Découvrez grâce à cette vitrine en accès libre le fonctionnement et l'histoire des moulins.
Un site, quatre bâtiments, quatre siècle : une maison de maître du 17ème, une grande maison du 18ème et deux bâtiments agricoles du 19ème et 20ème. La maison 17ème, ouverte dans le cadre de certaines manifestations (Journées du patrimoine notamment) et pour les groupes (sur réservations), est consacrée à l'architecture bressane et à l'histoire du domaine. La maison 18ème héberge un gîte de groupe (s'adresser à Bresse Louhannaise Intercom).
Eglise du XIVème siècle à clocher carré surmonté d'une flèche octogonale vrillée aux tuiles vernissées. Un étonnant clocher tors en Bresse Bourguignonne. Association des clochers Tors d'Europe
Visite uniquement des extérieurs de ce château et de ses dépendances construits entre les XVème et XVIIIème siècles.
La Tour Marchaux aussi dite Tour de l'Horloge, située au n°30 de la petite rue Marchaux, domine aujourd'hui le quartier. Elle était à l'origine une tour d'escalier ostentatoire qui desservait les étages d'un hôtel particulier à la fin du Moyen-Âge appartenant au XVe et XVIe siècles à la famille de Clugny. En 1793, on la coiffa d'un dôme et on y plaça l'horloge qui provenait de la porte haute de l'enceinte de Marchaux, détruite quelques années plus tôt.
Lové au cœur d’un vallon de Bourgogne du Sud, notre jardin naturel s’organise en cinq espaces clos gravitant autour d’une demeure bourbonnaise du XVIIIème siècle. Les ambiances s’enchainent au rythme des clins d’œil, des parterres de vivaces, des massifs de rosiers, de graminées et des bassins de nymphéas ouverts sur la campagne environnante.
Crées en 2003 sur un demi hectare, les jardins des Soussilanges se dévoilent au rythme de chacun. Le visiteur averti échangera ses impressions , le rêveur s’échappera au grés des ambiances et le poète qui sommeille en chacun y puisera peut-être l’inspiration…
Jardins et campagne ne font plus qu’un, le temps s’arrête, l’heure est à une balade intime au sein du bocage de France.
Le site du tir à l'oiseau est une clairière située à l'entrée de la forêt de Charolles, et qui est classée parmi les sites et monuments naturels de caractère artistique, historique, scientifique, légendaire ou pittoresque, depuis 1934. Ce site est utilisé par la Confrérie du Tir à l'Oiseau dont les premières mentions remontent au XVème siècle. La tradition veut que pour la fête de la Madeleine, un tir à l'oiseau y soit organisé. Au fil du temps, le tir à l'arbalète, privilégié au Moyen âge, est remplacé par un tir au fusil.
Le Temple dit de Janus encore en élévation a été fouillé entre 2013 et 2018. Son origine a pu être précisée. Elle remonte à l’époque gauloise et au IIIe siècle av. J.-C. l’ancienneté de ce sanctuaire pourrait être l’une des raisons ayant présidé au choix du site topographique pour y implanter la nouvelle capitale des Eduens, à l’époque augustéenne. L’hypothèse d’un culte à « Janus » est fausse. Elle semble issue d’une mauvaise interprétation du toponyme, « Genetoye », qui renvoie plutôt aux genêts. D’autre part, une offrande découverte en fouille à l’emplacement du temple mentionne la divinité indigène « Ienieco », qui pourrait être l’un des dieux du sanctuaire. Pour l’instant ce dieu n’est attesté qu’à Autun.
Le théâtre et les thermes du sanctuaire ont été en partie dégagés. L’édifice de spectacle de la Genetoye mesure 116 m de diamètre, il est plus petit que le théâtre urbain mais ses dimensions restent tout de même suffisamment considérables pour en faire l’un des plus grands théâtres de Gaule.
Enfin, le quartier artisanal a bénéficié de 8 années de fouilles. Les productions sont tout d’abord tournées vers la métallurgie puis s’orientent vers la confection de vaisselle céramique au IIe siècle. Plus d’une centaine de fours de potiers sont recensés. Des ateliers de figurines ont été également découverts liés au célèbre coroplaste Pistillus. Ces productions sont destinées pour certaines à l’export, pour d’autres à la consommation au sein même du sanctuaire.
À l'aide d'un livret richement illustré, parcourez le centre-ville de Montceau et partez sur les traces du passé minier de la ville. La promenade, d'une durée d'environ 1h30, vous fera découvrir le Montceau d'hier et d'aujourd'hui.
Vendue au prix de 2 €, la brochure intitulée "Promenade au cœur de Montceau" est disponible à l’accueil de l’Office de Tourisme.
Trois éditions au choix : français, anglais et allemand.
Véritable alternative à la visite guidée traditionnelle, le Livret-Découverte permet de parcourir par soi-même et à son rythme les sites incontournables de la ville.
Partez à la découverte de la ville du Creusot, de son histoire et de son patrimoine ; parcourez la ville grâce à deux parcours de visite, conçus en étapes, illustrés et accessibles à tous :
- une visite courte, au Cœur de Ville (environ 3,5 km)
- une visite plus longue, à faire à vélo ou en voiture (environ 14 km).
Trois éditions au choix : français, anglais et allemand.
Le musée est situé dans la salle du donjon de l'ancien prieuré de Saint-Sernin. Vestiges du néolithique, de l'époque gallo-romaine, fossiles, documents, photos... Tableaux de Raymond Rochette (peintures des usines du Creusot, paysages).
Porte d'entrée de l'ancien bourg médiéval aux maisons à colombages, le beffroi ou "tour de l'horloge", classé monument historique, abrite un pittoresque personnage "le Beurdin", un automate qui égrène les heures en tirant la langue aux passants. Oeuvre du sculpteur Georges Kirsch, ce personnage, dont le nom local évoque un homme gentil mais un peu simplet, symbolise les petites gens qui habitaient dans ce quartier de la ville. A partir du beffroi, accès au sentier des remparts, au jardin de la Collégiale en passant par la ruelle aux loups et le square de madame de Genlis. Accès libre.