Découvrez "La petite Venise Charolaise" en canoë depuis la rivière l'Arconce. En famille, entre amis, relaxez-vous en pleine nature et pourtant en plein cœur de ville!
Cette galerie d'art expose le travail de l'artiste anglaise mondialement reconnue dans l'art de la mosaïque contemporaine, Elaine M Goodwin. Vaste et lumineuse, la galerie se situe dans le petit village de Couches, célèbre pour son château, à seulement à 20 minutes de la ville historique d'Autun.
Je suis guide de bain de forêt :je vous accompagne dans cette pratique de santé douce qui nous vient du Japon . Appelée aussi "shinrin yoku ", elle consiste en une marche en forêt sur un sentier facile choisi par le guide pour ses qualités particulières.
Les règles d'or du bain de forêt sont : la lenteur et le silence,qui favorisent la connexion à l 'essentiel, en soi et dans la Nature environnante.
Cette immersion profonde au coeur du Vivant se déroule dans une ambiance douce;elle est ponctuée d'explorations sensorielles,contemplatives ou récréatives (nommées '"invitations") et de temps de partage - en duo ou en groupe.
Chaque participant est ainsi amené, par palier, à explorer la forêt en profondeur, à ancrer ce qui est vécu, à se relier à soi-même et aux autres : une manière singulière de découvrir la nature sous un autre jour.
La marche shinrin yoku se clôture par une"cérémonie du thé",point d'orgue de la séance,avec grignotages et papotages!
Je vous propose des balades dans le Brionnais,le Charolais,le Haut-Clunisois,le Haut-Beaujolais.Pour un confort optimum,ces sorties se font par groupe de 10 personnes maximum.
Vous avez envie d'organiser un bain de forêt pour un groupe (famille, ami·e·s, association, entreprise...) à une date qui vous convient ? Contactez-moi!
Vous sortirez de votre immersion en forêt révitalisé, grâce au pouvoir régénérant de l'univers forestier, qui est attesté par la science.
Vols et baptêmes en montgolfière. Prenez de la hauteur et vivez une expérience inoubliable à bord d'une montgolfière. Au départ de Rully, Mercurey, Moroges, Chalon sur Saône, Beaune, montgolfière Rully en Bourgogne vous propose un vol en montgolfière, selon la direction des vents, nous vous ferons découvrir cette inoubliable sensation de liberté et vous pourrez admirer nos vignobles et nos beaux villages. Vos pilotes Céline et Pascal vous feront partager leur passion pour la montgolfière. Que ce soit durant les préparatifs ou au pliage, votre aide sera la bienvenue. A l'atterrissage le traditionnel "pot de l'Aéronaute" vous sera offert. Quelle que soit l'occasion, nous pouvons vous fournir un bon cadeau. Une bonne idée pour un anniversaire, un départ en retraite, mariage, Saint Valentin ou juste pour faire plaisir....
Vous vous glissez dans un cadre au charme typiquement mâconnais, niché au coeur historique de la ville; un véritable lieu d'exception qui fait revivre notre patrimoine empreint de poésie animé par les contrastes de matières minérales. Isolé du brouhaha, il vous invite au voyage pour un lâcher-prise garanti.
Sous l'Atrium, vous restez proche de la nature avec les métamorphoses de l'eau accompagnées de senteurs, de lumières, de sons suscitant d'extraordinaires évocations de rêves et de détente.
Et sous les facettes de la voûte, vous apprécierez l'espace dédié à la relaxation et la tisanerie aux saveurs locales.
Hammam, sauna finlandais, fontaine de glace, douche à expérience, bain à remous, salle de relaxation.
Confection et location de costumes. Décoration de tables.
Dans le hameau de Morey, se trouve l'ancienne église paroissiale datée de la fin du XIIIe siècle. Curieusement cette église dédiée à la Nativité de la Vierge fut bâtie à 500m du bourg en hauteur. Le terrain fut donné par Guillaume de Morey et l'église bâti en 1295, année année de l'agrandissement du château des évêques où se trouvait une première église paroissiale dans l'enceinte. L'association des Amis des Vieilles Pierres de Lucenay l'Evêque évoque un ancien prieuré, sur lequel aurait été construite l'église. Au XVIIe siècle Lucenay était un lieu de pèlerinage contre la rage et l'on y venait de fort loin pour les cures miraculeuses qui s'y opéraient.Le clocher en bois avec sa flèche fut détruit par la foudre en 1811 et remplacé par un clocher à dôme s'inspirant de Saint-Pierre-de-Rome (architecte Joubert). L'église mal entretenue dans les XVIIIe - XIXe siècle, et peut-être trop petite, fut abandonnée en 1900 pour une nouvelle église bâtie face à la mairie. Depuis 1971 l'association pré-citée travaille à la sauvegarde de ce très bel édifice roman. L'église romane est composée d'un chœur "voûté à nervures" prolongé par une longue nef plus basse et un collatéral construit vers 1680. Au niveau de la jonction entre la nef et le chœur se trouvait le clocher (effondré en 1959 avec la toiture de la nef). Au même niveau se trouve une chapelle flanquée d'une tourelle. Le cimetière est resté autour de l'église. Elle n'apparait pas sur la carte Cassini.
