Au coeur des Monts du Mâconnais, au pied du Mont Saint-Romain, se cache le joyau du Clunysois: Les Grottes de Blanot.
La cavité principale, la grotte-gouffre de la Cailleverdière, nommée ainsi en raison de l'écrin de végétation entourant le karst ou elle s'est formée, est découverte dès 1700 et explorée quelques décennies plus tard par le Docteur Dumolin, pionnier de la spéléologie.
Depuis lors, elle ne cessera d'émerveiller ses visiteurs!
La visite de la grotte-gouffre vous emmènera dans les profondeurs de la terre à plus de 80m, au coeur d'un vaste réseau aménagé, à la découverte d'un dédale de galeries entrecoupées de salles plus curieuses et plus impressionnantes les unes que les autres.
Une boucle d'environ une heure avec un guide passionné qui vous racontera l'histoire de ce gouffre et de la faune qui l'habite.
Le palais Jean de Bourbon, musée d’Art et d’Archéologie, est un rare exemple de logis seigneurial gothique flamboyant avec de vastes salles d’apparat ornées de cheminées monumentales. Il abrite les œuvres marquantes de la sculpture médiévale de Cluny, provenant du bourg et de l’abbaye.
A ne pas manquer : la reconstitution à l’échelle 1 d’une partie du Grand Portail de Cluny III (tympan, linteau, voussures, jambages), chef-d’œuvre de la sculpture romane, et son film.
La bibliothèque ancienne conserve de rares imprimés hérités de la bibliothèque des clunisiens.
Du Palais on accède au parvis belvédère de la grande église abbatiale, aux vestiges de son avant-nef et de ses cinq nefs, à la grande cour de l’abbaye, entre l’hôtellerie Saint-Hugues (XIe s.) et le Palais du pape Gélase.
Une liseuse tactile vous permettra de parcourir du doigt quelques pages emblématiques des livres de l'ancienne bibliothèque du musée datant, pour le plus ancien, de 1492 !
Attention , le premier étage du musée sera fermé du 14 mars au 31 mai inclus pour le montage de la prochaine exposition.
Entre Avril et septembre, soyez au coeur du métier de la production viticole, dans un espace alliant la technologie de pointe et respect des traditions. Promenez-vous au cœur des arômes et des saveurs dans les jardins , jouez à l'Adventure Golf (golf miniature d'un style paysagé, dynamique, ludique).
Animation Explor Games®, la Légende de Métal, un jeu de piste numérique conçu pour toute la famille (5€ supplémentaires sur le billet d'entrée) . Boutique et restauration le midi sur place : ouvert tous les jours.
Eglise du XIVème siècle à clocher carré surmonté d'une flèche octogonale vrillée aux tuiles vernissées. Un étonnant clocher tors en Bresse Bourguignonne. Association des clochers Tors d'Europe
La Tour Marchaux aussi dite Tour de l'Horloge, située au n°30 de la petite rue Marchaux, domine aujourd'hui le quartier. Elle était à l'origine une tour d'escalier ostentatoire qui desservait les étages d'un hôtel particulier à la fin du Moyen-Âge appartenant au XVe et XVIe siècles à la famille de Clugny. En 1793, on la coiffa d'un dôme et on y plaça l'horloge qui provenait de la porte haute de l'enceinte de Marchaux, détruite quelques années plus tôt.
Lové au cœur d’un vallon de Bourgogne du Sud, notre jardin naturel s’organise en cinq espaces clos gravitant autour d’une demeure bourbonnaise du XVIIIème siècle. Les ambiances s’enchainent au rythme des clins d’œil, des parterres de vivaces, des massifs de rosiers, de graminées et des bassins de nymphéas ouverts sur la campagne environnante.
Crées en 2003 sur un demi hectare, les jardins des Soussilanges se dévoilent au rythme de chacun. Le visiteur averti échangera ses impressions , le rêveur s’échappera au grés des ambiances et le poète qui sommeille en chacun y puisera peut-être l’inspiration…
Jardins et campagne ne font plus qu’un, le temps s’arrête, l’heure est à une balade intime au sein du bocage de France.
À l'aide d'un livret richement illustré, parcourez le centre-ville de Montceau et partez sur les traces du passé minier de la ville. La promenade, d'une durée d'environ 1h30, vous fera découvrir le Montceau d'hier et d'aujourd'hui.
Vendue au prix de 2 €, la brochure intitulée "Promenade au cœur de Montceau" est disponible à l’accueil de l’Office de Tourisme.
Trois éditions au choix : français, anglais et allemand.
Véritable alternative à la visite guidée traditionnelle, le Livret-Découverte permet de parcourir par soi-même et à son rythme les sites incontournables de la ville.
Partez à la découverte de la ville du Creusot, de son histoire et de son patrimoine ; parcourez la ville grâce à deux parcours de visite, conçus en étapes, illustrés et accessibles à tous :
- une visite courte, au Cœur de Ville (environ 3,5 km)
- une visite plus longue, à faire à vélo ou en voiture (environ 14 km).
Trois éditions au choix : français, anglais et allemand.
Ce bâtiment du XVème siècle abrite des collections diversifiées sur trois thèmes : Minéralogie, Archéologie, Arts et Traditions. Sont au programme du calendrier d'ouverture annuelle : ateliers (enfants/ famille/ adolescents-adultes), des visites guidées et des événementiels, en plus de visite en accès libre.
L' église de Collonge, dont le chœur remonte au XIIe siècle, est sous le vocable de St. Barthélémy. Aucune église dédiée à St. Barthélémy ou à Ste. Madeleine n'est citée dans l'archiprêtré de Couches (sauf le prieuré Ste. Madeleine de Montartaux) au plus ancien pouillé complet du diocèse d'Autun, datant du XIVe siècle (de Charmasse, Cartulaire de l'Evêché d'Autun) ce qui laisse supposer que l'église, existant au XIIe siècle, était chapelle castrale. La topographie des lieux ne contredit pas cette hypothèse et il est fort possible qu'il y ait eu deux châteaux sur les terres de Collonge, celui d'Alibour, et un autre, au bourg. Les titres ne permettent pas de faire une distinction. Pour ce qui est du site d'Alibour, la motte est à 750 mètres au sud de l'église, dans un bas-fond, au confluent de deux ruisseaux dont le cours réuni se dirige à l'ouest vers le ruisseau de Digoine, affluent de la Drée.
À la fin du XIIe siècle, Couches est séparé en deux territoires distincts : Couches en Royauté et Couches en Duché. Le village, en royauté, s’est développé sous la protection du Roi de France. L’origine de cette propriété remonte au traité de 1186 accordant aux moines la protection royale. Ceux-ci dotèrent les soldats du Roi d’une construction militaire pour s’opposer au seigneur du Château de Couches. Le bâtiment actuel date du XVe siècle et la toiture en tuiles vernissées du XIXe siècle. Le parc comprend des arbres vieux de près de 500 ans. A l'entrée, deux petites tours de chaque côté de la porte. Dans la cour, une grosse tour carrée. C’est elle « La Tour Guérin». Visite extérieure uniquement.
Dès le XII siècle, cette construction se trouvait sous la dépendance du puissant prieuré Saint Georges. L'expression "Bajole" viendrait soit de Bayulus qui désignait, un officier de justice royale, soit de Bezola nom d'un ventier du prieuré, important collecteur d'impôts. Elle s'appela également : maison Saint-Louis, maison Sarotte, Lanot et la tour aux ventiers. Visible uniquement de l’extérieur,