Construit au XIème siècle, reprise au XIIème siècle, ce bâtiment est axé exceptionnellement nord-sud. Cette église est remarquable par son clocher rectangulaire de 35 mètres de haut. Elle dispose de trois nefs dont le transept est peu marqué. Les puissantes colonnes façonnées portent les arcs en plein cintre. La voûte centrale construite elle aussi en plein cintre s'est effondrée. Elle fut reconstruite au XIIème siècle en cintre brisé plus élevé. Ainsi, la fenêtre sous le clocher donne dans la nef et n'éclaire plus le chœur.
Bâti au XIIIe siècle, cet Evêché fut à la tête d’un domaine appartenant à l’Evêché d’Autun.
Il fut profondément remanié au XVe siècle par Jean Rolin, évêque puis cardinal d’Autun, qui lui conféra entre autres ouvrages la façade gothique actuelle.
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Eglise érigée au début du XIe siècle par les bénédictins de Saint-Pierre de Chalon-sur-Saône. A l'origine, de style pur roman, lui ont été ajoutées deux chapelles gothiques aux XVe et XVI siècles. Elle se visite le dimanche après-midi de Pâques à septembre.
Maison privée. Cette maison du XVème siècle présente cette originalité qu'une partie du 1er étage est supportée par des poteaux reliés par des liens courbes et formant un portique. Elle a été classée monument historique le 10 septembre 1913 par arrêté ministériel.
Eglise du XIVème siècle à clocher carré surmonté d'une flèche octogonale vrillée aux tuiles vernissées. Un étonnant clocher tors en Bresse Bourguignonne. Association des clochers Tors d'Europe
L'église Saint-Pierre a été édifiée au XIIIe-XIVe siècle, de style roman, l'édifice comporte trois parties distinctes. A l'est le chœur, accosté de deux chapelles du XVIIe siècle, puis une nef unique, plafonnée.
Cette église est consacrée à Saint-Baudile, martyr du IIIème siècle. Originaire d’Orléans, il décida, avec son épouse, d’aller évangéliser la région de Nîmes. C’est là qu’il fut décapité pour avoir interrompu un sacrifice païen. La partie la plus ancienne de l'église de Saint-Boil est son clocher (XIème siècle), inscrit aux monuments historiques en 1943 et son mobilier est classé au titre des objets par les monuments historiques.
L'église a été refaite au XIXe siècle, mais le clocher subsiste de l'époque romane. A voir : les baies du clocher avec leurs colonnes décorées et leurs chapiteaux sculptés.
Cet édifice est à la fois néo-romane et néogothique, style éclectique mis en vogue par Viollet-le-Duc et qui s'inspire du style architectural des XIIe et XIIIe siècles. L'église a été bâtie sur les plans de l'architecte chalonnais Narjoux qui avait d'ailleurs travaillé avec Viollet-le-Duc pendant de nombreuses années.
Cet édifice a pris la suite d'une très ancienne chapelle construite en 1120 devenue église paroissiale en 1271. L'architecture générale de l'église rappelle ces édifices construits selon le style roman, en Bourgogne, jusqu'à la fin du XIIIe siècle.
La tourelle et les fenêtres à meneaux de cette maison d'angle, où habitaient peut-être les prêtres qui desservaient l'église, ont été classées au titre des Monuments Historiques en 1921. La maison a bénéficié d'une restauration vers 1930.
Les concurés, en vertu d'une bulle du Pape en 1482, vivaient en "communauté" au sein d'une association dite du "Mépart". Ils devaient être natifs du village et faire des études. Ensuite, l'évêque de Chalon les ordonnait prêtres, devenant ainsi concurés.
L'angle de la rue du Commerce et de la rue de l'Espérance est flanqué d'une échauguette mise en place ultérieurement, pour un motif purement décoratif.
Simplicité, rusticité, sont bien les caractéristiques de cette église flanquée de ses deux chapelles latérales qui repose dans un petit cimetière paroissial.
Une fois devant cette façade à arcatures, imposante et majestueuse, osez vous approcher et pousser la porte de l’ancienne église priorale du XIIe siècle. Les vestiges de l’église vous ébahiront et vous feront faire un bon dans le temps. Prenez du recul, levez les yeux et détaillez les pierres du monument, certaines vous révèleront des petites merveilles !
Cet ancien prieuré de moniales bénédictines a été rattaché au monastère de Lancharre (sur la commune de Chapaize) dès 1615. L’histoire du Puley se confond avec celle de Lancharre : l’archiprieure de Lancharre, Marie du Blé d’Uxelles, qui réforma son abbaye, obtint de l’évêque de Chalon, Cyrus de Thiard, de réunir les deux communautés.
Dans la deuxième partie du XIXe siècle, l’église était en ruine et a vu son clocher tombé en 1877, paroxysme de son déclin. Au XXe siècle, une association se consacre à sa restauration (chantiers bénévoles) afin de, sans la reconstruire entièrement, sauvegarder son état de conservation et animer le site.
L’église, classée Monument Historique en 1973, est presque entièrement à ciel ouvert. Le bas-côté nord est seul couvert, les abside et absidioles sont intactes. Pour en savoir plus, des panneaux à l’intérieur de l’église expliquent les chantiers de restauration.