L'amitié Varennoise organise comme chaque année sa marche du 1er Mai
Rendez-vous à la salle des fêtes de Varennes Sous Dun à partir de 8h pour le départ d'un des 4 circuits proposés : 7 km - 13,5km - 18,5km - 23 km
Des ravitaillements vous attendent sur le parcours.
Un repas froid vous sera proposé à votre arrivée sur place ou à emporter.
Buvette et vente de gaufres sur place.
Venez découvrir nos jolis sentiers sur les versants de Dun !
« Dic, Cur Hic ? » Est une proposition de diffusion de musique électroacoustique spatialisée en 2 parties : la première est une suite électronique live qui fera référence entre autres à l'histoire industrielle du lieu (ateliers de l'ancienne filature de laines Plassard de Varennes sous Dun). La seconde sera une sélection d’œuvres électroacoustiques du compositeur. Les deux parties invitent l'auditeur à une immersion sonore dans le périmètre d'un orchestre de haut-parleurs.
« Dic, Cur Hic ? »
« Dis-moi, pourquoi es-tu ici? » Est une traduction possible de cet énigmatique énoncé latin attribué philosophe des lumières allemand Leibnitz. C'est une invitation à se déporter de son habituel soi-même (se regarder pédaler à côté du vélo en quelque sorte) pour se questionner aujourd'hui sur le sens de l'existence de l'homme qui tend de plus à alterner entre la recherche de l'efficacité/performance/possession à tout prix et les injonctions d'un marketing omniprésent. Où trouver une espace de réflexion/méditation pour retrouver l'énergie de la pensée critique ? Les deux parties du concert ont été nourries par cette interrogation.
Le Temps d’un Compte est une courte pièce dansée qui naît de la dernière création de la compagnie Voltaïk « Funambul ». Elle rassemble sur scène une violoniste, un slameur et des danseurs pour un voyage à la croisée des arts. L’espace y est épuré et laisse place aux interprètes ; les seuls accessoires sont le micro et le violon, qui font de chaque représentation un moment unique de musique live. Diane Delzant jongle avec les notes et FafaPunk jongle avec les mots, entre slam et beatbox, avec la douceur et le flow qui lui sont propres. Les danseurs se rencontrent et se croisent au détour d’une phrase, d’une mélodie, et habitent l’espace avec une gestuelle mêlant danse hip-hop et danse contemporaine, freestyle et chorégraphies rythmées.
Spectacle donné dans le cadre de la 9ème édition du festival Saperli'poètes.
Fidèle à sa démarche d’explorer les liens entre les arts pour mieux les décloisonner, la compagnie Voltaïk rassemble sur scène une violoniste, un slameur et des danseurs hip-hop pour nous embarquer dans un voyage à la croisée des arts.
Dans un espace épuré qui laisse aux artistes toute la liberté de s’exprimer – les seuls accessoires sont le violon et le micro -, la pièce se crée au fil des notes et au rythme des mots. Pendant que la violoniste Diane Delzant jongle avec les notes, FafaPunk joue avec les mots, alternant avec douceur le slam et le beatbox. Bercés par cette musique inédite, les danseurs se rencontrent et se croisent au détour d’une phrase ou d’une mélodie, habitant l’espace par une gestuelle mêlant danse hip-hop et danse contemporaine, freestyle et chorégraphies rythmées.
Lors de cette soirée vous découvrirez également l’œuvre de Philippe Morvan « DOT », une installation lumineuse et sonore, proposé par La Filature, en présence de l’artiste.
À partir de 6 ans
Entrée gratuite
Réservation conseillée sur https://my.weezevent.com/saperlipoetes ou par mail à [email protected]
La Filature, projet industriel qui naît en 1840 ; la même année Hyppolite Bayard se photographie : « autoportrait en noyé » titre t-il… une improbable certitude.
14 artistes présentent à La Filature une exposition photographique : le faire comme un état des lieux qui convoque des photographes d’aujourd’hui dans un inventaire éclectique à la Prévert, des « clins d’œil » à l’histoire de la photographie, à l’architecture, aux lieux, à l’intime, à la photographie elle même… Tentative d’habiter le lieu mais aussi d’y inscrire une histoire voire des histoires.
Improbable, ce que la photographie nous « donne à voir » mais certitude qu’à bien y regarder, à s’y laisser immerger, les différents points de vue nous content de multiples histoires qui sont bien photographiques.