Ce joli lavoir à ciel ouvert, dont la construction fut décidé en 1859, est situé dans le bourg de Sainte-Hélène. Il est inscrit à l'Inventaire général du Patrimoine Culturel.
Lavoir du Quart Bourdon
Patrimoine industriel, artisanal, rural, agricole et technique
SAINTE-HELENE
Ce lavoir à genoux est situé dans un endroit paisible proche de la Guye. Entièrement à ciel ouvert, ce lavoir a été construit au début du XIXe siècle. La fontaine-lavoir du Quart Bourdon est certainement une de plus anciennes, figurant sur le cadastre de 1847.
La fontaine-lavoir comporte un puisoir, un canal avec abreuvoir puis le lavoir en lui-même.
La position agenouillée étant pénible, il fut délaissé au profit de lavoirs plus commodes, il servit surtout à abreuver les bêtes.
Lavoir de La Bonne Fontaine
Patrimoine industriel, artisanal, rural, agricole et technique
SAINTE-HELENE
Ce joli lavoir, situé à l'écart du bourg, est ouvert sur la rue laissant apparaitre son bassin rectangulaire.
La Fontaine est déjà mentionnée sur le cadastre de 1812 dite ‘’fontaine de pierre ‘’(pierres apposées pour s’agenouiller).
C'est en 1843 que la nécessité d’avoir un lavoir à la Bonne Fontaine est déclaré. Des pierres de selle sont alors installées sur une longueur de 7,33 m. et sur une largeur de 5,33 m.
Dix ans plus tard ont lieu les travaux pour la construction du lavoir et c'est enfin en 1866 qu'il a été décidé de couvrir le lavoir.
Ce lavoir de plan rectangulaire et à ciel ouvert se situe en bordure du ruisseau de Vèvre.
Il doit son nom au pré "la Renarde" traversé par le ruisseau de la Vèvre. Très excentré du hameau des Maisons Rouges, il n’apparait qu’à partir du cadastre de 1846 sous forme d’une retenue d’eau. Le lavoir sera construit plus tard.
Il est inscrit à l'Inventaire général du Patrimoine Culturel.
Le clocher serait la partie la plus ancienne de l'église Saint Symphorien et daterait du XIIème siècle. Il est ajouré par un "triplet", un ensemble de trois baies avec des arcs en plein-cintre. L'intérieur de l'église a été probablement peint, probablement au XIXème siècle.
La nef a subi d'importantes réparations aux XVIIIème et XIXème siècles après que l'église soit devenue un "Temple de la Raison" pendant la Révolution. Ayant subi de nombreuses dégradations puis le bâtiment ayant été abandonné, en 1802 et jusque dans le milieu du XIXème siècle, des réparations sont accomplies. Dans les années 1980, de nouvelles restaurations sont effectuées.
Sainte Hélène était la mère de l'empereur Constantin, le premier empereur romain à s'être converti au Christianisme au IVème siècle. Celle-ci donne son nom à la commune mais l'église est placée sous le patronage de saint Symphorien. Au IIème ou IIIème siècle, il aurait exprimé sa foi en dieu en public, ce qui était considéré comme un délit. Mis au cachot, il reste fidèle à sa foi et est alors décapité.
Situé au bord de la Guye, affluent de la Grosne qui prend sa source à Sainte-Hélène, ce lavoir est de plan rectangulaire et fermé. Sa toiture est à longs pans et couverte en tuiles plates. Le bassin est également de forme rectangulaire. Il est inscrit à l'Inventaire général du Patrimoine Culturel.
Le lavoir a été construit en 1856 et c'est 5 ans plus tard qu'il a été décidé de le couvrir.