Nichée au cœur du Charolais, Saint-Bonnet-de-Vielle-Vigne offre un paysage varié entre prairies, massifs boisés, hameaux et ruisseaux. En 2012, une association a décidé de redonner vie à une parcelle viticole, après que les vignes de Saint Bonnet aient disparues vers 1880, et afin que Saint Bonnet de Vieille Vigne porte bien son nom.
Le muséum d’Histoire naturelle Jacques de La Comble rassemble plus de 800 000 échantillons représentant des spécimens de tous les domaines des sciences de la nature. Il conserve la première collection mondiale de nodules fossilifères du Carbonifère continental (160 000 pièces). Le muséum d’histoire naturelle d’Autun trouve son origine au début du 19e siècle. Les collections alors constituées par la Société d’histoire naturelle et actuellement propriété de la Ville d’Autun, sont d’une exceptionnelle qualité. Les expositions temporaires sont chaque année l’occasion d’une mise en lumière particulière d’une des thématiques présentes dans les collections permanentes. Le muséum d’Autun conserve dans ses réserves des spécimens naturalisés dont une collection d’oiseaux, d’œufs et de nids représentant plus de 10 000 spécimens, ainsi que des insectes (plus de 100 000) , Des herbiers (plus de 300 000 planches) contenant des plantes provenant de toute l’Europe et même provenant de l’Afrique du Nord, collectées dès le 19e siècle. De très nombreux minéraux qui retracent l’histoire géologique de la région.
Des dizaines de milliers fossiles représentant les animaux et les végétaux ayant vécu dans notre région entre 300 et 275 Ma. Le bassin d’Autun est une référence mondiale dans l’histoire de la Terre pour une période de l’ère primaire. On parle de stratotype. Les fossiles conservés dans les collections du musée en sont le témoignage. Vous trouverez également, un échantillon des collections qui sont en réserve, sur la préhistoire dans le bassin d’Autun au Moustérien (90 000-35 000 ans) et au Néolithique (5 000 ans). Les animaux fossiles du Carbonifère de Blanzy-Montceau les Mines-Le Creusot (300 millions d’années) La flore et la faune fossiles du bassin d’Autun (295 à 275 millions d’années)
Les routes de l’énergie, histoire d’une filière industrielle : celle-ci est organisée autour des schistes bitumineux permettant la production d’huiles de schistes, équivalent au pétrole naturel, du charbon et de l’autunite, premier minéral d’uranium français. Les traces des premiers dinosaures morvandiaux Les minéralisations caractéristiques des mines et carrières du Morvan, exploitées pour fournir en fluorine les industries de fabrication de l’acier et de l’aluminium.
Les animaux du grand Nord (élan, renne, tigre de Sibérie, renard argenté, renard blanc, renard bleu, glouton…)
La salle d’ornithologie avec l’exposition « L’Art d’être un oiseau »
Petit village niché au cœur du Charolais-Brionnais, Prizy est une commune vivante et conviviale. Les paysages du Brionnais se déploient sous vos yeux au panorama de la Croix des Vignes, les habitants s'impliquent dans la vie associative, notamment lors de la marche de la commune le dernier dimanche de juillet, les circuits de randonnée vous font découvrir le territoire... Une pause découverte à Prizy s'impose!
Commune du Clunisois en Saône et Loire - Bourgogne du Sud
Ozolles se situe à la jonction de trois régions naturelles: le Charolais, le Brionnais et les montagnes du Charolais. Prenez plaisir à randonner dans le bocage charolais et les sous bois pour découvrir les hameaux avec leurs maisons de pierre et leurs toits de tuiles plates, caractéristiques de la région.
Vivre à Ozenay.
Entre le doux flot de la Natouze et le bruissement des chênes en amont de la colline, les vieilles pierres du bourg d’Ozenay rayonnent d’un charme authentique. Commune de pierres et d’histoire, Ozenay a su conserver un cachet unique dans le Tournugeois. Ses sept hameaux dégagent sans exception cette même atmosphère sereine et paisible.
Ce plaisant tableau est le fruit d’une longue histoire. Les premières traces d’habitat à Ozenay datent du premier millénaire avant notre ère. Si des installations gallo-romaines sont attestées sur plusieurs sites dans la commune, les villages ne se sont pas sédentarisés avant le Moyen Age.
En plein XIIe siècle roman fut élevée l’église du bourg, dédiée aux saints Gervais et Protais, martyrs de Milan. Les paroissiens viennent tant d’Ozenay, que des villages voisins : Chavy, Corcelles, Gratay, Messey et Outry. La carte de la future commune est déjà existante dès le Moyen Age. Ozenay et ses hameaux comptent jusqu’à un millier d’habitants au XIXe siècle. C’est alors la belle époque de l’expansion viticole. La calamité du phylloxéra, anéantissant les vignobles dans toute la France, y porta un terme brutal dans les années 1870. Ozenay n’a depuis cessé de voir partir ses habitants pour d’autres horizons et les volets de ses maisons se fermer pour longtemps. Le début du XXIe siècle semble néanmoins plus prometteur pour la petite commune : un léger regain de population inespéré et la réouverture d’un commerce tant attendu sont venus redonner espoir. Aux désillusions des années 1980 succède le temps de toutes les espérances.
