Le portail de cet hôtel du XVIIe s. est protégé au titre des monuments historiques.
Le pont d'Arciat est un pont franchissant la Saône, reliant les communes de Crêches-sur-Saône, et Cormoranche-sur-Saône (Ain).
Le premier pont a été inauguré le 4 septembre 1904.
En 1951, un second pont dit "pont provisoire" est construit sur les fondations restantes de l'ancien pont.
La construction du troisième pont d’Arciat a débuté fin 2007. En parallèle, le pont provisoire est totalement démonté.
Le nouveau pont est mis en circulation le 27 octobre 2009. Ce pont est d'une longueur de 264 m.
L'église de Milly a conservé de l'époque romane la travée sous clocher et le clocher carré ) à baies géminées.
Vitry ne prend le nom de Vitry-les-Cluny qu'en 1933 par décret. La commune est divisée en deux agglomérations, le Bourg et Bezormay, reliées entre elles par une route. L'église Saint-Blaise se trouve dans le bourg, à 10 km de Cluny. Elle a été édifiée au XIIIème siècle. En 1746, les religieux de Cluny, coseigneurs de la paroisse, ont leur banc dans le choeur. Mais l'église est vendue à la Révolution, puis rattachée à Massy sous le Concordat. Elle est partiellement reconstruite au XIXème : la nef a été agrandie en 1858, les voûtes et le clocher ont été rebâtis. Une construction en avant de la nef a été réalisée, une demi-travée formant vestibule supporte le nouveau clocher. L'église a été restaurée en 1988, grâce à la Mairie et à une souscription des fidèles.
La chapelle du château est ornée d'un décor néo-gothique au pochoir, réalisé dans la seconde moitié du XIXe siècle.
Lavoir de Buliat, datant du 19e
Bâtiment construit entre 1781 et 1788 pour remplacer l'ancien auditoire du bailliage, affecté à l'hôtel de ville de Semur en 1793.
C'était un un prieuré de Cluny. L'église est de deux époques. Le chœur et le transept datent des environs de l'an 1100. Les nefs et le clocher des années 1150. Très beau volume de chevet et de la croisée du transept.
Site proto-historique.
L'église date du XIe siècle, à l'emplacement d'une petite basilique ou monastère paleo-chrétien attesté en 843 comme Saint-Pierre, à proximité de l'église Saint-Étienne d'alors. Le site comporte également un cimetière qui a été utilisé avant la christianisation, puis du IIIe au Ve siècle. À 50 m de l'église, la première inscription mentionnant le Christ en Gaule romaine, datant de la même époque : l'inscription grecque de Pectarios.
Au milieu du XVIIIe siècle, une partie de l'église Saint-Étienne et des mausolées funéraires du Bas-Empire sont encore visibles. Un rapport de 1750 décrit l'église Saint-Pierre comme « fort laide et irrégulière » mais l'église a alors toujours son clocher et sa sacristie, qu'un témoignage donne détruits en 1836, époque où l'église sert de grange. Une campagne de fouille, qui porte de juin à août 2020 sur le cimetière paleo-chrétien attenant, permet de dégager 150 sépultures, dont certaines comportent des sarcophages en grès, des coffrages en tuiles, des cercueils de bois ou de plomb… Un des cercueils de plomb est resté fermé depuis l'origine et devrait livrer ses secrets à la fin de la fouille. En outre divers objets de valeur dont un vase diatrète en verre — le premier découvert en France.
Hôtel particulier du début XVIIIe siècle, construit par l'intendant du Dauphiné, Jean-Etienne Bouchu
De l'ancienne abbaye bénédictine Saint-PIerre, fondée à l'époque mérovingienne, il subsiste un mur à bandes lombardes (XIe s.)