L’église Saint-Georges, dès son origine siège de la paroisse de Vinzelles, date du deuxième quart du XIIe siècle. C’est une construction typiquement romane, massive et robuste. Elle a été peu remaniée au fil des siècles et conserve ses dispositions d’origine. Elle est orientée à l’est et composée d’une nef unique suivie d’une travée soutenant le clocher et d’une abside. Au XVe siècle, une large baie est ouverte sur la face Sud de la travée sous clocher. En 1666, la nef est plafonnée, étant jusqu’alors simplement charpentée. Au cours du XIXe siècle, l’église Saint-Georges est restaurée à plusieurs reprises, sans pour autant être lourdement remaniée : par exemple, deux larges fenêtres sont percées dans la nef jusque-là très sombre (1819), et la sacristie moderne est construite (1834). Elle est inscrite partiellement à l’Inventaire des Monuments Historiques en 1929. Peinture murale du cul-de-four du Christ en Majesté de Jean-Baptiste Beuchot (1859). (wikipays)
L'église de 1837-1838 dont les trois nefs ont une superficie de 285 mètres carré suffit à peine à la population de 930 habitants, les collatéraux sont couverts en tuiles, la nef et le chœur en dalles d'un poids considérable, les laves du chœur reposent sur une voûte en maçonnerie, celle de la nef sur des lambris. Un projet de reconstruction, confié à un architecte de Chalon, est adopté à l'unanimité par le conseil municipal et le conseil de fabrique. Il est achevé en 1863.
Après des études artistiques, je suis arrivée dans le clunisois en 1995 pour me former au métier du vitrail à l'atelier de Paul Duckert, à Massilly. J'ai participé ainsi à de nombreux chantiers de restauration et de création dans le secteur, principalement pour des édifices religieux. J'ai ainsi été initiée à toutes les étapes du travail, de la conception du projet jusqu'au chantier de pose.
Installée à mon compte depuis 2012 en tant qu'auto-entrepreneur, je travaille couramment en duo avec ma collègue Fabienne Desmet de Tramayes, pour les chantiers les plus importants.
Je pratique le vitrail traditionnel au plomb, avec principalement les verres soufflés de la Verrerie de St. Just, offrant une gamme de coloris remarquable.
J'utilise également la peinture dite "grisaille", qui permet de réaliser des détails fins que la découpe du verre ne permet pas, ainsi que toutes les nuances et dégradés lumineux qu'il est possible de travailler en surface. Cette peinture brune ou noire, que l'on travaille aussi en grattage pour faire ressortir la lumière, est ensuite cuite comme un émail à 650° pour une fixation définitive.
Je maîtrise également la technique "Tiffany" (vitrail serti au cuivre), plus légère que le plomb, et permettant grâce à son mode d'assemblage plus souple, de réaliser des petits objets à suspendre, ou de travailler en trois dimensions pour créer des luminaires.
Pour les particuliers, je travaille sur commande, en prenant un temps d'échanges pour bien cerner l'envie des clients et adapter la palette et la luminosité des verres au lieu qui lui est destiné, en tenant compte de l'ensoleillement et du vis-à-vis.
Exemples de restaurations d'églises réalisées dans la région : Cortambert, St Martin de Salencey, Vergisson, Brandon, Chardonnay, St Marcellin de Cray, Amanzé, Dyo, Varenne-sous-Dun... Chapelles des châteaux de Sercy, Chaumont (St bonnet de Joux)
Diplômée en arts plastiques, j'anime également des ateliers artistiques pour les enfants, en milieu scolaire, péri-scolaire ou associatif, autour de techniques variées (y compris le vitrail) telles que dessin, peinture, mosaïque, théâtre d'ombre, céramique, fabrication d'instruments de musique, papier mâché etc...
Sur demande, j'accueille des stagiaires adultes pour une initiation "loisir" aux techniques du vitrail sur une semaine environ (idéalement pour 2 à 3 personnes)
Cours d'équitation et randonnée dans le Morvan à Cheval. Venez profiter d'un club familial avec des chevaux pour tout niveaux. Des cours sont proposés chaque jours sur réservation, nous disposons d'une carrière et d'un ménage.
D’après les écrits (dont le livre très documenté d’Anatole de Charmasse du 19ème siècle), voilà ce que l’on peut retenir de l’histoire du Prieuré :
Après le passage de Saint Martin, qui évangélisa la région, ce lieu a été le premier sanctuaire chrétien de la contrée. On ignore l’époque exacte de la fondation du Prieuré. La première mention du Prieuré remonte à 843 dans un diplôme par lequel Charles Le Chauve confirma l’autorité de l’église d’Autun sur cet établissement. En fait, son origine est antérieure à cette date et confondue avec celle de l’église d’Autun. En 994, L’évêque d’Autun céda le Prieuré à l’abbé de Cluny Odilon.Parmi les nombreux Prieurs de Mesvres, Hugues de Beaufort devint Abbé de Cluny et Pierre de Beaufort devint pape sous le nom de Grégoire XI, dernier pape en Avignon qu’il quitta pour Rome en 1377.
Les droits seigneuriaux dont bénéficiait le prieur étaient nombreux : haute, moyenne et basse justice, droit de guet et de garde pour tous les habitants de Mesvres et des environs, droit de banalité (four et moulin) pour ne citer que les principaux.
Le Prieuré resta sous l’autorité de l’abbaye de Cluny jusqu’à la révolution. Après la révolution, les bâtiments du Prieuré furent transformés en exploitation agricole.
A son apogée, les bâtiments du Prieuré étaient ordonnés autour du cloître. L’église du Prieuré était composée d’une seule nef, à laquelle l’adjonction de deux chapelles donnait la forme d’une croix. Une belle tour carrée, haute de 49m, prônait au centre du monastère. Il ne reste aujourd’hui des bâtiments primitifs que la grande bâtisse en L qui abritait les appartements du Prieur et des moines et une des deux chapelles latérales de l’église prieurale. Les autres corps de bâtiment ont disparu, le cloître a été détruit, la tour s’est écroulée en 1836 et la nef a été remplacée par une grange. Le moulin des moines au bord du bief alimenté par le Mesvrin, existe toujours, il a été remanié et sert aujourd’hui d’habitation.