La commune d’Ozenay compte en 2003 près de 230 habitants. Sa superficie totale couvre plus de 1300 hectares, entre 250 et 350 mètres d’altitude environ. Un tiers est recouvert de forêts et de taillis, et près du quart est classé dans l’aire d’appellation viticole contrôlée du Mâconnais, dont 70 ha, sont actuellement plantés. La viticulture est l’activité privilégiée, c’est ce qui fait encore d’Ozenay une terre mâconnaise. Le sol calcaire de la commune permet aux cépages Chardonnay, Pinot et Gamay de produire d’excellents Bourgognes et Mâcon Villages, régulièrement récompensés lors des grands rendez-vous vineux. Longtemps terre d’élevage, Ozenay a conservé un certain nombre de troupeaux bovidés, dont un laitier de plus de cent têtes. Outre ces animaux charmants, la vie locale est animée tant par l’école publique que par les associations. C’est autour du feu de bordes que se retrouvent les habitants au mois de février, alors que fin juillet, le bal champêtre annuel a acquis une sympathique renommée dans tout le Tournugeois.
Commune de pierres et d’histoire, à l’image de sa table des hameaux inaugurée en ce début de millénaire, Ozenay n’en a pas moins une sérieuse option vers l’avenir.
Randonnées
La Commune d’Ozenay est sillonnée par de nombreux sentiers, qui desservaient autrefois les champs et cultures, aujourd’hui très appréciée pour les randonnées pédestre, cycliste ou équestre. Ils permettent d’apprécier la flore et la faune locales, particulièrement riches.
Nochize, bourg du Charolais situé à quelques kilomètres de Paray-le-Monial est un excellent point de départ pour découvrir le Grand Charolais. Son église du XIIème siècle a été rénovée en salle communale au cœur du bourg. Vous découvrirez, au grè de vos randonnées, le bocage charolais, le Vallo de l’Arconce, l’étang Charron et le patrimoine architectural dont le manoir de Pancemont (privé, maison d’hôtes), une ferme-manoir brionnaise ; le château de Chevenizet (privé) du XIIIème siècle dominant la vallée de l’Arconce ; le moulin de Vaux, ancien moulin du XIXème siècle au bord de l’Arconce.
Il abrite les éléments lapidaires (quinze chapiteaux et corniches de marbre blanc richement sculptés) et des mosaïques antiques et médiévales. Ces témoins de la monumentalité des édifices éduens sont présentés dans une chapelle romane de filiation clunisienne, comme en attestent le portail sculpté et l’abside peinte d’une fresque du XIIe siècle (Christ Pantocrator). Autour d’un jardin romantique, court une galerie où se trouvent présentés cent quinze stèles gallo-romaines, des sarcophages, fûts de colonnes et de pilastres, inscriptions, chapiteaux… Le Musée Lapidaire, créé en 1861, est situé dans l’ancienne chapelle de l’hôpital Saint-Nicolas-et-Saint-Eloi-en-Marchaux. Il bénéficie depuis le 1er février 2003 du label Musée de France.
Le Musée est situé dans un ancien prieuré clunisien, fondé au XIIème et réaménagé au XVème siècle, témoin de cette époque, la salle d’apparat, classée Monument historique et restaurée en 2003. Le musée accueille désormais un musée complet où la faïence de Charolles (1844 à nos jours) côtoie les paysages de J. Laronze (1852-1937) et de P. L. Nigaud (1895-1937). L'ancienne chapelle du XIXème siècle abrite les œuvres de R. Davoine, sculpteur charolais (1888-1962). Chaque année, au printemps, une exposition dossier présente les collections sorties des réserves. Elle est complétée par une exposition de céramique contemporaine tous les étés.
Sur les traces des compagnons charpentiers... !
Venez découvrir les chefs-d’œuvre des compagnons charpentiers et l'histoire de l’école de tracé de charpente fondée en 1871 à Romanèche-Thorins. Son fondateur Pierre-François Guillon, compagnon charpentier, transmettait à ses élèves un enseignement en dessin, découpe des matériaux et techniques des métiers du bois. Le tracé de charpente et le compagnonnage sont inscrits par l’UNESCO au patrimoine culturel immatériel de l’humanité.
Visitez le musée en famille avec le parcours enfants de 3 à 8 ans.
Dernière visite 1 heure avant la fermeture (de novembre à février inclus).
Histoire de 70 siècles de moisson et 40 siècles de panification. Reconstitution d'un intérieur du XVIIIème avec cuisine, salle à manger autour du blé et de la dégustation du pain, matériel agricole, exposition temporaire sur le maïs.
Découvrez un lieu unique en France : le musée de l'imprimerie retrace toute l'histoire du journal local L'Indépendant, dans ses anciens locaux. Laissez-vous séduire par l'ambiance de ce lieu, où toutes les machines et outils sont demeurés à leur place. De plus, un espace est consacré à l'histoire de l'imprimerie.
Site labellisé Accueil vélo.