L'Atôlier, en plein coeur de Charolles, vous propose ses créations.
Piscine de plein air comportant un grand bassin, un bassin pour les enfants et une pataugeoire. L'ouverture est prévue mi-mai, pour connaitre les dates exactes d'ouverture et de fermeture ainsi que les horaires, rendez-vous sur la page facebook de la Communauté de Communes Entre Arroux, Loire et Somme ou sur notre site internet.
Un espace bien-être avec spa, saunas traditionnel et infrarouge où sont proposés des séances de relaxation incluant réflexologie, micro-ostéopathie, naturopathie et à la demande massages.
La fabrique Pluriel vous propose des produits Bourguignons fabriqués au cœur du bocage Charolais. La boutique de l'atelier vous propose les créations de l'artisan.
Réparation de cycles.
Louis Desmurs expose peintures, pastels, encres et gouaches.
Le cinéma VOX, cinéma indépendant et associatif, vous propose des séances de films tout public, mais aussi des retransmissions de : concert, ballet, opéra et comédie française en direct ou en différé.
Salle de 166 places équipée en 3D, climatisée et accessible aux personnes à mobilité réduite. Séance en version ocap (français sous-titrée français pour malentendants). Notre cinéma est labellisé AFCAE.
Situé à Bourbon-Lancy, le Plan d’eau offre une multitude d’activités pour tous les âges au sein de ses espaces ombragés. Au programme, skate-parc, aire de jeux pour enfants, tables de pique-nique, activités aquatiques, rosalies et Voie Verte. Vous pouvez acheter une carte de pêche à l'Office de Tourisme.
Le Centre d’Art Contemporain Frank Popper est un lieu de rencontre, d'expositions, d'accueil et de recherche. Disposant d'un important fond bibliographique légué par le Professeur Frank Popper, il s'est constitué en lieu-ressource pour les chercheurs. Des lieux d'accueil pour artistes en résidence ont été créés. Expositions régulières d'art contemporain.
Saint-Jean-le-Grand était une abbaye de femmes fondée à l'époque mérovingienne. Les bâtiments romans ont disparu. Les façades et les toitures des bâtiments conventuels subsistant, construits entre la fin du XVIIe siècle et le 1er quart du XVIIIe, sont protégés au titre des monuments historiques.
L'église date du XIe siècle, à l'emplacement d'une petite basilique ou monastère paleo-chrétien attesté en 843 comme Saint-Pierre, à proximité de l'église Saint-Étienne d'alors. Le site comporte également un cimetière qui a été utilisé avant la christianisation, puis du IIIe au Ve siècle. À 50 m de l'église, la première inscription mentionnant le Christ en Gaule romaine, datant de la même époque : l'inscription grecque de Pectarios.
Au milieu du XVIIIe siècle, une partie de l'église Saint-Étienne et des mausolées funéraires du Bas-Empire sont encore visibles. Un rapport de 1750 décrit l'église Saint-Pierre comme « fort laide et irrégulière » mais l'église a alors toujours son clocher et sa sacristie, qu'un témoignage donne détruits en 1836, époque où l'église sert de grange. Une campagne de fouille, qui porte de juin à août 2020 sur le cimetière paleo-chrétien attenant, permet de dégager 150 sépultures, dont certaines comportent des sarcophages en grès, des coffrages en tuiles, des cercueils de bois ou de plomb… Un des cercueils de plomb est resté fermé depuis l'origine et devrait livrer ses secrets à la fin de la fouille. En outre divers objets de valeur dont un vase diatrète en verre — le premier découvert en France.
Le portail de cet hôtel du XVIIe s. est protégé au titre des monuments historiques.