Monument meublé XVIIIe, le château de Digoine, situé au cœur d'un vaste domaine de 35 hectares, est un témoin de notre patrimoine passé mais également présent, que nous prenons plaisir à vous faire découvrir au quotidien. Les jardins classés "Jardin Remarquable" sont à découvrir en visite libre.
En Bresse, à proximité de la confluence Saône-Seille, la réserve naturelle offre une mosaïque de milieux naturels. Deux sentiers sont aménagés dans des milieux exceptionnels pour notre région : le sentier des dunes de sable et le sentier de l'étang (ce sentier botanique sur pilotis permet de s'imprégner du paysage végétal de l'étang Fouget). Equipements : prévoir de bonnes chaussures, des jumelles et de l'eau en été.
Site monumental et unique à visiter. Une œuvre sculpturale pharaonique, mythologique et pleine de symboles en visite libre ou visite guidée sur réservation.
Pour réserver une visite guidée, contacter le 0638045005 ou sur le site internet.
Depuis 1875, la Manufacture de Digoin perpétue son savoir-faire dans le grès culinaire et horticole. Fermée en août. Visite des ateliers sur réservation ou lors des visites programmées en partenariat avec l'office de tourisme le Grand Charolais à Digoin.
Superbe tympan sculpté du XIIème siècle, représentant le Christ en Majesté et, sur le linteau, l'Adoration des mages.
Cet édifice est partiellement roman : le clocher et sa base datent du XIIe siècle mais la nef actuelle a été édifiée au XIXe siècle. L'ornement principal de l'église est son clocher roman qui comporte un seul étage de baies géminées encadrées par une double archivolte retombant sur de fines colonnettes surmontées de chapiteaux sculptés.
Site proto-historique.
L'église date du XIe siècle, à l'emplacement d'une petite basilique ou monastère paleo-chrétien attesté en 843 comme Saint-Pierre, à proximité de l'église Saint-Étienne d'alors. Le site comporte également un cimetière qui a été utilisé avant la christianisation, puis du IIIe au Ve siècle. À 50 m de l'église, la première inscription mentionnant le Christ en Gaule romaine, datant de la même époque : l'inscription grecque de Pectarios.
Au milieu du XVIIIe siècle, une partie de l'église Saint-Étienne et des mausolées funéraires du Bas-Empire sont encore visibles. Un rapport de 1750 décrit l'église Saint-Pierre comme « fort laide et irrégulière » mais l'église a alors toujours son clocher et sa sacristie, qu'un témoignage donne détruits en 1836, époque où l'église sert de grange. Une campagne de fouille, qui porte de juin à août 2020 sur le cimetière paleo-chrétien attenant, permet de dégager 150 sépultures, dont certaines comportent des sarcophages en grès, des coffrages en tuiles, des cercueils de bois ou de plomb… Un des cercueils de plomb est resté fermé depuis l'origine et devrait livrer ses secrets à la fin de la fouille. En outre divers objets de valeur dont un vase diatrète en verre — le premier découvert en France.
Hôtel particulier du début XVIIIe siècle, construit par l'intendant du Dauphiné, Jean-Etienne Bouchu
De l'ancienne abbaye bénédictine Saint-PIerre, fondée à l'époque mérovingienne, il subsiste un mur à bandes lombardes (XIe s.)
Chalet construit dans les années 1860, inspiré des chalets suisses.
Saint-Jean-le-Grand était une abbaye de femmes fondée à l'époque mérovingienne. Les bâtiments romans ont disparu. Les façades et les toitures des bâtiments conventuels subsistant, construits entre la fin du XVIIe siècle et le 1er quart du XVIIIe, sont protégés au titre des monuments historiques.