctionné en l'état jusqu'à 1977. L'apothicairerie constitue le joyau de l'Hôtel-Dieu. La collection de faïences résume l'histoire du pot à pharmacie depuis le modèle hispano-mauresque de la fin du XVème siècle (bruns et bleus) jusqu'au Nevers (bleus vifs). Ses faïenceries et ses verres soufflés contiennent encore des produits d'origine animale, minérale et végétale. Un ensemble unique en Europe.
La chapelle se situe à 450 mètres d'altitude au pied du Mont Saint-Romain. Elle est érigée en direction du vignoble du Haut-Mâconnais et de la vallée de la Saône. Elle fut construite le 1er mai 1941, jour de la fête du Travail, en l’espace de vingt-quatre heures seulement, ce qui en fait sa particularité et un record. Pas moins de six cents jeunes et chefs de groupe des Chantiers de la jeunesse française de Saône-et-Loire, se relayèrent toutes les trois heures pour construire cet édifice. La chapelle est largement ouverte sur l'extérieur, principalement du côté ouest (par une vaste arcade en plein cintre). Ses deux côtés sont éclairés, chacun, par de larges baies en cintre légèrement surbaissé et deux peintures murales tapissent l'intérieur. Vaste esplanade devant la chapelle.
L’église Saint-Georges, dès son origine siège de la paroisse de Vinzelles, date du deuxième quart du XIIe siècle. C’est une construction typiquement romane, massive et robuste. Elle a été peu remaniée au fil des siècles et conserve ses dispositions d’origine. Elle est orientée à l’est et composée d’une nef unique suivie d’une travée soutenant le clocher et d’une abside. Au XVe siècle, une large baie est ouverte sur la face Sud de la travée sous clocher. En 1666, la nef est plafonnée, étant jusqu’alors simplement charpentée. Au cours du XIXe siècle, l’église Saint-Georges est restaurée à plusieurs reprises, sans pour autant être lourdement remaniée : par exemple, deux larges fenêtres sont percées dans la nef jusque-là très sombre (1819), et la sacristie moderne est construite (1834). Elle est inscrite partiellement à l’Inventaire des Monuments Historiques en 1929. Peinture murale du cul-de-four du Christ en Majesté de Jean-Baptiste Beuchot (1859). (wikipays)